Instinct

L’instinct maternel Sommaire Introduction I/ L’instinct maternel chez l’humain : un instinct acquis 1) L’amour d’une mère pour son enfant 2) L’absence d’instinct maternel chez certains II/ L’instinct maternel chez les animaux 1) Un instinct inné 2) Exemple d’application du gène « fosB » Conclusion Introduction L'instinct maternel est une notion qui a créer de nombreuses controverses en France, 
comme

posant un ensemble de normes et d’interdits, la morale prétend en effet définir des critères absolus du bien et du mal. Elle suppose que l’homme, parce qu’il est raisonnable et doté d’une volonté, est capable de ne pas céder comme l’animal à ses instincts naturels. Or, est-ce possible ? Le bien n’est-il pas qu’une manière pour l’homme de définir ce qui est utile à sa propre conservation ? Peut-on donc établir une réelle différence entre l’homme et la nature, entre la morale et l’instinct ? La réponse

comparaison reprise à Descartes: c'est à dire que l'animal n'est rien d'autre qu'un mécanisme très sophistiqué et si bien construit qu’il ne peut suivre que son instinct (l.1-4). De cette manière, il procède à une seconde comparaison, où la "machine humaine" est caractérisée par sa qualité d'agent libre (l.4-8), qui lui permet de subir ou non son instinct et ses désirs (l.8-10). Rousseau peut finalement peser les conséquences de la liberté humaine, même si celles-ci lui semble plutôt désastreuses (l.10-16)

comme l’homme l’est. L’animal obéit et suit son instinct tandis que l’homme décide s’il veut obéir ou pas. L’homme possède la liberté d’accepter ou de refuser les commandes de son instinct et il a conscience de cette liberté. La deuxième distinction entre l’homme et l’animal, c’est la faculté de se perfectionner. L’homme vis des choses qui le transforme, se qu’il devient dépend des situations qu’il vit, alors que l’animal n’évolue pas, il vit par instinct. Cependant, l’homme possède aussi des similitudes

ses sentiments par rapport à sa mort. Il y a souvent une suite de questionnements à la fin des chapitres. Le Zubial lui a aussi appris sa façon d'aimer la vie et les femmes. Son père lui a montré qu'il faut aimer naturellement sans refouler ses instincts. Il lui a appris à être soi-même, par son extravagance et sa façon de voir la vie. La thématique principale de ce roman est la paternité, car le roman se résume par une multitude de petits moments qu'Alexandre vit avec son père. La relation père-fils

Introduction : Lors d’une rencontre entre deux chiens, il est possible que ceux-ci se mettent à grogner puis à aboyer. Si l’on en croit Descartes, il faut considérer ces grognements comme des réactions mécaniques et complexes engendrées par leur instinct. Réactions qui tendent à exprimer leur passion, c’est-à-dire à exprimer les impressions produites par leur animalité. De fait, nous pouvons certes envisager que leur grognement soit un moyen de communication mais pas qu’il constitue pour autant un

dit Freud. En ce qui concerne la passion, Alain en défini deux types que l’on pourrait décrire de manières suivantes, le premier type de passion désignant les instincts, les pulsions primaires en totale opposition avec le deuxième type de passion, porteur d’une conscience, qui lui désignerait le renoncement, l’opposition à ces instincts, en d’autre terme le Choix. L’on peut dores et déjà se rendre compte, de part l’analyse des termes de « conscience » et de « passion », que, dans la thèse d’Alain

quelconque. L’homme n’est pas doté d’un savoir ni de connaissances dès le début mais doit au contraire les acquérir seul. Il n’est pas guidé par un instinct naturel, c'est-à-dire qu’il n’est pas guidé par sa nature, mais il doit plutôt tout découvrir lui-même en se forgeant un mode de penser et une intelligence. En dotant l’homme d’un raison à défaut d’un instinct, la nature a voulu que l’homme invente lui-même les moyens pour arriver à ses fins. La nature a volontairement fait preuve d’une certaine économie

sont pas forcément libres, cela s’explique par le fait que nous possédons, de même que les animaux, des instincts naturels de survie ou autres. Nous pouvons prendre l’exemple de la tique qui agit seulement pas un déterminisme génétique qui lui fait à chaque détection de sueur ou de chaleur surgir pour se nourrir. Nous pouvons aussi reprendre l’exemple d’Aquin, la brebis fuit le loup par instinct de survie car elle sait naturellement que le loup est un danger pour sa vie, la brebis sait grâce à l’enseignement

conscience peut être fait si l’on retourne à son instinct animal mélanger à l’expérience humaine. Idée secondaire 1 : L’accès aux grandes vérités universelles, dépend de la proximité de l’être humain avec la nature, en vieillissant l’humain perd de vue certaines évidences et ce laisse aveugler. Tout ceci st causé par un manque de conscience et d’esprit. Dans le roman on ramène l’humain à son instinct, mais un instinct magnifier donc un instinct animal avec l’expérience humaine.