Interiorite Des Personnages

complexité. Oscillant entre moments tragiques et rebondissements comiques, il ressort que Dom Juan est un personnage insaisissable. Il est impossible de lui appliquer une seule définition. Le mot qui revient sans discontinuer pour parler du séducteur c’est inconstance. Dom Juan n’a pas une identité mais toutes les identités. Caractérisé par la métamorphose, le mythe ne construit pas un personnage, un individu mais bien plutôt une persona. Tirso parlait déjà de l’ « hombre sin nombre ». Ainsi parler

considérer que l'apprentissage amoureux est ce diable, ce mal qui envahit François car le narrateur vit une histoire interdite, avec un poilu cocufié. De plus le mot « corps » reflète l'idylle qui prend rapidement trait à l'attraction physique des deux personnages.  « Avoir le diable au corps », s'applique souvent à des enfants particulièrement agités mais l'expression a pris, avec le roman de Radiguet, une connotation érotique comme souligné précédemment. B. Réception du roman Le premier article en

apprend des livres par coeur, notamment la Bible , pour plaire aux membres du clergé et à la haute société qu’il fréquente. c- Des interventions du narrateur qui montrent son affection ou son jugement sévère pour ses personnages principaux (Mme de Rênal ; Mathilde de la Mole et Julien Sorel) : Le narrateur met l’accent sur les ridicules de Julien (lors de son avancée vers la chambre de Mme de Rênal), sur son orgueil «  avec un air orgueilleusement

principalement connu pour son cycle des Rougon-Macquart composé de vingt romans. Son œuvre suit une famille sur plusieurs générations avec des personnages qui interviennent dans les différents romans. Zola s’intéresse à une famille afin d’expérimenter les principes d’hérédité qu’il étudie principalement sous le prisme de l’alcoolisme et de la misère. Parmi ses personnages se trouve Nana, protagoniste éponyme du roman de 1880. De son vrai nom Anna Coupeau, elle est la fille de Gervaise Macquart, une blanchisseuse

inventer une subjectivité à un personnage historique peut apparaître comme parfaitement contradictoire à la volonté de reconstitution historique (voir I.) : un historien pourrait reprocher à Yourcenar de “plaquer” artificiellement des conceptions de sa propre époque, ses propres vues, sa

paraît sans artifice. Les « sentiments » sont le sujet du verbe  « répandaient » > la passion envahit la princesse, même son corps, ce n’est plus sa raison qui dicte sa conduite. On voit une harmonie inédite entre son intériorité et son extériorité (cf. les CCL «

la manière dont se constitue l’image du héros au fur et à mesure de la lecture (et à cet égard, Langlois est plutôt un personnage d’exception qu’un « homme comme les autres »), ensuite la manière dont le personnage retentit sur son entourage humain et révèle, au-delà de lui-même, une figure d’homme plus large, allégorique et peut-être universelle. I. Le ‘héros’ : un personnage d’exception 1. Un « sacré lascar »  Dès sa première apparition, Langlois attire les regards : malgré sa pipe bonace

je te dis » Ainsi le lecteur éprouve un sentiment de tension, presque d'étouffement dans cette chambre, auprès de ce professeur de piano rigide, exaspéré et inefficace. – – b) ambiguïté de l'attitude de la mère Anne, la mère apparaît comme un personnage contradictoire face à l'attitude de son fils, elle a deux réactions opposées : parfois, elle semble comprendre le désespoir du professeur de piano « sa tête se pencha un peu de la manière, peut-être, en convenir. » Page 12 . Toutefois l'adverbe

dérobe, soit que les nécessités de la composition romanesque (p.ex. dramatisation ou construction d'un « type ») ou la visée symbolique du passage entrent en tension avec la représentation de la stricte réalité. Objet d'étude : « Le roman et ses personnages : vision de l'homme et du monde » Problématique : En quoi l'écriture réaliste des romanciers du XIXème dépasse-t-elle la simple reproduction du réel ? Textes analysés en lecture analytique L.A n°1 : « Le portrait du père Grandet », Eugénie

dérobe, soit que les nécessités de la composition romanesque (p.ex. dramatisation ou construction d'un « type ») ou la visée symbolique du passage entrent en tension avec la représentation de la stricte réalité. Objet d'étude : « Le roman et ses personnages : vision de l'homme et du monde » Problématique : En quoi l'écriture réaliste des romanciers du XIXème dépasse-t-elle la simple reproduction du réel ? Textes analysés en lecture analytique ← L.A n°1 : « Le portrait du père Grandet »