Instinct

morale et poser le problème de sa valeur. Que veulent vraiment les apologues de la liberté ? Leur morale est-elle exempte de toute immoralité ? Ne serait-ce pas en réalité un instrument de culpabilisation de l'humanité au service de l'un de ses instincts les plus cruels ? II. La morale est immorale La morale s'accommode de son contraire, c'est-à-dire de la plus parfaite immoralité selon Nietzsche. Il n'existe finalement aucune différence entre elles : la morale est la méchanceté mise au service

FICHE SUR LA MORALE D'un côté, on peut considérer que la morale est d'origine sociale et donc relative à une culture particulière. Toutefois, la morale est souvent considérée comme un instinct ou une connaissance rationnelle innée et universelle. Finalement, il existe un lien très étroit entre la liberté et la morale : l'homme peut choisir entre le bien et le mal parce qu'il est libre. Sa liberté lui confère donc une responsabilité morale indéniable. I- Une morale sociale et relative A- Une morale

l'homme décadent dont les instincts ne font pas de lui un homme harmonieux. C'est un homme qui est devenu un problème pour lui-même et il semble avoir trouver un semblant d'unité dans le fait de cultiver sa raison. • Cette décadence n'est pas seulement un phénomène individuelle, elle est un fléau culturel. La monstruosité de Socrate révèle un mal caché, invisible qui est le mal de tout le monde. Cette monstruosité révèle donc la tyrannie des instincts. La vie des instincts est devenue un problème

Puisque c'est la nature qui l'a pourvu de sens, et la nature est créée par Dieu. L'animal est comme un automate «  pour se remonter elle même » et qui est conduit par des règles auxquelles il ne peut déroger. Il est soumis au loi de la nature, à son instinct, qui lui permet de se protéger et de vivre, mais il y a une certaine limite à cette protection, « jusqu'à un certain point » en effet rien n'est infaillible et l'instinct seul ne peut garantir une sécurité totale. Ensuite, Rousseau « aperçois »

ainsi aucune volonté réfléchie. Alors que l'homme a une activité vitale consciente, l'animal ne se représente pas ses fins. Le travail, vocation essentielle de l'homme, le distingue des autres êtres vivants, dominés par leurs instincts. En effet, l’animal travail par instinct, à la différence de l’homme qui travail avec sa conscience, sa technique. L’instinct est une disposition innée, universelle aux membres d’une même espèce, il est impulsif et irréfléchi et il déclenche un comportement dont les

front aux instincts qui sont ici compris dynamiquement comme des forces actives qui n'offriraient d'autre voie à l'éducateur que l'opposition d'une force plus grande encore. Punitions, fessées sont opposées traditionnellement à ces forces innées. La violence de l'éducation s'oppose à la violence de la nature. L'homme n'est en effet pas " cet être débonnaire " qui aime son prochain. Il est au contraire animé à l'égard de l'autre d'intentions que la société civilisée condamne. Ces instincts puissants

dans la constitution de la personne en jeu, qui put se manifester un certain temps dans sa vie infantile et devint ensuite la proie du refoulement. Une scrupulosité particulière, dirigée contre les objectifs de cet instinct, est engendrée en même temps que le refoulement de cet instinct. Seulement cette formation réactionnelle psychique ne se sent pas sûre d'elle-même, mais constamment menacée par l'instinct demeuré aux aguets dans l'inconscient. L'influence de l'instinct refoulé est ressentie sous

formation des concepts, pouvant globaliser eux-mêmes une multitude d’objets distincts. PLAN DETAILLE INTRODUCTION. La fable d’ouverture. I. Généalogie conceptuelle de l’animal intelligent. A. L’intellect au sein de l’homme. B. Un instinct de vérité ou flagornerie de l’intellect ? C. Le besoin d’autrui pour « s’accorder une vérité » II. Introduction de la généalogie du langage. A. La vérité n’est-elle que dû à l’anthropomorphisme de l’homme qui souhaite arranger

ou les motivations des individus qui dictent son comportement ; cf. H.Murray et A.Maslow (par exemple les besoins de dominance, de reconnaissance, d’exhibition ou de sécurité…) 1. La psychanalyse Instinct et pulsions : l’homme possède des instincts (sexuels, de survie, de conversation..). Ces instincts se libèrent sous forme de pulsions (visant à une satisfaction immédiate). La publicité s’adresse de plus en lus directement à l’instinct. Elle agit en trois étapes : - Déclenchement de la pulsion :

habitudes, provoque de la peur et la fatigue. Puis R change soudainement de sentiment « une colère soudaine l'envahit » le trouble et la confusion font resurgir son instinct primaire b) devant cet animal inconnu, R ressent une « peur superstitieuse » il pense que l'animal va l'attaquer, il a ramassé une « souche » pour se défendre. c) son instinct de survie, le pousse à tuer le bouc, l'instinct primaire de l'ho a pris le dessus. « C'était le premier être vivant que R avait rencontré sur l'île. Il l'avait