Inegalité De Repartition Des Richesses

l’autofinancement, les taux d’intérêt (crédits) et le profit réutilisé. Être sure que le bien va être consommé. Le cout de production de ce bien. Le taux d’utilisation de ce bien. B) La notion de valeur ajoutée La valeur ajoutée mesure la création de richesse d’une entreprise, elle est égale à la valeur de la production diminué des consommations intermédiaire. La valeur ajoutée sert à rémunérer les facteurs de production qui ont permis sa création. (cad salarié, intérêt à la banque du crédit, le loyer…)

ressources de la planète, ni les richesses produites. Il y a de grandes différences présentes à toutes les échelles ( monde, continent, état, ville) On parle d'inégalités de développement. ➔ Quelles sont les grandes inégalités spatiales de richesse et de développement ? Richesse = ensemble des ressources, des biens et des services dont peut disposer une population. • PIB ( Produit Intérieur Brut ) = ensemble des richesses produit par un pays ► sert à mesurer la richesse d'un pays Développement

fiche d’objectifs Entrée par LE DEVELOPPEMENT DURABLE et le commerce équitable UN MONDE OUVERT INEGALEMENT DEVELOPPE • Comment se met en place le monde d’aujourd’hui à différentes échelles? • La richesse et la pauvreté sont-elles accentuées ou atténuées par la mondialisation? • Comment atténuer les inégalités? Documents extraits de la PAO : Je retiens • • • • • • • Le commerce équitable vise à rendre les échanges mondiaux moins inégaux Les prix des produits agricoles sont fixés à des seuils très

produit contre une somme d’argent qui correspond à sa valeur. I) La morale englobe l’activité économique a. La morale joue un rôle important On peut dire que la morale s’avère importante surtout au moment de la distribution des richesses, de la juste répartition des bénéfices de l’économie et veiller à se que personne ne souffre des lois du marché. La morale s’intéresse à l’action humaine donc elle englobe l’activité économique. Si les échanges économiques assurent le bien être de tous on peut

Chapitre 2 Les inégalités dans le monde I – Les inégalités de richesse Activité : 6,5 milliard d’habitants ( Etude des documents p. 192-193 réalisée en classe. 1) Doc 1 : Quels sont les grands foyers de peuplement ? 2) Doc 2 : A quel continent appartiennent les deux pays les plus peuplés du monde ? 3) Doc 3 et 4 : Quels sont les continents qui connaissent la plus forte croissance démographique ? Quel est le continent dont la croissance démographique est la plus faible ?

Réparation des revenus et inégalités Sujet 2 – Les inégalités de revenus sont-elles justifiables ? Les revenus que l'on perçoit représente la valeur que l'on crée » Francis Maire, ministre des finances. » Introduction: Les sociétés démocratiques se fondent sur le principe d'égalité. On considère donc que tous les individus sont égaux et souverains. Par ailleurs, il existe malgré tout certaines inégalités bien que le principe d'égalité soit mis en avant. L'idéal démocratique est donc un idéal égalitaire

1 : VERS DE NOUVEAUX INDICATEURS DE RICHESSE Partie 1 : PIB et croissance et les limites dans les usages Le PIB est devenu en moins de 4 ou 5 décennies le principal repère de nos représentations des richesses. C’est devenu en quelque sorte une mesure étalon. La croissance économique est elle devenue le principal repère du progrès. La différence entre l’un et l’autre c’est que le PIB est statique et la croissance montre l’importance du progrès des richesses dans le temps. la croissance est aujourd’hui

employeurs. La Lutte des classes est aussi toujours présente bien que fondamentalement loin de l’idéologie communiste qui disait que toutes les luttes historiques sont l’expression de la lutte des classes. Aujourd’hui, on les retrouve à cause des inégalités et du manque de méritocratie de la société. C’est ce que Thomas Piketti dit : « les privilèges de naissance et e patrimoine viennent concurrencer le capital humain, le mérite ». De même, selon une étude de 2002, en 1964, seulement 40% des français

classe sociale, la plus-value des uns est extorquée sur le travail des autres. C’est cette idée de l’exploitation d’une classe dominée (le prolétariat) par une classe dominante (la bourgeoisie) et l’inégal d’accès aux ressources socialement prisées (richesse, savoir, pouvoir et prestige) qui engendrent donc le conflit. Dans les sociétés les individus sont différenciés et hiérarchisés. Les classes sociales rassemblent des individus qui partagent les mêmes conditions et modes de vie dans de grands groupes

naturelles en émoussant les ressorts de la motivation, c'est-à-dire le mécanisme sanction/récompense. Choisissant l'optique de la demande, Keynes considère la réduction des inégalités comme un facteur de croissance : la propension à consommer est plus faible chez les hauts revenus, toute redistribution réduisant leur part dans la richesse soutient la demande, diminue l'épargne, augmente le multiplicateur. Dans la conception keynésienne, non seulement la redistribution n'est pas sclérosante, mais elle est