Interjection

marqué par la polyptote : “Tu vas le vouvoyer toute la vie, ils vont se vouvoyer toujours ?”. Elle vient également nous montrer une certaine crise de l’adolescence et s’opposer à l’autorité d’Antoine, symbole de la famille, avec les nombreuses interjections et mots grossiers qu’elle emploie : “Mais, merde toi à la fin” ou “Merde, merde et merde encore !”, mais aussi grâce à l’utilisation de la forme négative “Je ne te cause pas, je ne te parle pas, ce n’est pas à toi que je parle” avec une certaine

le plaisir des fonctions naturelles. Personnages physiquement vivants avec les besoins que cela entraîne mais aussi très présents par leurs interventions directes. 2) L’oralité Rabelaisienne -Paroles rapportées au style direct : exclamatives, interjections, impératifs, pronoms, déterminants -Propositions incises « disait-il » -Polylogue vivant et rythmé : discours libéré et naturel. Absence de médiation -Rythme effréné -mots inventés tel que « coireaux », « préguinaux ». -présence de l’anticléricalisme :

viivacité , on se doute pas qu ‘elle est mal ,la surprise est là grâce aux points de suspensionon s’attend à une jeune femme pleine de vie , valentine =jolie /léger , rapport avec valentin qui représente l’amour : st valentin point de suspension avec interjection qui montrent que colette est ravi et enthousiaste de voir son amie on se rend compte que l’enthousiasme est interrompu par un mystère le déterminant « quelcque chose » ligne 56 : determinant indefini qui nous montre encore un certain mystère son

de Phèdre. Champ lexical de la souffrance physique « blessure », « saigné », « victimes » sensations extrêmes de Phèdre « sentir, transi, brûler ». Cet amour la rend muette et aveugle (paroxysme de la passion). Les phrases exclamatives et les interjections. « mon mal vient de plus loin » intensité de la passion. L’amour qu’elle éprouve pour Hippolyte surgit et forme une antithèse avec « mon repos, mon bonheur semblaient être affermis » le rythme binaire souligne les ravages de la passion. La métaphore

Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) - Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie ou tristesse, bonheur ou mélancolie…) Pathétique - Interjection et apostrophes - Phrases exclamatives - Rythmes brisés - Lexique des émotions (souffrance, pitié, peur…) Emouvoir le destinataire, éveiller sa compassion. Polémique - Marques de la première personne - Procédé de dévalorisation (métaphores

|chez le lecteur/spectateur. |- Figures d'insistance |?Oh! parlez, | | | |- Exclamations, interjections |cieux vermeils,/L'âme sans fond tient-elle | | | | |aux étoiles sans nombre ? (Hugo) | |PATHÉTIQUE

Une scène comique 1) Une scène de confrontation - « savez-vous » (l.1) forme interrogative qui invite Arlequin à faire un choix + « que je vous propose » = subordonnée complétive qui montre bien que l’idée du mariage vient de Trivelin. - Interjections : « Bon ! »(l.2) qui marque le refus d’Arlequin + « Mais ! »(l.3) conjonction de coordination qui montre l’opposition + « Oh » (l.24) : Arlequin se moque de Trivelin - « Vous ignorez » (l.5) : Trivelin persiste - Les didascalies : « d’un aire

questions), les questions oratoires ou rhétoriques (ce sont des questions sans réponses) des lignes 10, 13 et 14 mettent en exergue (en évidence) la douleur de Gargantua et son incompréhension face à un tel malheur. - Les phrases exclamatives et les interjections. Les prières à Dieu. La prosopopée (parler ou faire parler un être absent, mort ou abstrait) quand ils’adresse à la mort elle-même. Tous ces procédés stylistiques mettent en exergue la douleur de Gargantua et son désespoir. La description

“bonté excessive” souligne regrets - réactions physiques plus marquées dessinent tableau pathétique “je me jetai à ses genoux”+”les embrassant”, le désespoir est à son comble, ponctuation expressive omniprésente dans prise de parole “ah!”/”hélas!” interjections, agitation extrême - “s’il vous en reste encore” prop.sub.circ de condition tentative d’attendrissements à recours au pathos néanmoins le fait que ce soit une technique d'argumentation cela décrédibilise toute sincérité dans sa parole - utilise

Les Regrets Du Bellay • Références à un passé malheureux Négations + interrogations « Las + interjection » Lexique péjoratif / Laudatif Strophes : passé et présent (victime, perte de l’inspiration) Le dernier mot du poète « s’enfuient » montre un poète qui devient étranger à lui-même. « Où est » = passé révolu « Las » = interjection Répétition anaphorique de « où » = adverbe Poème élégiaque = où le poète se lamente, écrit ses peines, douleurs, etc… Impression qu’il y a deux