Instinct

et dans une seconde partie ce qu’il en pense. Tout d’abord il nous dit que n’importe quel homme à cet instinct de conservation, cet instinct de protéger l’espèce humaine, de la conserver. Chaque homme qu’il soit intelligent ou pas comme il le dit dans le texte, « L’instinct de la conservation, cet instinct qui règne également chez les hommes supérieurs et chez les plus grossier ». Cet instinct d’avoir un but dans la vie est justement vital, que cela est une évidence et que cela exerce une grande

sous-entend qu'il n'a pas de conscience. Là encore tu peux faire remarquer son argument très tranché. L'animal n'agit que par instinct. L'auteur n'oublie pas de rappeler que nous agissons parfois nous aussi par instinct ("Remarquez que ce qui se fait par l'homme sans hésitation, sans doute de soi, sans blâme de soi, est aussi sans conscience."). Nous avons donc des instincts primaires. Mais il va chercher à différencier l'homme de l'animal en montrant que c'est un "être de passion". La conscience

mécanique pour accéder à l'estime de soi et éventuellement au bonheur. L'homme est la source des moyens de son existence. Il définit donc l'homme à partir de la raison et de la volonté pour qu'il soit libre, et qu'il n'agisse pas en fonction de son instinct. Etape du texte: La nature n'a pourvu qu'à la possibilité interne de survie mais attend cependant quelque chose de l'homme : Elle a prévu une fin pour l'homme et à mis à disposition les moyens de réaliser cette fin. Il y a donc une signification

une absence de contrainte sociale. L'animal fait ce qui lui plait, c'est à dire il suit ses instincts, il n'a pas de barrière morale, il a une liberté physique lié à son indépendance (déf. : ne dépendre de personne pour vivre). Tout cela est lié à son absence de conscience. Mais à y regarder de plus près, on s'aperçoit que la liberté de l'animal est illusoire. L'animal est totalement esclave de ses instincts, il est programmé biologiquement. Il est en permanence sous la menace des prédateurs et aussi

aussi l’article qui nous dit que « nul animal doit être exploité pour le divertissement de l’homme ». Bien entendu il y a un côté illusoire dans ce contrat car pour beaucoup l’animal ne réfléchit pas, puis on sait que l’animal n’agit qu’avec son instinct, au contraire de l’homme qui lui possède une conscience. Il agit dans son intérêt, qui est ici un bon traitement. On peut supposer que les personnes qui prennent un animal domestique espèrent un comportement satisfaisant de leur animal et en échange

société· Dans l’état de nature, l’être humain est bon dans la mesure où il est enfermé dans ses instincts, donc les limites de son monde, pas de lutte pour les autres :· Ne parle pas· Vit en solitaire· Entretient peu de relations avec les autres.· Est nomade· Et ses besoins sont limités (manger, boire, s’abriter et copuler· Dans l’état de nature :1. Les inégalités sont naturelles (grandeur, force, ruse, instincts)2. Il n’y a pas d’exploitation humaine.3. L’être humain jouit d’une grande liberté naturelle

l’animal, l’homme lui naît sans instinct dans un état, d’insouciance et d’innocence. 2) expliquer : «  l’homme est la seule créature qui soit susceptible d’éducation » Cette phrase signifie que la spécificité de l homme est qu’il n’est pas d’instinct, contrairement aux animaux. Donc la seul évolution possible pour l’homme se transmet à travers l’éducation car lui avec le temps acquière la réson. « il n’a pas d’instinct » Quand Kant dit que l homme n’a pas d instinct il veut dire par là que l

politique", il doit pouvoir s'intégrer dans une société et pour ce faire, doit se "former", s'éduquer => Il doit renoncer à certains plaisirs, car l'homme qui ne vit que dans la jouissance est comparable à une "bête", il ne vit qu'en suivant son instinct et ne cherche pas à acquérir les normes et les valeurs sociales que l'éducation lui procurerait. -L'éducation devrait donc se faire par la contrainte => Une éducation par le plaisir détournerait l'homme de la voie à suivre pour atteindre le bien

l’enfance », l.39 - laisser chercher l’enfant : il doit découvrir par lui même • Nouvelle conception de l’enfant : - L’enfant est innocent ; il ne peut pas faire le mal - L’enfant a des droits : il a droit au bonheur, à la liberté et à suivre ses instincts (…) - Fugacité de l’enfance  il faut en profiter et non pas chercher à la raccourcir Rousseau appelle donc à la responsabilisation du père qui doit respecter son enfant plutôt que de le brimer. 3. Opposition de ces deux visions • Structure

que la vraie nature de l'homme, selon Bataille, est animale ? L'homme ne garde t-il pas toujours en lui cet état originaire ? 1) L'homme est l'animal. Un animal est caractérisé par son instinct, du latin « instinctus » qui signifie « excitation », « impulsion ». En psychologie, l'instinct est un mode d'adaptation inné, de caractère héréditaire, propre à une espèce. En psychanalyse, on caractérise l'instinct par des forces psychiques inconscientes