Infraction Recel Maroc

nouvelles méthodes de faux sont apparues dans le domaine informatique, notamment la falsification d’adresses E-mail. Si en France une loi du 28 novembre 2000 relative à la criminalité informatique est en vigueur, est ce qu’ont peut se contenter au Maroc de considérer les données électroniques comme des écritures au sens de l’article 351 du code pénal ? Généralement, le délit du faux est commis pour s’en servir, mais le législateur marocain fait la distinction entre le faux en écritures privées

la discipline n’est pas clairement défini. Il y a donc autant de définitions qu’il y a d’auteurs. La lecture des ouvrages nous apprend qu’ils se réduisent à l’étude d’une suite d’infractions en distinguant les infractions du droit commun applicables au droit des affaires et les infractions spécifiques du droit des affaires. Aucune conséquence juridique n’est attachée à cette distinction qui n’a d’autre valeur que didactique. Il faut donc tenter par une approche criminologiste pour comprendre le phénomène

Unies de Vienne (1988) et de Palerme (2000) que du GAFI .Elles sont toutes fondées sur deux constats. -d’abord en droit strict, le blanchiment de capitaux suppose toujours un concours de deux ou plusieurs infractions et, à cet égard il se définit toujours par rapport à une infraction principale ou sous-jacente sur laquelle il s’appui pour se réaliser, (l’exemple le cas du trafic illicite des stupéfiants suivi de dépôt de fonds à la banque) Ainsi, la convention de Vienne de 1988 détermine

Section 1 : La condition préalable § 1 : L’existence d’un contrat § 2 : L’existence d’une remise Section 2 : Les éléments constitutifs § 1 : Le détournement § 2 : Le préjudice § 3 : L’élément moral Section 3 : La répression Chapitre 3 : le recel de choses Section 1 : la condition préalable § 1 : La provenance de la chose § 2 : La nature de la chose Section 2 : les éléments constitutifs § 1 : L’élément matériel § 2 : L’élément moral Section 3 : la répression § 1 : Les peines § 2 :

confiance Section 1 : La condition préalable § 1 : L’existence d’un contrat § 2 : L’existence d’une remise Section 2 : Les éléments constitutifs § 1 : Le détournement § 2 : Le préjudice § 3 : L’élément moral Section 3 : La répression Chapitre 3 : le recel de choses Section 1 : la condition préalable § 1 : La provenance de la chose § 2 : La nature de la chose Section 2 : les éléments constitutifs § 1 : L’élément matériel § 2 : L’élément moral Section 3 : la répression § 1 : Les peines § 2 : La prescription

soustraire aux conséquences de répressions légales de ces actes, − Le recel ou la dissimulation de la véritable nature, provenance, localisation, cession, ou mouvement de tels biens, sachant qu’ils proviennent d’une infraction, − L’acquisition, la détention ou l’utilisation de biens que celui qui les acquiert, les détient ou les utilise sait, au moment où il les reçoit, qu’ils émanent d’une infraction ou de la participation à une infraction.  L’approche culturelle : Le blanchiment réunit trois éléments

B - La Procédure L’enquête sur l’Angolagate a pris forme en 1999 lorsque les juges d’instruction Philippe Courroye et Isabelle Prévost-Deprez ont été en charge d’un dossier concernant une affaire de blanchiment d’argent entre le France et le Maroc et ont par la suite interrogé un avocat fiscaliste du nom d’Allain Guilloux. Celui-ci s’est retrouvé accusé et mis en examen pour « abus de confiance » (article 321-1 du code pénal) et « blanchiment aggravé » (article 324-1 du code pénal) en Juillet

affaires et que les auteurs ne mettent pas toujours les mêmes infractions dans l’enveloppe de ce droit. En effet la conceptualisation de la délinquance pénale fait inévitablement appel aux notions d’économie et d’entreprise, concepts certes peu juridiques mais la réalité démontre que ni le caractère substantiel du délit d’affaire ni le caractère formel ne permettent de définir un concept pragmatique et universel. En effet plusieurs infractions pénales de droit commun peuvent être transposées à la criminalité

17 Avril 2007. *Article 218-4.-Le financement du terrorisme constitue un acte de terrorisme. Constituent un financement du terrorisme, les actes ci-après, indépendamment de la survenance de l’acte de terrorisme, même lorsqu’ils sont commis hors du Maroc ; * le fait de fournir, de réunir ou de gérer délibérément par quelque moyen que ce soit, directement ou indirectement, des fonds ou des biens, même licites, dans l’intention de les voir utiliser ou en sachant qu’ils seront utilisés, en tout ou en

 ETUDE SECTORIELLE L'offre À ce jour, près de 400 000 hectolitres de vin, dont plus de 50% de qualité supérieure, sont produits chaque année au Maroc. Avec plus de 40 millions de bouteilles par an, le Maroc fait même partie des grands producteurs de la région derrière le voisin algérien (environ 500 000 hectolitres par an). Le marché du vin réalise un chiffre d’affaires de 1,4 milliard pour les vins. En octobre 2011, il a généré des recettes fiscales de plus de 1,28 milliard