Incommunicabilité Absurde

crises d’angoisse devant la découverte de la mort, devant la progression du mal “Le théâtre est la projection sur scène du monde de dedans” Ionesco prend pour mission de montrer l’absurde dans son absurdité la plus totale: scènes absurdes, langage absurde, intrigue absurde… Ex: “je peux acheter un couteau pour mon grand-père, mais je ne peux pas acheter l’Irlande (!!!) pour ma grand-mère” Il a horreur du théâtre à thèse, du théâtre d’idées Mais il est en accord avec Kafka, Joyce (écrivains qui brisent

dernier homme. 2. L’impossibilité de communiquer · avec Daisy : on ne s’entendait plus l.8. Ici, l’incapacité à communiquer est envisagée sur un plan relationnel domestique (la référence comique au ménage), mais il est un symptôme d’une incommunicabilité universelle. Valeur dérisoire de cette brouille anodine dans sa présentation et la réalité qu ‘elle recouvre. · avec les rhinocéros, la volonté de convaincre se heurte au problème du langage : D’abord, pour les convaincre, il faut leur parler

sont assez dérisoires. Quant aux panneaux codés qui la jalonnent, ils lui semblent puérils avec leurs symboles caricaturaux : un gland pour la forêt, ou un créneau pour un château fort… La présence d’un grand panneau, sous la forme d’un pictogramme absurde, indique la fin brutale de l’autoroute, dans le dessin de Serre : il souligne ainsi à sa manière la singularité de ces panneaux symboliques. Le réseau autoroutier français se caractérise donc par son importance, son trafic, ses tracés rectilignes

l’automobiliste inerte reste soumis : bouchons, intempéries accidents. C’est irréversible, inévitable.« La vitesse s’inverse en impuissance ».(L. ) c|||L’ORIGINE DES ACCIDENTS (II.C)| Présence d’un grand panneau, qui sous forme de pictogramme absurde, indique la fin brutale de l’autoroute. c||-Présence de « puérils panneaux codés ». (L. )-Les contacts entre la nature et l’autoroute sont artificiels : aménagements dérisoires pour « paysager » l’autoroute. (L. )

homme. 2. L'impossibilité de communiquer · avec Daisy : on ne s'entendait plus l.8. Ici, l'incapacité à communiquer est envisagée sur un plan relationnel domestique (la référence comique au ménage), mais il est un symptôme d'une incommunicabilité universelle. Valeur dérisoire de cette brouille anodine dans sa présentation et la réalité qu 'elle recouvre. · avec les rhinocéros, la volonté de convaincre se heurte au problème du langage : D'abord, pour les convaincre, il faut leur parler

sont assez dérisoires. Quant aux panneaux codés qui la jalonnent, ils lui semblent puérils avec leurs symboles caricaturaux : un gland pour la forêt, ou un créneau pour un château fort… La présence d’un grand panneau, sous la forme d’un pictogramme absurde, indique la fin brutale de l’autoroute, dans le dessin de Serre : il souligne ainsi à sa manière la singularité de ces panneaux symboliques. Le réseau autoroutier français se caractérise donc par son importance, son trafic, ses tracés rectilignes

pensée et de tisser des liens entre les personnages → les personnages parlent pour ne rien dire, seulement pour combler le silence et le vide → fonction phatique du langage domine = établissement matériel du contact de la communication → incommunicabilité des personnages (émergence du langage difficile, quiproquos, décalage entre les répliques...) p.9-10 etc Personnages sans profondeur psycho-logique - personnages svt allégories de l'humanité - pas d'épaisseur psychologique - personnages

inerte reste soumis : bouchons, intempéries accidents. C’est irréversible, inévitable. « La vitesse s’inverse en impuissance ». (L. ) c L’ORIGINE DES ACCIDENTS  (II.C) Présence d’un grand panneau, qui sous forme de pictogramme absurde, indique la fin brutale de l’autoroute. c -Présence de « puérils panneaux codés ». (L. ) -Les contacts entre la nature et l’autoroute sont artificiels : aménagements dérisoires pour « paysager » l’autoroute. (L. )

cLa vitesse des véhicules les empêche de réagir efficacement quand ils voient le panneau indiquant la fin de l’autoroute. bPrésence d’un grand panneau, qui sous forme de pictogramme absurde, indique la fin brutale de l’autoroute. cLe nombre de voitures entassées laisse penser que le trafic est important. b Doc. 2 M. Tournier, romancier

Eléments d’analyse (tout à fait personnels) du film Poetry de Lee Chang-Dong (2010) I. Un monde absurde ? 1) Violence de la sexualité : viol collectif répété par ses camarades de Heijin, jeune collégienne, dans l’annexe de la salle de sciences (=> aspect bestial, mécanique de l’être humain ?) puis suicide du haut d’un pont dans l’eau noire et impénétrable d’une rivière. Dans une moindre mesure, la brutalité du vieillard concupiscent dans sa baignoire tentant de forcer Mija, son aide à domicile