Inflation Et Anticipation

Approche monétariste……………………………………….P.5 B- Le déséquilibre sur le marché……………………………….P.6 II- Conséquences de l’inflation……………………….P.6 A- Effets positifs………………………………………………..P.6 B- Effets négatifs……………………………………………….P.7 Section III : Relation inflation-chômage…………P.7 I- La courbe de Phillips et l’approche keynésienne…P.7 A- La courbe de Phillips………………………………………..P.8 B- L’approche keynésienne…………………………………….P.8 II- Les analyses monétariste et de la NEC……………P.8 A- L’analyse monétariste………………………………………

vue de lutter  contre le chômage, en l'absence d'insuffisance de la demande effective. Pour ce faire, il présente une nouvelle version de la relation de Phillips prenant en  compte les anticipations adaptatives  d'inflation, ce qui lui permet de remettre  en cause l'alternative de la synthèse néoclassique inflation ou chômage. Pour Friedman, on ne peut réduire le taux  de chômage naturel que provisoirement,  en profitant de l'illusion monétaire, c'est-à-dire en augmentant l'inflation. Il en  conclut

et les prix. A anticipations de prix données, une augmentation de la masse monétaire implique une baisse du taux de chômage et une hausse du niveau général des prix. Mais le cadre statique n’est pas approprié pour comprendre le phénomène de l’inflation. Pour que le niveau général des prix augmente de façon permanente dans le cadre statique, la masse monétaire doit augmenter de façon permanente également. Mais dans ces conditions, le chômage diminue sans cesse... La relation inflation/chômage doit donc

stagnation, il perd du terrain. Les grands blocs continentaux, en Amérique latine, en Asie créeront-ils leur propre monnaie ? À long terme, l’apparente stabilité des monnaies du monde développé est-elle crédible ou sombrera-t-elle dans une nouvelle inflation pour trancher le conflit entre générations dans une Europe vieillissante ? Enfin, seronsnous capables de tirer parti de l’étroit couloir de temps qu’offre la démographie pour exploiter l’opposition entre les pays du Nord, développés, riches en capital

stagnation, il perd du terrain. Les grands blocs continentaux, en Amérique latine, en Asie créeront-ils leur propre monnaie ? À long terme, l’apparente stabilité des monnaies du monde développé est-elle crédible ou sombrera-t-elle dans une nouvelle inflation pour trancher le conflit entre générations dans une Europe vieillissante ? Enfin, seronsnous capables de tirer parti de l’étroit couloir de temps qu’offre la démographie pour exploiter l’opposition entre les pays du Nord, développés, riches en capital

en relation le taux de chômage courant avec le taux d’inflation. Lorsque le chômage est « faible », les salaires, et donc les prix, s’accroissent ; à l’inverse lorsque la conjoncture est déprimée et le chômage fort, l’inflation salariale et donc l’inflation tout court sont faibles. 14 CONSEIL D’ANALYSE ÉCONOMIQUE La rupture des années soixante-dix marque un « changement de régime » : le même taux de chômage déclenche désormais une inflation plus élevée. La raison en est double. D’une part, la

tard des décisions d’achat ou de consommation). Remarque : on peut garder sa richesse sous d’autres formes (actifs réels, actifs financiers). Mais la monnaie a une particularité : elle est parfaitement liquide et elle est sans risque (hors inflation). ( La monnaie est tout bien qui remplit ces trois fonctions. 1.3. Les formes de la monnaie La définition de la monnaie est immatérielle mais elle a un support matériel = le Corpus monétaire. Ses caractéristiques ont beaucoup

stabilité des prix est une condition impérative à la bonne conduite d’une économie. A cet égard, on a revu les buts poursuivis par les banques centrales. Il est désormais couramment admis qu’une bonne politique monétaire poursuit l’objectif d’une inflation stable et peu élevée. Dans beaucoup de pays industrialisés, le ciblage d’inflation en tant que politique monétaire a donc remplacé les régimes du taux de change fixe et du ciblage de l’agrégat monétaire, et ce dû aux difficultés rencontrées lors

(demande) Offre de travail = f (Population en âge de travailler) = demande d’emplois Chômage = Offres d’emplois – demande d’emplois On a réussi à mettre en relation le chômage avec la demande globale. Supposons que les entreprises est des anticipations de demandes en fortes croissances. C'est-à-dire des débouchés qui augmente. Donc les entreprises embauchent plus qu’elles ne licencient, donc le chômage diminue. On peut donc considérer que l’insuffisance de la demande peut être une cause du

liquidité comme les autres économies développées. En témoigne la forme de sa courbe des taux. Des lors, une injection de liquidité massive n’est pas inflationniste et peut même être salutaire si elle parvient à modifier les anticipations des agents. b. …Et frappée d’une inflation probablement transitoire Le programme concerne exclusivement des bonds du trésor nominaux : une façon de continuer à financer le déficit public par la planche à billet : le programme vise des maturités longues (supérieures