Indirect rule

impôts d’ancien régime. La fiscalité d’AR se divisait en 3 groupes : -les impôts royaux : impôt direct qu’était la taille qui est devenue annuelle avec la guerre de 100 ans, c’est un impôt direct fondé sur une assiette qui est les revenus ; impôt indirect qu’était la gabelle qui est devenue permanente en 1341 sous Philippe VI et son régime a été fixé en dernier lieu par une ordonnance de 1621. -les impôts seigneuriaux : le cens qui est une redevance fixe due au seigneur à raison de la disposition

celui de Mme Arnoux. « Manœuvre » = Evoque un effort, calcule pour se rapprocher d’elle. 3. L’activité de l’imagination • « Quels étaient son nom, sa demeure, sa vie, son passé ? » (ligne 17)  Interrogation de Fréderic. Phrase au discours indirect libre qui rend les interrogations plus vivantes. Fréderic a envie de connaître Mme Arnoux et son univers matérielle : habits, robe, meuble, relation et passée. • « […] disparaissaient sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse

directement (paroles du lion, du renard, de l’âne), tantôt indirectement (v44-48 et 55-62). - C’est encore en recourant aux discours rapportés que la narration va rendre compte de la résolution: paroles de l’âne et du reste de la cour au discours indirect libre (55-62, avec des tournures exclamatives (v. 60), des formules populaires (« on cria haro sur le baudet ») , ce qui traduit une certaine distance ironique de la part du narrateur, qui semble rester silencieux. Ce silence contribue également

réalité : le contraste accentue la déception d’Emma - première partie = la vie qu’elle aurait aimée avoir (surtout lune de miel) - harmonie entre homme et nature, digne des pastorales, qu’Emma aimerait vivre - cheminement de pensée en discours indirect libre, annoncé par « songeait » - elle parle de paysages, clichés de la littérature romantique dont Balzac se moque - l.23 à 32 : le don de se comprendre sans se parler : cliché - correspondance lieu/genre aussi clichée : nord chevaleresque

Produits Pétroliers). Il s'agit d'un impôt indirect représentant les deux tiers du prix des carburants (fioul, essence...) que les consommateurs payent au moment de l'achat. Son taux peut fluctuer selon les produits concernés (énergies fossiles, énergies renouvelables...). Cette recette s'est élevée à 14,5 milliards d'euros en 2010 contre 14,3 milliards d'euros en 2011. Les autres ressources fiscales sont aussi bien des impôts directs que des impôts indirects. Elles ont représentées 29,6 milliards d'euros

Il joue également avec différents discours : « -Que voulez-vous ici, mon enfant ? » (l.15) Discours direct ; « Mme de Rênal eut d’abord l’idée » (l.8) Discours indirect ; « Quoi, c’était là ce précepteur qu’elle s’était figuré comme un prêtre sale et mal vêtu, qui viendrait gronder et fouetter ses enfants ! » (l.27-28) Discours indirect libre. Puis Stendhal utilise de nombreux champs lexicaux comme ceux du regard et de la séduction : « aperçut (l.3) ; ses yeux (l.7) ; ne la voyait pas (l.13) ; « du

discours direct au discours indirect ) Type de leçon: Acquisition de nouvelles connaissances Compétences générales : développer la capacité d’utiliser la concordance des temps à l’indicatif Compétences spécifiques:  Cognitives : - comprendre la simultanéité de deux actions, au présent et au passé - comprendre et assimiler la concordance des temps à l’indicatif pour le rapport de simultanéité - comprendre et assimiler le passage du discours direct au discours indirect - saisir et comprendre les

La TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée) est un impôt sur la consommation proportionnel aux prix des biens et des services. Cet impôt indirect est : • perçu par des intermédiaires (producteurs, commerçants..) qui sont les redevables légaux. • répercuté sur les consommateurs qui en sont les redevables réels. Les fabricants, les producteurs, les commerçants vendent : • soit des produits finis qu’ils fabriquent, • soit des marchandises qu’ils revendent en l’état, • soit des services. La TVA

en même temps, son esprit divague. Ambiguïté du vers 11 : « La chose allait à bien par son soin diligent » : qu’est-ce qui va bien ? le fait qu’elle aille vite au marché ou ses calculs ? Les deux lectures sont possibles. * On passe du discours indirect libre (v 8 à 11) au discours direct qui plonge le lecteur dans l’esprit de la jeune fille. Le lecteur oublie la réalité du récit, tout comme Perrette oublie qu’elle doit faire attention en marchant. * Le rêve prend des proportions de plus en

narration originale : le discours indirect libre : * « pensant que le marquis d’Andervilliers, peut-être, donnerait encore un bal à la Vaubyessard. » (lignes 10 et 11) « peut-être » et l’utilisation du conditionnel montrent bien le passage au discours indirect libre : nous sommes dans la tête d’Emma. * « Mais tout septembre s’écoula sans lettre ni visites. » (ligne 11) rupture de rythme, le lecteur revient à la réalité à l’extérieur de la tête d’Emma. Le discours indirect libre permet de montrer la