Influence Dom Juan

de tout le monde. Effectivement on peut remarquer par exemple dans Dom Juan de Molière une relation maître-valet très traditionnel. En effet, Sganarelle, le valet, doit suivre son maître. On peut remarquer cela en fonction de la présence simultanée des deux personnages dans quasiment toute la pièce. Qui plus est, Sganarelle ce voit obligé de servir Dom Juan, quitte à mettre de côté sa propre fierté. En effet, dans la pièce, Dom Juan se dérobe à de nombreuses reprises pour ne pas paraître ridicule

balourd et le naïf : gourmand, paresseux et poltron, il fait le pitre sans le vouloir par ses discours incohérents et son manque d'équilibre. Pedrolino (Pierrot) en est une version plus honnête et sentimentale (cf. costume blanc) Le Sganarelle du Dom Juan de Molière hérite de ce déséquilibre : « il se casse le nez » avec son « raisonnement ». Le couple maître/valet Pour des raisons d'équilibre dans ces comédies assez primitives, les relations se fondent sur la complémentarité. Un maître grotesque

retrouver ajoutés comme les nains de la mise en scène de Raymond Rouleau de Ruy Blas). S’en suivent les didascalies, accessoires et décors qui sont perçues bien souvent comme une obligation de mise en scène. Pour les didascalies cela peut venir d’une influence majeure sur l’intrigue comme la reine faisant tomber la lettre et le morceau de tissu de sa robe, action sans laquelle la reconnaissance des deux amants eut été impossible. De même certains accessoires et éléments du décor permettent la compréhension

Dom Juan, la scène du pauvre : Acte III sc ène 2 Intro : • Sc. met présence héros libertin rationnel et impie et pers complètement opposé tant dans hiérarchie sociale qu'aux points vue éthique et idéologiques, dont c'est la seule apparition dans pièce : un ermite nécessiteux (Franciscains faisaient vœu pauvreté, vivaient hors société pour se consacrer prière) • Qui sortira vainqueur de cette scène qui illustre un aspect de la philosophie libertine ? 1) Un affrontement manichéen :

l’importance des éléments du reste de la mise en scène seront mis en avant. De plus, nous nous appuierons sur la représentation de Dom Juan ou le Festin de Pierre de Molière réalisée par Daniel Mesguich. En premier lieu, la part de l’acteur se révèle importante dans l’interprétation du texte par le spectateur. En effet, plusieurs éléments permettent d’en influencer le sens. Tout d’abord le ton de la voix, la vitesse et le volume permettent de dégager une émotion plus ou moins intense, qui n’était

Dom Juan, la scène du pauvre : Acte III scène 2 Intro : • Sc. met présence héros libertin rationnel et impie et pers complètement opposé tant dans hiérarchie sociale qu'aux points vue éthique et idéologiques, dont c'est la seule apparition dans pièce : un ermite nécessiteux (Franciscains faisaient vœu pauvreté, vivaient hors société pour se consacrer prière) • Qui sortira vainqueur de cette scène qui illustre un aspect de la philosophie libertine ? 1) Un affrontement manichéen : a) Le

mois ils s’installent dans l’appartement de ce quartier tranquille où je vais naître. L’année suivante ils décident de se marier. Tania cesse de défiler pour les couturiers, elle rejoint Maxime dans le magasin de la rue Bourg-l’Abbé, et sous leur influence le commerce se spécialise en article de sport. Maxime vit toujours sous l’émerveillement de leur rencontre. Tania ressent elle aussi ce sentiment de plénitude mais elle voudrait un enfant. Maxime hésite, il veut profiter seul de Tania quelques

économiques. La femme à cette époque est fortement dévalorisée et conduite à des échecs consécutifs. L’homme après avoir manipulé et utilisé la femme, la rejette comme une cigarette que l’on allume, on consomme et l’on jette. En effet dans Dom Juan de Molière, Dom Juan est un personnage infidèle et séducteur, ce jeune noble accumule les conquêtes amoureuses en séduisant les jeunes filles nobles et servantes. La séduction est le seul intérêt de ce personnage et les femmes sont ainsi bafouées et déshonorées

la   Commedia   dell’arte,   en   soumettant   tout   (jeux   de   scènes,  débordements  verbaux)  à  l’action  de  la  pièce  et  en  donnant  de  l’importance  au  jeu   non  verbal.  Cette  influence  a  été  si  grande  que  l’on  peut  affirmer  que  Molière  a  contribué   lui-­‐même   à   l’histoire   de   ce   genre   théâtral.   D’ailleurs,   les   comédiens   italiens   ont   fini   par

la dictature à travers l’image d’une transformation physique en animal sauvage. Dans le second extrait, tiré de Dom Juan de Molière, on assiste à la mort exemplaire d’un héros outrageux. Ici, les effets sont poussés à l’extrême  du tragique : l’aspect solennel de la scène de dénouement, présente dans les propos de la statue, côtoie l’emphase, traduite par les exclamations de Dom Juan : « Ô ciel ! », « Ah ! » ou par les expressions hyperboliques telles que « Un feu invisible me brûle ». On trouve