Interet Psychologique Pour La Phedre

les sources (page 3) l’intérêt de l’action (page 7) l’intérêt littéraire (page 14) l’intérêt documentaire (page 21) l’intérêt psychologique (page 23) l’intérêt philosophique (page 32) la destinée de l’œuvre (page 33) l’étude de toutes les scènes (pages 39-94) Bonne lecture ! RÉSUMÉ Acte I

--> On peut également constater qu’aucun des deux héros ne porte de regard sur la foule qui les regarde. Ils sont comme seuls au monde. CCL Comme chez Racine, la passion est liée au regard (« je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », Phèdre I,3). On assiste dans cette scène à la mise en scène d’un coup de foudre au cœur d’un lieu régit par des conventions et où le paraître occupe une place importante. D’ailleurs la princesse de Clèves n’avoue pas avoir reconnu le duc. III. La fatalité

en effet ses hommages à Artémis, déesse de la chasse. Phèdre se laisse aller à révéler à sa nourrice son amour pour Hippolyte. Or Thésée, bien qu'absent, est toujours vivant. La nourrice se propose d'aider sa maîtresse à satisfaire cet amour coupable : Phèdre s'y refuse. Malgré cela, sous le sceau du secret, la nourrice dévoile à Hippolyte la passion de sa belle-mère. Le jeune héros s'enfuit, horrifié par la passion que lui voue la reine. Phèdre maudit sa nourrice et, torturée par la honte, se pend

la vie qu’elle imagine pour Jason sera une torture elle va le métamorphoser, il sera oublié et renier, elle chercher à l’exclure socialement, à l’exiler. Elle le marginalise, elle va lui enlever tout ce qu’elle lui a apporté et cherche sa mort psychologique. ECRIT D’INVENTION : JEAN : Après tout, les rhinocéros sont des créatures comme nous, qui ont droit à la vie au même titre que nous ! BÉRENGER : À condition qu'elles ne détruisent pas la nôtre. Vous rendez-vous compte de la différence de mentalité

du texte, le travail artistique de celui-ci, sa façon d'être composer, les mots choisis pour désigner les choses, on peut même vouloir enrichir son vocabulaire en allant voir une pièce rédigée en language soutenue par exemple comme celle de Racine, Phèdre. Elle est composée de très beaux vers faits de rimes et rédigée avec du vocabulaire très noble : «Fuyez vos ennemis et suivez votre époux. Libres dans nos malheurs, puisque le ciel l'ordonne, Le don de notre foi ne dépend de personne.». Dans ce vers

morale de l'âme d'un individu qui aime ou fait de belles choses. Cette beauté de l'âme consistera en la contemplation des plus belles choses qui soient, les formes intelligibles, et en l'accomplissement des plus belles choses dont elle est capable (Phèdre, 250d ; Parménide, 130b)[1]. En reprenant les trois étapes de l'initiation à la Beauté : la purification, l'ascension et la contemplation, Platon donne une forme dialectique aux mystères orphiques de l'ascension de l'âme vers le divin. Hume

d’horreur) et pitié). * Une tragédie se fini mal et on le sait des le début. * Idée de fatalité : Les héros sont écrasés par des forces qui les dépassent fasse auxquelles ils sont impuissant. * Dimension religieuse. * Dimension psychologique. (ex : Phèdre, de Racine), des forces qui dépassent l’Homme * Dimension politique (ex : Antigone, Horace, de Corneille) Grands auteurs de tragédies : Corneille, Racine On discute beaucoup au XVIIe siècle de la Poétique d’Aristote : tragédie :

mettre en œuvre les réformes nécessaires dans la cité. En décrivant leurs débats, Aristophane se plait à tourner les femmes en ridicule par le biais d’une mise en valeur de leur manque de portée politique, de sens pratique et la défense absurde des intérêts particuliers. On peut alors se demander si cette perception de la femme, comique dans une société où ces dernières bénéficient du même statut et des mêmes droits que les esclaves, aura toujours autant de succès dans notre société du XXIème siècle

ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII. Pour la France, le XVIIe siècle en tant qu’unité historique peut être défini par deux dates : 1598 et l’édit de Nantes d’Henri IV qui met fin aux guerres de religions

sentiments. On peut également constater qu’aucun des deux héros ne porte de regard sur la foule qui les regarde. Ils sont comme seuls au monde. CCL II. Comme chez Racine, la passion est liée au regard (« je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue », Phèdre I,3). Ce qui est également récurrent chez Mme de La Fayette, c’est que l’on ne pénètre jamais au fond de son propre cœur, et que le seul regard conscient est le regard d’autrui. La fatalité de la passion L’idée que cette rencontre singulière