Interculturalité Hofstede

1.2.3.1. Définition 11 1.2.3.2. Les différentes dimensions de la culture 12 1.2.3.3. La Matrice d’Hofstede 16 1.2. Etude comparative des pays et profil de la Chine selon la matrice Hofstede 20 Chapitre 2 : Les piliers fondamentaux de la culture chinoise 1. E 2.3. Introduction 24 2.4. Caractéristiques sociales 2.5.3. Notion de face 25 2.5.4. Société de la honte et

Sylvie.- Le management interculturel 2e éd. mise à jour. - Paris : PUF, 2010. - 127 p. ; 18 cm. - (Que sais-je ? ; 2535).- Bibliogr. p. 123-126 305.8 AND 658.3 CHE Hofstede, Geert.- Cultures and Organizations: Software of the Mind: Intercultural Cooperation and Its Importance for Survival / Geert H. Hostede, Gert Jan Hofstede, Michael Minkov New-York : Mc Graw-Hill, 2010. - 561 p. ; 23 cm Bibliogr. p. 525. Index. 658.18 CUL Meier, Olivier.- Management interculturel. : stratégie, organisation

l’universalité des pratiques de saine administration nous conduirait à des sociétés semblables » (Bollinger et Hofstede 1987, 15). Elle met au centre de ses analyses, le principe du « one best way of leading or managing ». « Ce principe d’évolution devrait s’appliquer même aux pays pauvres du Tiers-monde qui, eux aussi en devenant riches, seront administrés comme des pays riches » (Bollinger et Hofstede 1987, 15). L’approche de convergence défend radicalement dans toutes les situations, le mimétisme dans

............... 16 1.1.4. Une différence de terminologie et définition entre les États-Unis et la France en ce qui concerne la responsabilité sociale de l’entreprise. ................................... 18 1.2. ENTREPRISES MULTINATIONALES ET INTERCULTURALITE : DEUX VARIABLES A PRENDRE EN COMPTE DANS L’ADAPTATION D’UNE STRATEGIE DE COMMUNICATION RSE............................................................ 22 1.2.1. Stratégie d’internationalisation : mode de fonctionnement et relations qui peuvent

d’Arte, l’entreprise dispose d’un programme d’échanges internes du personnel. Ce programme permet à toute l’équipe de se familiariser avec les différents métiers de la chaîne, mais il est surtout favorable au dialogue au sein de l’entreprise. Geert Hofstede, chercheur néerlandais en management présente le modèle de gestion allemand comme « une machine bien huilée » et le français comme « une pyramide humaine ». Le modèle allemand se caractérise par une distance hiérarchique faible, elle a une conception

qui priment sur l’intérêt individuel (Needhan, 1974). Le collectivisme exprime selon Hofstede (1994, p47) «le degré d'autonomie par rapport au groupe et aux normes sociales, la plus ou moins grande solidarité du groupe et le degré d'attâchement aux valeurs communautaires». Plusieurs auteurs se rejoignent autour du fait que les chinois seraient caractérisés par une culture où le collectivisme prédomine (Hofstede, 1994). Ils sont pour l’harmonie dans le groupe en dessinant une distinction entre ce

Il s’agirait pour le manager d’identifier les processus à l’œuvre dans un management de la diversité culturelle qui puisse conjointement être considéré comme socialement responsable. L’exercice est d’autant plus périlleux que comme le précisait Hofstede (1994, p. 269), les contacts interculturels entre groupes « ne débouchent pas automatiquement sur une compréhension mutuelle ». L’une des raisons nous semble en être le rôle joué par les stéréotypes dans nos relations aux autres. Systèmes de défense

L’interculturalisation promeut la reconnaissance des différences en l’intégrant dans l’interaction entre les acteurs. Elle implique celle des limites de la hiérarchisation propre à chacun d’entre eux ainsi qu’une recherche de normes communes pour un vivre ensemble (Hofstede, 2001, p. 454). 7 Approches interculturelles en éducation Dans des groupes culturels relativement homogènes, les questions identitaires se situent à leur périphérie, dans des espaces où se négocient la différenciation et l’identification