Ingérence Humanitaire

- courses des États pour des terres nouvelles après découverte de l'Amérique. => équilibre des puissances, assurer la coexistence pacifique Aujourd'hui : => préserver les valeurs communes à l'humanité : - développement droit international humanitaire : bataille de Soférino → Convention de Genève 1864 ? - création de droits au profit des particuliers : ex DUDH 1948 II. Du droit moderne au droit contemporain : -SDN - Organisation des Nations Unies 1945 Section 2 : Les caractéristiques

Justice. Lorsqu’elle est ratifié le 24 octobre 1945 par la majorité d’entre eux, l’ONU naît officiellement. a) Ses principes : • L’égalité souveraine de tous les Etats, quelques soit leur taille ou leur puissance. • La non – ingérence dans les affaires intérieurs de chaque pays. • Le droit des peuples à disposer d’eux même. • Le règlement pacifique des litiges entre les pays. L’idée qui préside à la création de l’ONU : une volonté de créer un organisme international

va se développer vis a vis de certains pays proches des USA (surtout l'Amérique latine) => Colonialisme, intervention économique, ingérences ponctuels dans la vie de certains états.  Mac Kinley (25 eme président américain, gouverne de 1897 a 1900, réélu en 1900 et assassiné en 1901). L'intervention armée doit être en accord avec les grands principes humanitaires et doivent avoir des motifs recevables. Déclare la guerre au colonialisme espagnol = Cuba doit retrouver sa liberté. Ce conflit va permettre

En 2006, au terme de son second mandat, il quitte l'ONU et s'engage au sein de différentes fondations humanitaires. PREMIER MANDAT DE KOFI ANNAN (1997)Il arrive au Secrétariat général de l’organisation à un moment de crises des missions d’observation et d’interposition : · Le respect du principe de la souveraineté étatique limite le champ d’action des forces

victimes savaient l’existence des massacres. De plus, la philosophie politique de l’époque accordait une importance aussi excessive que restrictive à la notion de souveraineté nationale. L’ONU (art. 2 7 de sa charte) et ljOUA s’interdisaient les ingérences dans les affaires intérieures des Etats, et les violences internes relevaient du domaine de la souveraineté nationale. Pourtant, dès sa création, l’OUA a accordé une place essentielle au règlement pacifique des conflits considéré comme la raison

l’essentiel du débat sur cette forme d’ingérence : celle de savoir si cette intervention extérieure en vertu des protections des populations est permise ? L’article 2 §4 de la Chartre de l’Organisation des Nations Unies dispose que le principe de non ingérence est un principe fondamental en droit international, car il est le vecteur qui permet de préserver matériellement l’égale souveraineté de tous les états membres de la Chartre, disposition elle-même inscrite à l’article 2 $1 de la même Chartre. Devant

pas les Nations unies à intervenir dans les affaires qui relèvent de la compétence d’un Etat. Principe de non-ingérence dans les affaires intérieures. Cela ne concerne pas l’UE et les autre Etats. Droit des Etats l’emportent dur les Droits de l’Homme. Il y a eu les ONG qui ont considéré qu’elles avaient un droit moral d’aller aider. Mais cela restait moral. « Devoir d’assistance humanitaire » est-ce un devoir ou un droit ? D’assistance ou d’ingérence ? Chapitre 7 de la charte de nations unies, violation

|entre les deux pays. | |1958 |Groupe d'observation des Nations unies au Liban (Gonul) chargé de surveiller pendant six mois les ingérences de la | | |République arabe unie (État constitué par l'union de l'Égypte et de la Syrie). | |1960-1964 |Opération des Nations unies au Congo (Onuc) établie pour assurer le retrait des

Malgré l’hétérogénéité politique des participants, les principes de la conférence de Bandung (1955) s’inscrivent dans le courant neutraliste de l’afro-asiatisme ; les valeurs d’indépendance, le respect de la souveraineté de chaque État et la non-ingérence dans les affaires intérieures condamnent à la fois le joug colonial européen et la mainmise des Grands. En 1956, la conférence de Brioni et Suez confortent la conception d’un Tiers Monde qui transcende l’opposition des blocs. Le mouvement des Non-alignés

objectifs du cours : 1. La maîtrise des notions fondamentales du droit international qui sont complémentaires de celles étudiées en droit constitutionnel et institutions politiques Etat – souveraineté – territoire de l’Etat – principe de non-ingérence dans les affaires intérieures – Etat ouvert 2. L’initiation au fonctionnement particulier du système international Ordre horizontal – absence de tripartition du pouvoir – sources du droit international – moyens de le faire respecter