Instinct

ou à l'attaquer, de façon réelle ou fantasmée. Néanmoins, l'agressivité accroît la combativité et peut servir à chacun à atteindre certains objectifs difficile,comme la réussite professionnelle,le combat dans la maladie. L'agressivité est un instinct qui se retrouve chez l'Homme, une force de vie qui peut s'exprimer de multiple façons : la violence physique est la plus connue, la plus étudiée,la plus médiatisée et donc la forme la plus apparente des comportements agressifs. A contrario, plus

naissance ne tient aucune place dans l’ensemble du processus de l’hérédité, de même la " conscience " ne s’oppose jamais à l’instinct d’une manière décisive, — pour l’essentiel, la pensée consciente d’un philosophe est secrètement guidée par des instincts qui l’entraînent de force dans des chemins déterminés. À l’arrière-plan aussi de toute la logique et de son apparente liberté de mouvement, se dressent des évaluations, ou pour parler plus clairement, des exigences physiologiques qui visent à conserver

canalisant dans la bonne direction. En premier temps, (de la ligne 1 à 3) Freud avance que la répression ne supprime pas les instincts. Ensuite, (de la ligne 3 à 6) la répression amène à un refoulement provoquant des maladies nerveuses. Pour finir, (de la ligne 6 à 13) il exprime le fait que les instincts des enfants se doivent d’être “sublimés” et non “refoulés”. Freud commence par montrer que la répression des pulsions

facteur « exercée de l'extérieur », cette énergie ne va pas se réaliser. Mais ce désir freiné, disparaît-il ? Non et c'est ce que démontre Freud dans cette phase : le désir ne disparaît pas, au même titre que les pulsions. Pour Freud, supprimer les instincts est impossible, puisqu'il s'agit de comportements innés, caractéristique de l'homme et des animaux. Ainsi nous agissons ou réagissons de manière spontanée, sans qu'aucun apprentissage préalable n’ait déterminé notre conduite. Nous mettons ainsi en

qui devient le nouveau maître en transformant la nature par son travail : «Le travail rend libre.» L’apprentissage permet à l’Homme de parvenir à maitriser ses instincts. L’enfant , comme l’animal est esclave de ses instincts. Il lui faut apprendre, par exemple, le respect de la liberté d’autrui, par la maîtrise de ses instincts naturels. On devient libre par autodiscipline, par obéissance volontaire à une loi rationnelle, qu’on appelle autonomie. C’est le point de vue que défend Rousseau,

verrons que la nature de l’homme, c’est d’être un être de culture (III). I – La culture dénature l’homme A) L’homme naît doté d’une certaine nature L’homme est un animal, et comme tout animal, il naît doté d’une nature propre : il a des instincts, des besoins, des réflexes. Parce que c’est la nature humaine, elle est universelle : tout homme qui naît est caractérisé par cette nature. En fait, la nature est l’essence de l’homme. Les philosophes sont très partagés sur ce qui fait la nature

pas seulement un effet du sentiment ou l'expression d'une émotion. Les animaux n'ont aucun langage constitué ce qui implique une absence de pensées véritables. Ce que montre cette analyse c'est le degré de perfection des mécanismes du corps. Les instincts ou les réflexes spontanés fonctionnent selon une finalité prédéfinie qui se substitue à la conscience. On peut admirer dans le comportement animal la perfection des mécanismes de la vie, il est inutile d'y voir la présence de pensée. Ce qui est

nous permet de faire ce que l’on veut comme on le veut. La liberté civile nous permet d’agir selon nos désirs, tant qu’ils sont à l’avantage de la société. Cependant, le fait d’agir uniquement selon nos instincts ne nous rend pas plus libres, étant donné que nous devenons esclaves de nos instincts, de nos désirs. Alors que le fait de faire des désirs de la société les nôtres, nous rend un peu plus libre. Le passage à l’état civil entraînerait un grand changement dans l’homme, puisqu’elle l’amène

leur code génétique. A l’instar de ce dernier, l’homme est fait d’un ensemble d’organes fonctionnant de manière autonome pour répondre à ses fonctions vitales: cicatrisation, respiration. Dans la même logique, il comble ses besoins vitaux par son instinct:, la fabrication d’outils, la nutrition. Alors oui, il existe des différence physique entre les deux et l’homme est une espèce à part entière, au final toutes les espèces le sont et donc cela n’est pas suffisant pour le démarquer des autres animaux

que vivant = soumis à l’enchainement mécanique des causes et des effets mais diffère des autres animaux en un point : doit tirer de lui-même tout ce qui dépasse ce mécanisme (comportement animal). Et là où animal dispose instinct pour réaliser ses fins propres (survie a moyen instinct chasse, cueillette…) Mais ne dispose pas de l‘instinct comme moyen de réaliser ses fins. Nature ne fait rien en vain et n’est pas prodigue dans emploi moyen pour atteindre ses buts. « il devait bien plutôt tirer tout de