Indulgence

image). Il se présente en victime, donc T. est supérieure (c'est typique du roman sentimental, une déviante du roman courtois). Valmont subit, il n'y est pour rien. À la fin de la lettre, le vocabulaire montre qu'il est inférieur : il cherche l' « indulgence » de T. (l.50), ne veut pas l' « offenser » (l.53-54), il ne doit pas être « craint » (l.55), ne veut pas « abuser de ses bontés » (l.58), il la « supplie » (l.61) → on imagine qu'il serait presque à genoux devant elle. _______d)__Une argumentation

considérés comme des petits diables, des « chaîtan. » Rien de vraiment mauvais ne peut venir de nous. C’est pourquoi nous nous souvenons de ces événements avec nostalgie. Nous aimerions bien avoir, adultes, droit à un peu de cette extraordinaire indulgence.  Ainsi, il apparaît que c’est dans la famille que se font les souvenirs heureux. Que la vie soit vraiment heureuse ou malheureuse, le bonheur ou le malheur du souvenir dépend d’abord de la qualité de la présence familiale.  PARTIE II :  IDEE

pas les règles de vie de leur ordre…), problème des Indulgences (grâce accordée par l'Église aux chrétiens en état de péché ou de faute, ce qui leur permet d'abréger les souffrances après la mort dans l'au-delà, mais qui se paye fort cher…). Les croyants redoutent le jugement divin qui peut conduire l'âme au purgatoire (où les âmes doivent expier leurs fautes dans la souffrance) ou en enfer (ce qui est pire encore). Pour éviter ce sort : indulgences achetées ou don au clergé. Autant d'éléments qui posent

monde est profondément chrétien et est porté par l'angoisse du salut (qui est en même temps un espoir.). Le purgatoire avait un effet angoissant, d'où tout un système qui monnaye l'angoisse du salut, avec notamment les indulgences. On peut alors acheter des messes, payer des indulgences, comme par exemple le cas d'une veille dame qui a demandé dans son testament de donner 1500 francs pour avoir des messes pendant 18 ans. On croit beaucoup en les saints (tel que Saint Roch, Sainte Apolline...). Les grandes

de l’écrivain, on peut lire au vers 66 : « J’ai vu partout cette ombre amie ». De plus, il lui parle avec respect, l’appelle « mon frère » et décrit son visage comme étant « triste et beau ». Ainsi, l’écrivain semble accueillir la solitude avec indulgence. Certes, il souffre quand l’étranger aux habits noirs vient mais il ne le blâme pas. Et puis, à la dernière strophe, la solitude se dévoile en disant : « Quand tu seras dans la douleur, / Viens à moi sans inquiétude, / Je te suivrai sur le chemin 

libre : « Quoi !....le donner à Julien » que nous offre le narrateur omniscient est révélateur de tous les sentiments contradictoires d’une femme amoureuse : jalousie, doute, culpabilité. Le monologue intérieur de Mme de Rênal montre son extrême indulgence pour Julien (« Au fond, ce n’est qu’un enfant plein de respect pour mo i »). Sa volonté de se déculpabiliser par rapport à son mari (« Lui, il pense à ses affaires. Je ne lui enlève rien pour le donner à Julien »). Sa passion pour Julien est

flot, comme un fleuve »L4 -Longueur des répliques bcp + longues -Prière : verbes à l’impératif L3-10-20+ Ton suppliant (didascalies l8-9) Marguerite : la voix de la raison -Brièveté des répliques /Absente des prières -Constat sans indulgence : « La peur lui bouche l’horizon » « Vaine intervention, ce n’est pas la bonne voie » - Trouve le comportement du roi, ce refus, ce désespoir face à la mort ridicule et est méprisante : « Il n’ya que sa tirade qui n’en finit plus » « Elles l’enlisent

et semblait sauvage parmi des sauvages. Hors Chactas, son père adoptif, et le P. Souël, missionnaire au fort Rosalie, il avait renoncé au commerce des hommes. Ces deux vieillards avaient pris beaucoup d'empire sur son coeur : le premier, par une indulgence aimable ; l'autre, au contraire, par une extrême sévérité. Depuis la chasse du castor, où le Sachem aveugle raconta ses aventures à René, celui-ci n'avait jamais voulu parler des siennes. Cependant Chactas et le missionnaire désiraient vivement

cause de l'Église catholique romaine par de nombreux théologiens. Celle-ci et a donné naissance au protestantisme. Martin Luther (1483-1546) Martin Luther se fait connaitre du grand public en 1517 en affichant 95 thèses contre les indulgences (vente du salut des âmes) à Wittenberg. Il remet ainsi en question l' autorité du pape et du concile au sein de l' Eglise qui devrait selon lui se soumettre exclusivement à la parole de Dieu. Les nouvelles conceptions de Luther lui valent

ménageant son auditoire en s'adressant à eux avec des termes plutôt flatteurs « mes chers amis » ( V.15). Il vas aussi parler à la première personne du pluriel pour se mettre au même niveau que le peuple : « ne nous flattons donc point, voyons sans indulgence » Et va organiser son discours avec de nombreux connecteurs logiques « donc » « mais » « car » et des modélisateurs qui marquent le doute comme « peut être », « je crois », « je pense » qu'il utilise seulement pour se donner une meilleure image