Institut français des auditeurs et contrôleurs internes

Monsallier-Saint-Mleux Octobre 2003 1 SOMMAIRE INTRODUCTION…………………………………………………………………………p. 2. PREMIERE PARTIE : L’EFFICACITE LIMITEE DE L’EXERCICE CLASSIQUE DU CONTRÔLE……….……………………………………………………………………...p. 11. CHAPITRE UN : L’ORGANE DE CONTRÔLE INTERNE : LE CONSEIL D’ADMINISTRATION OU DE SURVEILLANCE…………………………………..…p. 13. Section 1 : Le conseil d’administration……………………………….…………………..p. 14. Section 2 : Le conseil de surveillance : l’ineffectivité d’une structure sociétaire prévue par le législateur…………………………………………………………………………………

est obligatoire pour les entreprises de plus de 300 salariés. Il repose sur la quantification des données sociales telles que l’emploi, la rémunération, les conditions d’hygiène et de sécurité, la formation…L’usage du bilan social reste cependant interne à l’entreprise (en ce sens il n’est pas comparable aux rapports d’activité et aux rapports de DD). Le bilan social ne connaîtra cependant qu’un faible succès. Certains invoquent sa lourdeur pour expliquer ce résultat (nombreux indicateurs obligatoires)

la qualité comme le marketing , se propose de fournir une offre adaptée aux clients. Les entreprises sont obligées d’améliorer la qualité de leurs produits et service en vue de renforcer leur compétitivité afin de conquérir de nouveaux marchés internes et externes, elles doivent s’inscrire dans une démarche d’assurance qualité et adopter un système de management de la qualité efficace opposable aux différents partenaire dans le nouveau contexte économique marquée par la mondialisation des échanges

LA COMPTABILITE PUBLIQUE AU MAROC a- La situation avant l'indépendance : Le premier règlement général de comptabilité publique a été posé par le Dahir du 9 Juin 1917. Ce Dahir reprenait les principes énoncés par le Décret Français de 1862 (séparation des fonctions d'ordonnateur et de comptable, unité budgétaire, système de l’exercice, douzièmes provisoires, etc... ) en les conciliant avec les exigences des structures particulières nées du protectorat. La législation

THESE PROFESSIONNELLE 2005 - 2006 LE DISPOSITIF DE MAITRISE DES RISQUES & LE CONTROLE INTERNE AU SEIN DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT Auteur : Hicham ZMARROU Tuteur de stage : François-Xavier FERRARIO Maître de thèse : Olivier de la ILLARMOIS MASTERE SPECIALISE AUDITING, MANAGEMENT ACCOUNTING & INFORMATION SYSTEM Thèse Professionnelle 2005 - 2006 !" #! $ % * & $'(()(* + , - $ Mastère Spécialisé Auditing, Management Accounting and Information System 2 $ Thèse Professionnelle 2005

THESE PROFESSIONNELLE 2005 - 2006 LE DISPOSITIF DE MAITRISE DES RISQUES & LE CONTROLE INTERNE AU SEIN DES ETABLISSEMENTS DE CREDIT Auteur : Hicham ZMARROU Tuteur de stage : François-Xavier FERRARIO Maître de thèse : Olivier de la ILLARMOIS MASTERE SPECIALISE AUDITING, MANAGEMENT ACCOUNTING & INFORMATION SYSTEM Thèse Professionnelle 2005 - 2006 !" #! $ % * & $'(()(* + , - $ Mastère Spécialisé Auditing, Management Accounting and Information System 2 $ Thèse Professionnelle 2005

exprimer ma reconnaissance aux personnalités qualifiées qui ont éclairé nos travaux de leurs analyses et de leurs commentaires sur le projet de rapport. Je dois enfin souligner la contribution exceptionnelle des services et des équipes du Trésor français, de la Banque de France et de l’AMF. Ce rapport et les recommandations qu’il suggère pour répondre à la situation de crise financière, n’engagent bien évidemment que moi même. René Ricol   Rapport sur la crise financière au Président de

: 20-01/10/job Postuler • Expérience de 3 à 5 ans • Parfaite maîtrise de Word et Excel, • Classement, gestion paie, fournisseurs, CNSS, classement, clients, facturation • Méthodique, organisée et assidue • Bonne présentation et bonne élocution en français • Anglais souhaitable Envoyer CV complet avec photo à : Envoyer votre CV à l'adresse E-mail suivante : sotralait@gmail.com +212 537 755 085 ou par Fax : samirkheldouni@chorus-consulting.com Journal JOB - N°52 | © 2009, Tous droits réservés

...................................................................................................... 34 Contrôle par le parlement national ou régional................................................................. 35 Contrôle par les organes internes aux collectivités............................................................ 36 4 II. 1. A. B. 2. A. B. C. 3. A. B. C. 4. A. B. LES MODALITES DU CONTROLE SUR L'ACTION DES COLLECTIVITES LOCALES ET SES CONSEQUENCES............................

Institut Supérieur de Commerce et d’Administration des Entreprises Elaboré par : ANAS HED FADELA LEBBAR Encadré par : M. ISSAM EL MAGUIRI Année universitaire : 2009-2010 1 Problématique Etant donné que les OPCVM sont des organismes spécifiques, différents des autres entités, nous avons jugé nécessaire d’appréhender la démarche d’audit de ces dits organismes et de répondre à la question : Est-ce que l’audit des OPCVM suit une démarche standardisée ou plutôt spécifique ? A cet effet, quel est