Injection Parentérale

gavage duodénal continu avec en plus une sonde gastrique de décharge, soit une alimentation parentérale. L'alimentation parentérale, par perfusion périphérique ou de préférence par cathéter central, permet un apport calorique optimal. Elle doit être réservée aux situations de difficultés alimentaires sévères. Elle a l'inconvénient de prédisposer aux infections nosocomiales. Les poches de nutrition parentérale doivent être préparées stérilement. Actuellement, la ventilation mécanique, avec une sédation

t raitement du paludisme 7.6 7.6.1 Autres aspects de la prise en charge clinique Le malade peut-il prendre une médication par voie orale ? Certains malades ne tolèrent pas le traitement par voie orale et exigeront une administration parentérale ou rectale pendant 1 jour ou 2 jusqu’à ce qu’ils soient en mesure d’avaler et de garder de façon certaine une médication orale. Bien que ces malades ne présentent pas de signes de gravité, ils doivent recevoir le même schéma posologique que pour

traitement………………………………………………………………………………………………….page5 4- Les risques liés à la nutrition entérale………………………….………..…….…..page7 II- La nutrition parentérale………………….…………………………….……..…page9 1- Les causes d’une nutrition parentérale……..…………………….…….………......page9 2- Le matériel pour la mise en place d’une nutrition parentérale….page9 3- Le traitement……………………………………………………………………..………..………..page13 4- Les risques liés à la nutrition parentérale.............................................page15 III- La nutrition artificielle, un défi plein de

de médicaments, et de produits par voies orales, entérale, parentérale. Le contexte : La situation de soins se déroule dans la chambre de monsieur T. Philipe, vers 8h. Lorsque je suis entrée dans la chambre de monsieur, accompagnée de l’infirmière, monsieur est installé dans son fauteuil avec son Adap Table devant lui. Il était en train de manger son petit déjeuner. Nous sommes venues voir monsieur T. afin de lui effectuer une injection sous-cutanée de Lovenox prescrite à la suite de son opération

prises en charges sont variés : nursing, injection, pansement, passage quotidien, hebdomadaire… en fonction des prescriptions et besoins des patients. La situation qui m’a interpelée concerne une patiente qui présente des antécédents médicaux conséquents et une prise en charge qui doit être rigoureuse au niveau de l’asepsie.1. Description de la situationLe premier soir de mon stage, nous nous rendons avec MC chez Madame CB pour lui poser son alimentation parentérale. Il m’explique dans la voiture pendant

d’Oxynorm sera possible d’ici 2h. La patiente semble alors montrer des signes d’énervement et d’agacement et s’exclame : « de toute façon, en comprimé ça fait rien. Tout ce que vous me donnez ça sert à rien ! Moi ce que je veux c’est de la morphine en injection, j’en ai besoin. Les comprimés, c’est nul ! ». Je lui annonce que je vais m’enquérir de ce qui est de mon ressort et de ce que je peux entreprendre. Je sors de la chambre et informe mon infirmier référent de la situation. Il me recommande alors

Pour la voie rectale   Muqueuse rectale : excellente pouvoir d’absorption. Apres administration par voie rectale : les PA passent très rapidement dans la circulation par les veines hémorroïdale= effet de 1er passage hépatique. Voies parentérales : Définition : préparation stérile destinées à être injecter, perfuser ou implanter dans le corps humain ou animale. Différentes formes pharmaceutique : 1. Les préparations injectables :  Solutions, émulsions, suspensions stériles, ajoutées

financée par sa couverture maladie universelle et par la sécurité sociale. Nous sommes à J1 d’hospitalisation : Mr B présente comme pathologie principale un syndrome coronarien aigu 2ème épisode qui est traité par : Lovenox (anticoagulant) 0.9 injection parentéral 2*/jour à 8h et 20h Bisocé 2.5mg (bétabloquant) en comprimé per os : 2*/jour : 1 le matin et 2 le soir. Efient (antiagrégant plaquettaire) en comprimé per os : 1*/jour le midi Mr B présente un risque de récidive d’infarctus du myocarde qui

inutilisables Action limitée dans le temps 4) Voie vaginale Uniquement usage local Attention quand même au nourrisson en cas d’allaitement 5) Voie pulmonaire Certains anesthésiques généraux Thérapeutique inhalée (aérosols, spray) III. VOIE PARENTERALE OU INJECTABLE A. Caractères généraux Effraction cutanée Avantages : Pas de 1er passage hépatique Pas de contact avec les sucs digestifs Voie utilisée en cas d’inconscience, coma Utilisée lors de vomissements Permet la bonne observance du traitement

responsabilité de l’infirmier pour la prise des médicaments :Pour résumer : l'IDE doit administrer la bonne dose du bon médicament, par la bonne voie, au bon moment, à la bonne personne. 2. « Généralités injections et perfusions » 2.1 Définir injection parentérale : Elle consiste à introduire dans l’organisme des substances médicamenteuses par une autre voie que le tube digestif (= voie entérale). La substance médicamenteuse est introduite par l’intermédiaire d’une aiguille