Injustice Sociale Candide

biais de cette fable, Jean de la Fontaine dénonce deux acteurs principaux de la société de cette époque, le courtisan (ici le renard) ne sachant que flatter pour obtenir ce dont il a besoin et le courtisé (le corbeau) bien haut perché sur l'échelle sociale, sensible aux belles paroles des courtisans qu'il écoute et qu'il absorbe. Le courtisé ne vit en définitive que pour ces quelques compliments et fait vivre les courtisans qui vivent à ses dépends. Le courtisé et le courtisan sont au final tous les

le premier recueil des Fables publiées en 1668 : « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion » et « Le Loup et l'Agneau ». Ces textes mettent en œuvre une série d'oppositions. Le « Conte arabe » est ainsi fondé sur la différence sociale entre le peuple et le roi. Cette différence se retrouve dans les deux fables, par la mise en scène de prédateurs représentant l'autorité, la violence et la puissance – le Lion dans le texte 2 et le Loup dans le texte 3 – face à des proies ou des «

(1733-1749) : ma femme Émilie 1.3 La maturité avérée (1749-1768) 1.3.1 Bonjour et au revoir à Berlin (1749-1753) 1.3.2 Sexagénaire, et recherche d'un gîte à la frontière de la France (1753-1755) 1.3.3 Tremblement de terre et lancement d'un livre : Candide (1755-1759) 1.3.4 Le Vignoble de la vérité (1759-1763) 1.3.5 Lutte contre l'injustice : Calas, Sirven et La Barre (1761-1765) 1.3.6 D comme Dictionnaire (portatif…), D comme Danger (1764-1768) 1.4 Derniers feux (1768-1778): du jardin au cimetière

la Bastille) et manipule pour obtenir le nom de la personne coupable (on pourrait rapprocher cela de l'Inquisition), mais se désengage dès qu'il connaît le nom de la personne visée, en un revirement soudain et ridicule. Au regard de la situation sociale du coupable, il en excuse les pêchés, et son réquisitoire se transforme en apologie de Saint-Pouange (rythme ternaire, répétition de "bien" et "bon", allant même jusqu'à blâmer la victime (« il faut que vous ayez mal entendu »)). Suite à l'insistance

la fable en reprenant son schéma narratif, et la personnification des animaux « le rossignol, qui du haut d’une branche se regarde dedans, croît être tombée dans la rivière » et ainsi exprime l’incertitude de la réalité. Voltaire quand a lui dans Candide écrit un conte dont l’irréalité et la morale de fin ne sont pas sans rappelé les fables de La fontaine. Nous l’avons vue la fable a pour intention avouer de dispenser un enseignement souvent enfantin ou rebattu. Mais cela n’est qu’une partie (la

lugubre : exterminer les poussins dans l’œuf évoque de sombres carnages. Quant à l’accumulation, l’énumération pêle-mêle d’individus aussi différents que ceux évoqués ne fait qu’accentuer le sentiment de l’arbitraire, et donc de la plus flagrante des injustices. Néanmoins, pour un texte à vocation argumentative, l’auteur reste très en retrait. Pour se forger sa propre opinion, le lecteur doit impérativement procéder à une lecture active du poème ; sans doute est-ce précisément le but recherché par Prévert

* Le Bourgeois Gentilhomme de Molière * Le Jeu de l’Amour et du Hasard de Marivaux * Les Fourberies de Scapin de Molière * Les Caprices de Marianne de Musset * Le Malade Imaginaire de Molière * Hernani de Victor Hugo * Candide de Voltaire * Bel Ami de Maupassant * Bérénice de Racine * Zadig de Voltaire ( 1877 ) L’assommoir, Emile Zola : un roman naturaliste Résumé : L'Assommoir raconte la grandeur puis la décadence de Gervaise Macquart, blanchisseuse dans

cursives : Lecture autonome : La Place, Annie Ernaux (travaillé aussi par le professeur de SES) Documents complémentaires : A l’origine de la fable de La Fontaine : Esope et Tite-Live La critique des fables : Rousseau L’Emile Sur l’utopie sociale : Voltaire, Candide, chapitre XXX  Sur l’exploitation de l’homme par l’homme : Diderot, Montesquieu, Flora Tristan Histoire des arts : utopies et contre-utopie urbaines Document cinématographique : L’enfant sauvage, François Truffaut Séance 1 : Introduction

personnages historiques implicitement nommés comme Hercule avec les 12 travaux). Il s’agit d’un conte satirique de la société bien réelle sous Louis XIV. Structure de l’œuvre : simplicité de l’intrigue. Le héro connait peu d’aventures (par rapport à Candide), il n’effectue qu’un déplacement depuis la Bretagne jusqu’à Versailles. Le héro se retrouve, à la moitié du récit, dépourvu de toute initiative. Ce n’est qu’à la fin, qu’il retrouve sa liberté de mouvement grâce à l’intervention de mademoiselle

critique de la guerre (corpus 16, p. 350) |Question : Comparez les différents textes du corpus. | |- La Bruyère, Les Caractères ou les mœurs de ce siècle|Commentaire : Voltaire, Candide, chap III | |- Voltaire, Candide, chap III |Dissertation : Victor Hugo fustige « le penseur qui se mutile / Et s’en va, | |- Damilaville, article « Paix » Encyclopédie |chanteur inutile, / Par la porte de