Instinct

imposée. Finalement, le travail est-il le propre de l'homme ? Dans ce sens fort que Marx donne au travail, celui-ci est le propre de l'homme. Même si l'animal a comme l'homme une activité de transformation de la nature, il reste dépendant de ses instincts et de ses automatismes. Seul l'homme travaille, dans la mesure où il conçoit ce qu'il va faire. Le travail devient alors la marque de l'esprit et de la volonté de l'homme. Marx reprend ici la thèse de Hegel : le travail est l'essence de l'homme

permettant la compréhension des choses, et donc de juger, de distinguer le vrai du faux. L’homme use de celle-ci dans ses différentes prises de décisions afin de poser l’acte le plus juste face à un contexte. Il se peut cependant que l’homme agisse par instinct, sous l’impulsion de ses émotions. Donc pour déterminer la nature de ses actes, l’être humain peut se baser sur la logique du bien, ce qui signifie qu’il peut agir instinctivement. Dans le but de poser les actions les plus justes, l’homme devrait

libération : d’une part il n’obéit pas aux injonctions des pulsions et autres désirs inconscients et affirme ainsi sa liberté morale ; mais aussi il se préserve de l’action liberticide d’autrui. Cf. HEGEL « il se libère de la dépendance qui résulte des instincts naturelles aussi bien que de l’oppression où il se trouve comme subjectivité particulière » 2. L’homme est déterminé : L’homme dont l’existence et le comportement ont pour cause Dieu, ne peut pas être dit libre mais déterminé. C’est Dieu qui

l'homme au monde . Quelle est la nature de ce rapport ? Mais cette distinction suffit elle à rendre l'homme distinct de l'animal ? La deuxième étape qui s'étend jusqu'à « liées » se pose la question suivante : L'animal se caractérisant aussi par des instincts , et non seulement par une relation servile au monde extérieur , qu'en est-il de l'homme ? Il s'agit ensuite de s'interroger sur le rapport entre ces deux négations . C'est ce que fait la troisième partie qui tente d'élucider cette double négation

créateur. Pour l’homme le bonheur et l’accomplissement parfait sont des choses qui ne peuvent être que créer par lui même c’est à dire que c’est par lui qu’il peut être heureux et atteindre la perfection. Alors que l’animal vit par rapport à ces instincts l’homme est quant à lui un être de raison. 2-Le dessein de la nature est nous dit il non pas vain mais toujours orienté. L’homme met en place des moyens pour arriver à des fins. La nature a accordé à l’homme la raison mais aussi la liberté et la

réflexions, un esprit critique, nous permettant de poser un regard sur ce qui nous entoure, elle est répartie, partagé par un groupe d'individus, c'est collectif. L'instinct n'est pas conquit lors de notre naissance, nous avons besoin d'apprendre (instinct culturel) pour pouvoir assurer notre survie, comme le dit Skrzypczak : «Un comportement n'est ni totalement inné, ni totalement acquis1.». L'instinct maternel a fait son apparition après le développement de l'amour maternel, ce qui nécessite une

l'Arabe étant un peu considéré comme la proie naturelle du soldat. A Paris, c'était autre chose. On ne pouvait pas marauder gentiment, sabre au côté et revolver au poing, loin de la justice civile, en liberté, il se sentait au coeur tous les instincts du sous-off lâché en pays conquis. Certes il les regrettait, ses deux années de désert. Quel dommage de n'être pas resté là-bas ! Mais voilà, il avait espéré mieux en revenant. Et maintenant !... Ah ! oui, c'était du propre, maintenant ! Il

d’ailleurs, l’Arabe étant un peu considéré comme la proie naturelle du soldat. À Paris, c’était autre chose. On ne pouvait pas marauder gentiment, sabre au côté et revolver au poing, loin de la justice civile, en liberté. Il se sentait au cœur tous les instincts du sous-off lâché en pays conquis. Certes il les regrettait, ses deux années de désert. Quel dommage de n’être pas resté là-bas ! Mais voilà, il avait espéré mieux en revenant. Et maintenant !… Ah ! oui, c’était du propre, maintenant ! Extrait de

d'ailleurs, l'Arabe étant un peu considéré comme la proie naturelle du soldat. A Paris, c'était autre chose. On ne pouvait pas marauder gentiment, sabre au côté et revolver au poing, loin de la justice civile, en liberté. Il se sentait au coeur tous les instincts du sous-off lâché en pays conquis. Certes il les regrettait, ses deux années de désert. Quel dommage de n'être pas resté là-bas! Mais voilà, il avait espéré mieux en revenant. Et maintenant!... Ah! oui, c'était du propre, maintenant! Il faisait aller

deux leurs fonctions spécifiques et d’ailleurs complémentaires : • Le Conscient est la partie raisonnée et raisonnable : l’Inconscient est... tout le reste : les émotions, les sentiments, les réactions spontanées, les comportements répétitifs, les instincts... • Le Conscient permet de communiquer avec autrui, d’analyser les choses, de les comprendre intellectuellement ; l’Inconscient permet de « sentir » ce qui se passe : le flair, l’instinct et l’intuition relèvent de l’Inconscient. • Le Conscient