Incivilité

civique français ne s’est pas traduit par un net recul, y compris en politique. On assisterait plutôt à un approfondissement de la citoyenneté qui déboucherait sur la recherche de nouveau équilibre. A- Un esprit civique intact La montée des incivilités fait planer le doute sur le maintien de l’esprit civique. Cette montée semble marginale et propre aux grandes villes et aux banlieues déshéritées. L’exercice de la citoyenneté est le fait que l’exercice de la citoyenneté politique reste relativement

dégradations ( Bris de vitres, de boites aux lettres, de graffitis... ). Afin de faire face à cette situation, les pouvoirs publics et le gouvernement se sont efforcés de mettre en place des moyens en personnels et matériels pour lutter contre cette incivilité. Ce sont les professions de l'hospitalité : Concierges, gardiens, contrôleurs... Quant à la perspective anthropologique ( tout ce qui concerne l'homme, les groupes humains ), on ne dénombre pas de problèmes de violence. Ce qui néanmoins, est mis

scolaires. La première concerne les délits pénalisables relevants des crimes et délits. Ce sont les vols, les tags, les coups et blessures, le trafic ou/et l'usage de stupéfiants et l'assassinat. L'autre catégorie dite "non pénalisable" concerne les incivilités, c'est à dire tout ce qui est de l'ordre du bruit, du vandalisme ou des injures. Il semblerait que la violence ait toujours existé en milieu scolaire. Mais depuis 1993 une augmentation des rapports de violence aurait été constatée. En effet

volontaires, incendies), 3. la drogue (consommation et vente de drogues douces ou dures), 4. les déviances juvéniles (resquille, conduite sans permis, graffiti; termes qui, on le voit, recouvrent assez largement ce que l’on appelle en France les incivilités), 5. les comportements problématiques (fugues, absentéisme scolaire, mais pas les problèmes de discipline à l’école, ce qui distingue cette étude de la plupart des autres) [9]. dans la réalité la famille est avant tout un système relationnel

des attributs associés à la jeunesse : tenue vestimentaire inadaptée, un langage vulgaire, gestuelle agressive ou menaçante L’auteur dénonce aussi une série de comportements regroupés de manière « hâtive » dans la catégorie « discutable » des “incivilités” : Écouter un walkman en classe, utiliser son téléphone cellulaire dans l’école, se chamailler avec les copains dans les couloirs, sortir du cours sans en demander l’autorisation. Ils forment ensemble de comportements ou le personnel éducatif

juvéniles n'ont pas d'objectifs d'activité délinquante, elle non pas de règles et ne sont pas structurer de la même manière qu’un gang qui sont des organisations criminelles (braquage, armes, trafics de stupéfiants…). Les bandes peut commettre des incivilités type insultes, tapage, tags etc., voire même des actes de délinquances, vols, bagarres de rues (souvent contre d’autres bandes, et depuis quelques années en dehors des territoires, des rendez-vous dans les grandes gares parisiennes par exemple :

«  Art ou vandalisme ? » divise - Théorie de la vitre cassée aux Etats Unis :  le graffiti est un facteur d'insécurité, car il laisse aux populations le sentiment que leur quartier est délaissé par les pouvoirs publics et que les incivilités sont impunies. Dans la plupart des pays, dégrader une propriété avec un graffiti sans le consentement de son propriétaire est considéré comme du vandalisme gratuit , lequel est punissable par la loi Il existe de plus des peintures artistiques

qui est davantage spécifique puisque cette violence subit des modifications dans les différentes catégories. (violence sur un tiers en augmentation, vol avec violence, agression sur représentant de la loi). Cela va de la délinquance bénigne, aux incivilités, et aux agressions physiques plus frappantes. 2) Un constat chiffré par l’OND et L’INHESJ Les femmes sont de plus en plus mises en cause dans ces violences. + 21.75%, chiffre qui dénonce l’augmentation des délits ou d’autres types de violence

demande sociale pressante : promouvoir chez les élèves des comportements sociaux dont la déshérence dans l'univers social menacerait le lien social lui-même. La société attend de l'école qu'elle soit en première ligne dans le combat contre les « incivilités », c'est-à-dire qu'elle fasse préférer à la violence des conduites non-violentes. 1. L’école comme instance de socialisation • Emile Durkheim L'enfant dit-on est d'abord à ses parents : c'est donc à eux qu'il appartient de diriger, comme ils

solutions permettant de diminuer l’ampleur de la violence. L’école a un rôle primordial à jouer dans ce sens, même si le climat s’y est dégradé de manière significative ces dernières années. La violence scolaire s’exprime infiniment plus par les incivilités quotidiennes que par la répétition des actes graves. La perte de valeurs telles que le respect ou la loyauté peut expliquer une recrudescence de la violence dans nos sociétés modernes. Des valeurs comme la solidarité, la non-violence et le respect