Insuffisance hépatique aiguë

successifs et équivalents, les symptômes essentiels sont : - Les migraines de caractère périodique, avec asthénie, troubles digestifs (états nauséeux) et oculaires (ex. photophobie) de localisation hémicranienne ou péri orbitale et traditionnellement « hépatiques ». Elles apparaissent fréquemment vers la puberté et s'établissent en général à l'âge adulte; - Les eczémas ayant un caractère de sensibilisation ou d'allergie ainsi que les intolérances eczématiformes. Ces manifestations sont souvent précoces,

nouveau-né sur cardiopathie : usage des Prostaglandines p 73 6.5 Crise anoxique sur spasme infundibulaire p74 Chapitre 7 Intoxications 7.1 Antidotes p. 76 7.2. Syndrome neurodysleptique p.77 7.3. Intoxication au CO p. 78 p.75 7.4. Intoxication aiguë au paracétamol p. 80 7.5. Intoxication au méthanol p. 84 1. URGENCES GENERALES 1.1 Gestion de la fièvre I. Généralités II. Les antithermiques 1.2 Prise en I. II. III. IV. V. VI. charge des méningococcémies Symptomatologie Stades Physiopathologie

dose Effets indésirables prévus reliés à la dose ● Fréquents: 95% des cas de réactions adverses ● Prévenus / traités en ajustant la dose du médicament ● Perturbation de l’élimination du médicament peut jouer un rôle (ex. dysfonction rénale ou insuffisance hépatique) ● Peut être une extension de l’effet pharmacologique ● Généralement non sévère ● Ex. la dépression du SNC par les hypnotiques sédatifs 14 Effet indésirable inattendu non relié à la dose Rares (5% des cas d’EI) Guide, p. XXIII Non

compliquer d'une insuffisance aortique ou d'une dissection aortique. Au niveau neurologique, la migration d'un embol provoque des accidents vasculaires cérébraux ischémiques transitoires ou constitués, plus rarement d'une mono-, multi- ou polynévrite. D'autres manifestations rares sont à citer: - toux spécifique, nodules pulmonaires parfois excavés, pleurésie - nécrose myocardique - nécrose du scalp ou de la partie antérieure de la langue - ischémie mésentérique; nodules hépatiques. DIAGNOSTIC

ces petits moyens le hoquet persiste il faut envoyer le patient vers une consultation spécialisée pour chercher la cause et la traiter La colique hépatique Définition : La colique hépatique est une douleur aiguë, paroxystique qui traduit la mise sous tension brutale des voies biliaires Signes cliniques : La colique hépatique est une douleur qui siége dans l’hypochondre droit et qui irradie dans l’épigastre, vers le dos et vers l’épaule droite. C’est une douleur violente à type

Motivation à améliorer ses soins personnels Caractérisé par : La capacité d’évaluer son état générale, et en capacité de le verbaliser . Pathologies chroniques : HTA traité par : - (ACEBUTOLOL®) RPG 200 mg - (FUROSEMIDE®) RPG 40 mg - Insuffisance cardiaque traité par : - Apixaban (ELIQUIS®) 2,5mg, - (FUROSEMIDE®) RPG 40 mg - (ACEBUTOLOL®) RPG 200 mg - Diabète de type 2 traité par : - Dapagliflozine (FORXIGA®) 10 mg et - Insuline glargine (ABASAGLAR®) 100 unités/ ml - Lésion

est surtout marqué au niveau des récepteurs α1-adrénergiques artériels. A l'inverse, la diminution du tonus vagal et l'augmentation du tonus adrénergique favorisent la survenue des troubles du rythme cardiaque. 2.2. RECEPTEURS ADRENERGIQUES ET INSUFFISANCE CARDIAQUE L'hyperadrénergie est une caractéristique essentielle de l'insuffisance cardiaque et la concentration de catécholamines circulantes est un des meilleurs indicateurs du pronostic de la mortalité liée à cette maladie chronique dégénérative

le sang.  L'acidose lactique se rencontre chez les patients qui ont un diabète et qui sont traités par des médicaments contenant des biguanides  Cette pathologie se rencontre également chez les patients présentant une insuffisance du fonctionnement de la filtration rénale (insuffisance rénale). Diabete de Type 2 ou non insulino dépendant : ( anciennement dis diabete sucré) : Une maladie métabolique touchant la glycorégulation : l’insuline sécrété par le pancréas est incapable d’exercer son action

...................................... 4.3. Catabolisme du radical aminé des aminoacides............................................. 4.3.1. Désamination des acides aminés....................................................... 4.3.2. Uréogénèse hépatique ....................................................................... Régulation hormonale.............................................................................................. 5.1. Facteurs anabolisants................................

(méningocoque, pneumocoque, listeria, BK, bacille gram négatif,), et les données de la PL 1.4 Enoncer les signes de gravité devant un tableau de méningite ou de méningoencéphalite 1.5 Décrire les arguments diagnostiques d’une méningite lymphocytaire aiguë bénigne 1.6 Citer les principales complications à distance des méningites et encéphalites 2. Objectifs pratiques 2.1 Réaliser une ponction lombaire 2.2 Chez des patients réels ou simulés atteints de méningite ou de méningoencéphalite