Interahamwe

saint-charles.org/histradio.htm, * 13 Source : Ibidem * 14 http://www.schoop.fr/histofm.php?chapitre=1 * 15 Source : Ibidem * 16 Source : Ibidem * 17 Source : http://www.saint-charles.org/histradio.htm * 18 Source : Ibidem * 19Comme Intera, Interahamwe, Kamarampaka, La Médaille Nyiramacibiri, L'écho des Mille Collines et Umurwanashyaka, Kangura est l'un des journaux de haine créés par le pouvoir lui-même ou favorisés par lui. Kangura est le plus connu d'eux et Hassan Ngeze, son rédacteur en chef

l‟instrumentalisation de certain mouvements en rapport avec l‟identité ethnique des fins politiques et économiques entre Hutu et Tutsi. Dimension régionale : Depuis 1994, année du génocide Rwandais, l‟arrivée massive des refugiés ex-FAR et autre milices interahamwe à l‟est du Congo, avec des incursions des milices venues du Rwanda et de fois des nationaux soutenus par des pays voisins , ces violences contre les populations locales congolais et l‟intervention sur le territoire congolais n‟ont cessé d‟alimenter

de la Nation. C'est plutôt les gouvernements congolais successifs qui avaient démissionné de leur responsabilité dans le conflit rwandocongolais dans la mesure où le Président Mobutu avait le premier accepté d'accueillir les milices armées hutu Interahamwe et les soldats rwandais ex FAR au Congo en 1994 après avoir perpétré le génocide contre les Tutsi et les Hutus modérés au Rwanda. Illes utilisa par la suite contre l'AFDL en 1996. A partir de 1998, L.D. 28 Kabila et J. Kabila les utilisèrent

difficile, avec les maisons détruites » (Assumpta) Quelle réconciliation ? « Nous sommes obligés de vivre ensemble » (Consolatrice) « Si la personne qui a tué mon père a gardé toujours sa maison » (Consolatrice) « On voyait les enfants des Interahamwe qui étaient là et qui t’ont maltraitée » (Alice) « On a libéré tous les prisonniers que j’avais accusés » (Henriette) « Nous avons commencé à témoigner, les gens ont commencé à mourir » (Assumpta) « Alors qu’est-ce qui va se passer au Rwanda

des Tutsis avec tout un ensemble de qualificatifs, les tutsis étaient qualifiés comme des sous hommes. « Il fallait faire le travail » = les hutus devaient exterminaient, il fallait qu’ils se mobilisent tous, ce qui sera fait au sein des milices Interahamwe (= ceux qui luttent ensemble). 1992 1993 premiers massacres du génocide de Tutsis, de manière localisée. 1990 début de transition démocratique, c’est la deuxième crise politique, ce discours démocratique va conduire le gouvernement rwandais à mettre

Congo indépendant, en janvier 1961. Le 22 juillet 2002, les représentants de la R.D.C. et ceux du Rwanda concluent, à Pretoria (Afrique du Sud), un protocole d'accord aux termes duquel Kinshasa s'engage à regrouper et désarmer les extrémistes hutu Interahamwe et les soldats hutu des anciennes Forces armées rwandaises présents sur son territoire, en contrepartie du retrait des troupes rwandaises entrées en R.D.C. en 1998. Le 30, le président congolais, Joseph Kabila, et son homologue rwandais, Paul Kagamé

nationaliste et intégrationaliste (FNI) (Lendu) b) Front populaire pour la réconciliation de l’Ituri (FPRI) (Ngiti) - Forces armées populaires congolaises (FAPC) - Maï-Maï - Mudundu-40a - Forces de Masunzu - Ex-Forces armées rwandaises (ex-FAR) et Interahamwe Libéria - Forces armées libériennes (AFL) - Libériens unis pour la réconciliation et la démocratie (LURD) - Mouvement pour la démocratie au Libéria (MODEL) 165 Somalie - Gouvernement national de transition - Alliance de la vallée du Djouba

conflits locaux et plonge un peu plus l'est du pays dans le chaos. Pour ajouter à la complexité de la situation, dans les territoires qu'ils contrôlent, les rebelles et leur[s] alliés continuent à se heurter à des forces hétéroclites (Maï-Maï, Interahamwe, exFAR [Forces armées rwandaises de l'ancien régime heu], ADF [Allied Democratic Forces], rébellions hutu burundaises 61 », etc. Un cercle vicieux démentiel s'installe : les factions et armées en présence font la guerre pour contrôler les nombreux

contre  la  population civile congolaise ;  d)  Des  équipes  de  désarmement,  démobilisation,  rapatriement,  réinsertion ou réinstallation de la MONUC seraient mises en place pour tirer  avantage de la dispersion physique des unités des ex‐FAR/Interahamwe à la  suite  de  l’intensification  des  opérations  menées  contre  eux  par  les  Forces  armées  de  la  République  démocratique  du  Congo.  Si  la  sécurité  et  la  logistique le permettaient, les équipes rassembleraient les déserteurs et les 

exercer des violences contre les Tutsi zaïrois après avoir traversé la frontière et les divisions entre Tutsi et Hutu zaïrois se sont transformées en violence ouverte. Dans certains cas, les milices hunde, nande et nyanga se sont jointes aux milices interahamwe hutu ayant perpétré le génocide rwandais pour attaquer les Banyarwanda tutsi ; ailleurs, des milices hutu attaquèrent les groupes « autochtones ». Quant aux forces du gouvernement zaïrois, soit elles restèrent passives, soit elles aidèrent activement