Influence D Autrui Sur Soi

revanche pourrais être sanctionné au niveau interne (culpabilité, remords, regrets...). Malgré des différences bien marquées entre le droit et la morale, on trouve tout de même une certaine ressemblance, comme si l’un avait influencé l’autre. Quel est donc l’étendu de cette influence même si les finalités ne sont pas les mêmes ? Il est donc nécessaire d’avoir une certaine distinction entre la règle de droit et les règles morales (I) mais également de laisser entrevoir une certaine coordination entre

conduit à des impressions complètements différentes. Puisque tous les traits ne revêtent pas tous la même importance. Certains contribue à colorer la perception d’ensemble, c’est le cas de « chaleureux et froid » alors que d’autres n’exerce qu’une influence secondaire. * 91 % la jugent comme qqn de « généreuse ». Et y associe avec le mot chaleureuse = heureuse et ayant du succès. 9 % la jugent « malheureuse » / « impopulaires » L’effet de primauté Les premières informations reçues influencent

ris jaune, alors que je sais d’un savoir immédiat ce que mon rire dissimule. La présence d’autrui ne semble donc pas pouvoir apporter quelque chose d’essentiel relativement à la conscience que j’ai de moi-même. Pourtant en certaines circonstances, autrui paraît plus clairvoyant que moi sur mon propre compte : chacun sait bien qu’il ne lui est pas indispensable de consulter un psychanalyste pour apprendre sur lui-même des vérités qu’il aurait volontiers laissées à l’ombre se sa mauvaise foi ou dans

personnes au sein d’un groupe ou d’un collectif. C’est un phénomène intragroupe. Il concerne une influence qu’un groupe exerce sur ces membres. C’est une influence majoritaire qui s’agit qu’un individu est influencé par la majorité du groupe auquel il appartient. Une pression implicite de la source d’influence sur la cible qui se rend compte de cette influence mais la cible ne se rend pas compte qu’il influence des fois sur la source. Des statuts identiques pour la source et la cible d’influence. Norme

discours, parfois on n’est pas conscient d’avoir était influencé, mais avec d’autres marqueurs on constate une influence. PARTIE 2 : L’INDIVIDU DANS LA SOCIÉTÉ ET LE GROUPE : PREMIÈRE APPROCHE DE L’INFLUENCE SOCIALE Tout individu a une vie sociale il est dans la société de fait, donc dans la culture et dans les groupes. A la base de toute vie sociale il y a de l’influence, que l’on appelle influence sociale. Définition : Influence : C’est l’ensemble des empreintes et des changements

appartient. GROUPE DE REFERENCE = c'est un groupe social auquel un individu s'identifie, qui lui sert de modèle. Il peut y appartenir ou ne pas y appartenir. COMPORTEMENT = l'ensemble des réactions et manifestations d'un individu observable par autrui. ATTITUDE = c'est un état d'esprit, opinion. INSTITUTION = organisme visant à maintenir des règles en vu de la satisfaction d'intérêt collectif. ORGANISATION = groupement de moyens matériels et humains qui se fixe un objectif déterminé.

L'extrait du traité théologico-politique de Spinoza est coupé en deux paragraphes. Il étudie différentes façons de prendre la liberté d'un individu. Durant le texte il énonce plusieurs possibilités pour démunir autrui de sa liberté de sa raison. Dans un premier temps, il montre grâce a deux procédés comment enlevé la liberté physique d'une personne. Puis dans un deuxième temps, il explique comment on peut prendre maitrise de l'esprit d'autrui et ainsi celle de son corps. Spinoza nous explique

et une autre pour s’affirmer Les freins : les craintes, les inhibitions, les risques, peurs Les attitudes qui sont étudiées par les entreprises pour mieux cibler ➢ Situations et expériences de consommation Situation = heure, lieu, contexte, influence le comportement du consommateur (ex : un magasin rempli de client attire) Les expériences influencent également (déceptions, satisfactions, etc) Le processus d’achat : ➢ Naissance du besoin ➢ Recherche d’information ➢ Décision de l’achat

lequel il appartient. - La prise en compte de la caractéristique des personnalités. Grâce aux 3 premières variables : - Ils établissent une typologie des contextes de vie des nouveaux arrivants. L’individu ou le nouvel arrivant a des influences selon qu’il est une solidarité de groupe ou non avec sa tribu. - Ils montrent aussi que l’adaptation des individus est liée à un cycle ou une dynamique qui passe par la désorganisation des normes sociales (remettre en question les normes dictées

suis-je réellement ?), correspond à l’image que l’individu a de lui-même dans la réalité. • Le soi n’est pas toujours stable, il est également dynamique car malléable par l’environnement social. Le soi social est le résultat des interactions avec autrui et des rôles que l’on joue dans notre société. • Le soi idéal est défini comme l’ensemble des caractéristiques qu’une personne voudrait posséder, en réponse à la question « comment voudrais-je être dans l’idéal ? ». Il fait référence à l’image que