Inflation Et Anticipation

d'intérêt est le prix qu'il faut payer pour emprunter de l'argent. Pour le prêteur ou créancier, c'est la rémunération pour le service qu'il rend à l'emprunteur ainsi que pour le risque qu'il encourt de ne pas être remboursé. Ce taux est lié aux anticipations de la croissance économique. La croissance se définit comme l'accroissement durable de la production globale d'une économie. C'est un phénomène quantitatif et de longue période. Elle se distingue de la notion de développement

travail C. - Le chômage frictionnel D. - Le taux d'emploi du capital Paragraphe II. - La croissance I. - Les bénéfices de la croissance A. - Les effets économiques B. - Les effets sociaux II. - La croissance en question A. - Croissance, emploi et inflation B. - La mesure de la croissance C. - Croissance et environnement Paragraphe III. - L'équilibre extérieur I. - L'équilibre des marchés A. - La balance des paiements 1 - La balance des paiements courants a - La balance commerciale b - Les revenus et

expansionnistes et une monetisation du deficit budgetaire, les engagements des autorites a delivrer une inflation faible ne sont pas credibles. De ce fait, ces pays sont marques par un biais inflationniste qui genere une inflation plus elevee que celle qui est socialement optimale. Dans ce contexte, l'adoption d'un systeme de change fixe fournit un ancrage nominal a la politique monetaire et aux anticipations des agents economiques et impose une discipline aux politiques monetaire et budgetaire. Par ces

donc, en cohérence avec la vision libérale, à remettre en cause l’interventionnisme économique. 59 Comme les quantitativistes, les monétaristes pensent que la monnaie est neutre. L’effet positif sur l’économie « réelle » est temporaire. Si les anticipations des agents économiques sont correctes, une politique fondée sur un crédit bon marché ne fera qu’accélérer l’inflation. 1. Expliquez l'expression « la monnaie est un voile ». La monnaie est un voile car elle ne fait que recouvrir les variables

l'orientation haussière de l'inflation devrait se poursuivre au cours des prochains mois. Le taux d'inflation en glissement annuel se situerait à 0,4% à fin avril 2010, 0,5% à fin mai 2010 et 1,7% en juin 2010, en rapport essentiellement avec les anticipations de hausse des prix des céréales dans la plupart des pays. A fin décembre 2010, le taux d'inflation en glissement annuel dans l'Union est projeté à 2,5%. Il se situerait dans un intervalle allant de 1,5% à 3,2%, en tenant compte des scénarios sur

re s'obtient en capitalisant N fois ce taux apparent : N ia où ia/N est le taux proportionnel sur 1/N-ième d'année. 1 re 1 N Taux composé en continu : N tend vers l'infini lim 1 N i N N e i 2.4- Conclusion rendement taux d'intérêt 1 in 1 inflation anticipée = taux des OAT non indexées – taux des OAT indexées (émises prendre en compte l'inflation définir le taux d'intérêt réel : 1 i r prendre en compte la fiscalité taux d'intérêt net d'impôts et prélèvements sociaux (CRDS et CSG)... pour

pui l'analyse des tendances monétaire. Stabilité des prix avec un niveau aujourd'hui qui est fixé de façon irrémédiable, niveau de 2% par an. Ici, l'objectif de 2% par an repose sur l'inflation qui correspond à une croissance seine de l'économie. Inflation doit se situer autour de 2% c-a-d que si on est en dessous de 2% qqch « qui cloche ». Si au dessus, dérape de l'économie. Deuxième chose, cette politique monétaire doit se faire en harmonie avec les autres mesures de politique économique et décidé

comparer en grandeur absolue. On est cependant en décalage au niveau des dates. Dans la page enquête : Ceux sont des données qualitatives : indice de confiance, de production… le résultat d’opinion qui est formulé par les chefs d’entreprise. Les anticipations sont plus négatives par rappport à la période précedente, il faut anticiper une baisse de la production. Il y a des éléments manquants : Il n’y pas de proposition d’actions. On reste dans un contexte qui est purement descriptif il n’y a pas

relance par la baisse des taux d’intérêt afin de rendre moins coûteux l’endettement des ménages (hausse consommation) et l’endettement des entreprises (hausse de l’investissement) pour stimuler la croissance économique. Les taux d’intérêt réels cad inflation déduite ont suivi la baisse des taux nominaux car l’inflation devait être stable. (tx î nominal – tx d’inflation ≈ tx î réel) 6) En quoi le niveau des taux d’intérêt est-il un déterminant de l’investissement des entreprises ? Le niveau des taux d’intérêt

CHAP 5=Inflation et politique monétaire La politique monétaire et les sciences économiques : quelles relations ? La politique monétaire est avant tout « un art en évolution » • Jusqu’en 1970 : ancrage monétaire dans un contexte de change fixe, contrôle direct du crédit • Années 1970 :développement du ciblage monétaire • Années 1980 et 1990 : dérèglementation, indépendance des BC, open market, pour atteindre directement l’objectif final de stabilité des prix • Années 2000 :