Instrument de musique

 LE TOERE :tambour Le TOERE est un instrument très caractéristique de l’orchestre Tahitien. D’apparence simple il est le résultat d’un long travail qui va du choix du bois à la préparation de l’instrument : c’est une vraie sculpture. La baguette que l’on utilise doit être suffisamment lourde -souvent en Aito- pour faciliter les roulements et les enchaînements rapides. Dans l’orchestre, le toere occupe la place de chef : pahe, toma , solos… Originaire des îles Cook, le "toere" est l’instrument

théâtre et musique et se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe.Le terme « baroque » vient du portugais « barroco » qui signifie « perle irrégulière » . En sculpture baroque, les ensembles de figures prirent une importance nouvelle, il y eut un mouvement dynamique et une énergie portée par les formes humaines – elles s’enroulent en volutes autour d’un tourbillon central, ou atteignent vers l’extérieur les espaces alentour. Au sens plus large on considère la période baroque en musique s'étendant

Cette œuvre est une musique savante, de Hugues De Courson crée en 1997 elle provient d’Égypte. Hugues De Courson et un musicien compositeur et producteur né à Neuilly-sur-Seine le 31 juillet 1946. Avant de crée son projet Mozart l'égyptien avait sortie un album autour d'un autre métissage qui mélangeais Bach et la musique sacrée du Gabon. Ensuite son projet était de crée quelque chose d'assez original qui transpose la musique classique de Mozart et la musique Arabe . Hugues De Courson

entend la foule qui chante, les cris et les frappements de mains. 3. Quels instruments sont présents dans cet extrait musical ? Cet extrait musical se compose d’une harpe celtique, d’une batterie, d’une guitare basse électrique et de bombardes. On constate que cette musique mélange les instruments traditionnels avec d’autres plus modernes. Cela montre que, bien qu’elle se base sur des acquis anciens, cette musique évolue avec son temps, elle est toujours vivante et en évolution constante.

HISTOIRE DES MUSIQUES POPULAIRES AMERICAINES COUNTRY – BLUES – JAZZ Les premiers pèlerins arrivent avec une tradition religieuse extrêmement stricte, qui n'admet aucune fantaisie. Ainsi, le premier dictat musical est de chanter des psaumes et des hymnes religieuses lors des célébrations. On aurait pu en rester à cette orthodoxie si on ne s'était pas un jour demandé : «Après tout, pourquoi les belles musiques ne seraient réservées qu'à Satan ?». A partir de là, les musiques se libèrent, s'ouvrent

LES MARACAS Introduction Les maracas, qui sont souvent associées aux musiques populaires cubaines, mexicaines et caraïbes, sont des percussions secouées de la famille des hochets. Leur nom fait sans doute référence au fleuve brésilien Maracá, affluent de l'Amazone. À l'origine, le corps d'une maraca est fabriqué à partir d'une petite calebasse de forme plus ou moins sphérique. Mais il existe également des instruments apparentés en bois (Amérique du Nord, Colombie-Britannique), en osier tressé

». Les arts martiaux, en général, utilisent la notion de Plein et de Vide. Rappelons-nous que karaté-do signifie « voie de la main vide ». Le Vide est donc à l’origine de tout. D’autre part, dès qu’une chose se crée le Vide structure le Plein. En musique, c’est donc d’abord le silence à l’origine de la partition, les silences structurels à l’intérieur de la pièce, et la structure elle-même, l’ossature. Les éléments tels que les notes et les rythmes appartiennent au Plein. B ) Yin et Yang : Le Vide

SOMMAIRE Introduction I/ Les débuts du Blues A/ Origines : Panorama économique et historique B/ Naissance d’un mouvement, plus que d’une simple musique C/ Flux migratoires et premières évolutions II/ Une révolte musicale et raciale A/ Le Ku Klux Klan B/ Le peuple blues contre le racisme C/ Répercutions musicales et sociales III/ Ramifications musicales A/ Essor d’un marché B/ Le

C'est l'histoire de l'émotion musicale - à l'inverse de la Haine de la musique écrit quelques années plus tard , bien que la musique soit déjà liée à la mort - Monsieur de Sainte Colombe montre qu'on n'est rien avec la virtuosité, l'apparence ou un bel instrument, seule l'émotion que suscite une composition ou une interprétation est digne d'intérêt. Parallèlement, il s'agit de l'histoire de la musique (évolution des instruments et de la composition), du dépouillement de l'artiste (Monsieur de Sainte

reconnaissance des musiques africaines s'est avéré primordial. Au cours de sa carrière, Francis Bebey a publié une quinzaine d'ouvrages qu'il s'agisse de littérature, de poésie, de théâtre ou encore d'essais. La plupart d'entre eux ont été traduits dans plusieurs langues. Son plaisir de jouer avec les mots s'étend vers plusieurs horizons : l'écriture journaliste a aussi fait partie de son quotidien. Il rédigera régulièrement articles, études et reportages autour de la musique et des arts africains