Ingmar Bergman

Compte rendu : Festival Boréales Journée du Mardi 8 Novembre : Cette première journée a été marquée selon moi par un film très noir et une exposition photographique poétique et sensible Le premier film que nous avons vu réalisé par Ingmar Bergman se nomme Au seuil de la vie. C’est un film que j’ai trouvé fascinant car le thème de l’accouchement est vu ici, comme un événement non pas heureux mais problématique, difficile et triste. Le film est consacré aux destins de trois femmes de milieux

cinéma, Alain Resnais est rapidement considéré comme l'un des grands représentants du Nouveau cinéma (équivalent du Nouveau roman en littérature) et comme un des pères de la modernité cinématographique européenne, à l'instar de Roberto Rossellini, Ingmar Bergman et Michelangelo Antonioni dans sa manière de remettre en cause la grammaire du cinéma classique et de déconstruire la narration linéaire[2],[3],[4]. Cinéaste expérimental, capable de se remettre en question à chaque nouvelle réalisation[5]

même mondial. Pour l’étranger, l’influence est incontestable, comme en témoignent les cinéastes Jerzy Skolimowski, Milos Forman, Bernardo Bertolucci, Marco Bellocchio, Pier Paolo Pasolini, Glauber Rocha. À cette liste, on peut rajouter Ingmar Bergman, Luis Bunuel ou Federico Fellini qui réalisent alors leurs films les plus libres, les plus dégagés de toute contrainte narrative. La Nouvelle Vague marquera également toute une génération de cinéastes américains : Martin Scorsese, Francis

FELLINI | George Bernard SHAW | Michel AUDIARD | Jean-Dominique DE LA ROCHEFOUCAULD | Aaron SPELLING | Patrick Leigh FERMOR | Ed WOOD | Michael LANDON | Anthony MANN| SAINT-GRANIER | Carlo GOLDONI | Daniel GELIN | Michael GLAWOGGER | Alberto SORDI | Ingmar BERGMAN| Brad RENFRO | Francesco ROSI | Nikos PAPATAKIS | Gabriel AXEL | Stephen J. CANNELL | Menahem GOLAN | Chris VANDER STAPPEN | Robert DREW | Matthew COWLES | Gerard BLAIN | David LEAN | Jean GREMILLON | Patrice CHEREAU | Christian FECHNER | Rene

Illuminations, Lettres dites « du Voyant » (Poésie/ Gallimard) Sarraute (Nathalie), Le Silence, Le Mensonge, L’Usage de la parole Shakespeare (William), Macbeth Vercors, Le Silence de la mer Woolf (Virginia), Mrs Dalloway III- La parole au cinéma Bergman (Ingmar), Le Silence Dreyer (Carl Theodor), Ordet Eustache (Jean), La Maman et la Putain Kechiche (Abdellatif), L’Esquive Rohmer (Éric), Les Nuits de la pleine lune, Le Rayon vert, Conte d’été… IV- Pour l’oral • La Culture générale de A à Z, Hatier

Sternberg ( il façonnera la vedette Marlène Dietrich ). Stiller meurt en 1928 après ce dernier film qu'il n'a pas pu finir. Après le départ de ces deux grands réalisateurs suédois, la cinéma suédois connait un coup d'arrêt à la fin des années 20. Ingmar Bergman sera l'un des rares à faire connaître son nom de réalisateur dans l'après seconde guerre mondiale. Voir le documentaire de Kévin Brownlow. «  L'autre Holywood : L'europe »

puisqu’il s’agit d’un homme qui dévoile le viol incestueux de son père. Puis dans Jagten, puisque c’est un homme accusé de pédophilie et à cause de ceci son ex-femme n’autorise pas son enfant à voir son père. Les inspirations Thomas Vinterberg sont Ingmar Bergman, un réalisateur suédois qui a fait comme film Fanny et Alexandre. Vinterberg s’inspire de la scène festif du début pour son film Festen. À un moment dans le film il y a des gens qui tourne et danse autour de la table et il a repris cette scène

Les Enchaînés, Alfred Hitchcock ; Ivan le Terrible, S. M. Eisenstein ; Le Parrain, Francis Ford Coppola ; La Soif du mal, Orson Welles ; Le Vent, Victor Sjöström. 17e ex aequo : 2001 : L'Odyssée de l'espace, Stanley Kubrick ; Fanny et Alexandre, Ingmar Bergman. 18e ex aequo  : La Foule, King Vidor ; Huit et demi, Federico Fellini ; La Jetée, Chris Marker ; Pierrot le Fou, Jean-Luc Godard ; Le Roman d'un tricheur, Sacha Guitry. 19e ex aequo  : Amarcord, Federico Fellini ; La Belle et la Bête, Jean Cocteau ;

fournir de nouvelles propositions esthétiques, il crée un univers complexe, sombre et volontiers provocant, dont les préoccupations métaphysiques et la vision allégorique sont influencées par les maîtres de l'école scandinave, Carl Theodor Dreyer et Ingmar Bergman et par le réalisateur soviétique Andreï Tarkovski à qui son film Antichrist est dédié2. L'individu, l'intimité, la peur et la menace d'accidents dramatiques constituent la matière première de son inspiration1. Ses réalisations, qui explorent

School .Soucieux d'inventer un cinéma singulier, capable de réfléchir son pouvoir de figuration et proposer de nouvelles esthétiques de réalisation, il crée un univers complexe et provocant qui s’inspire des grands maîtres de l'école scandinave, Ingmar Bergman Andreï Tarkovski à qui son film Antichrist est dédié. L'individu, l'intimité, la peur et la menace d'accidents dramatiques constituent le centre de son inspiration.Lars von Trier cherche fréquemment à réinterpréter, voire à réinventer des genres