Interjection

n'importe ,interjection ,point d,exclamation, le narrateur nous montre ainsi d,une façon théâtral, un acteur monteur,《tanpis il faut en finir !》 Rodolphe et décidé de finir cette lettre son remords ainsi vu par flaubert. La deuxième partie écrite entre guillemets,

dire que ce poème prône une philosophie de vie particulière? 2. Réflexion tirée du spectacle > conclusion (logos) ○ Bilan: Poète philosophe Amour se mêle à sentiment vif de la nature, du décor champêtre: Communion avec les fleurs □ "Las!": interjection  "Ôvrayment marastre* Nature":  Le poète souffre devant l'altération des choses et le sentiment de fragilité de la vie humaine □ Lyrisme:  "Donc"  Démarche logique: □ "Fera": emploi du futur (temps de la certitude opposé au conditionnel)

bondis sur l'insecte, je vous le saisis et je vous le ramène » : rythme ternaire qui dévoile la facilité d'attraper la femme. « Voilà ma pêche » : métaphore filée d'Argos. Dé-personnification. « Regardez-moi l'horreur ! Hou ! » exclamative, interjection de dégoût. Impératif. « Vous autres » : désigne Argos. Généralisation. « Glaives » : évocation du meurtre. « Rougis à blanc » : connotation évoquant le sang. « Ces soubresauts de poisson au bout d'une ligne » : Animalisation. La vieille s'étouffe

direct) aller, partir, marcher... Les classes ou natures de mots Les cinq classes de mots invariables Sous-classes ...de temps Classes (feuille 3) (adverbes, prépositions, conjonctions de coordination et de subordination, interjections) Listes complètes ou exemples alors, déjà, demain, hier, maintenant, parfois, encore, tôt, autrefois, puis... ailleurs, autour, devant, derrière, avant, contre, ici, là, partout... ainsi, bien, mal, ensemble, vite, plus... oui, volontiers.

ponctuation: interrogations " Et qu'ais-je à faire de vos brunes?"; interjections : "Eh non!"; "Ah!". -> donne au passage la vivacité d'une scène théâtrale. Premier échange entre des personnages qui ne se connaissent pas : interlocuteur représente Autrui -> échange des points de vues différents. Début du dialogue se présente comme un débat. 2) confrontation des points de vue dialogue marqué par un désaccord : interjections le soulignent. Mais dialogue évolue vers l'accord. On peut distinguer

tromper Béline.En effet, Toinette joue la parodie du désespoir tragique pour duper Béline. Si le registre n qu’elle emploie est celui de la tragédie, le public complice de son stratagème perçoit son exagération comique. Ainsi, Toinette multiplie les interjections – « Ah » (l.1,4) répété trois fois, « hélas » (l.8) - associées à des phrases exclamatives. Elle emploie le champ lexical du tragique dans une énumération saisissante digne d’un alexandrin classique : « Dieu », « malheur », « étrange accident »

une syntaxe affectives : La souffrance s’exprime aussi par la syntaxe et la ponctuation. On note une multiplication des exclamatives : neuf points d’exclamation dans le dernier quatrain. On a des interjections souvent en début ou en fin de vers comme « Oh ! » ; « Non ! » ou « Hélas ! ». Ces interjections sonnent comme des cris du cœur. Chaque strophe se termine par une exclamative. On a deux questions rhétoriques : vers 4 et 5 ou Hugo interpelle les pères et mères qui sont dans son cas. Il quête chez

des questions au lecteur comme « Tout ce que j’éprouvais, l’avez-vous éprouvé ? ». Il est aussi exprimé par l’utilisation du champ lexical du désespoir avec des mots tels que « pleurai, désespoir, malheurs, affreux, horrible, terrible », par les interjections « Oh ! », « Hélas ! » et par l’hyperbole « souffert ma souffrance ». Victor Hugo exprime également sa souffrance à travers plusieurs champs lexicaux : celui de la souffrance, celui de l’horreur, celui de la révolte et du refus. Le champ lexical

l’impossibilité d’un mariage entre les deux personnages, bien trop antithétiques (= opposés, antinomiques) a. Incompatibilité entre la démesure d’Alceste et le calme de Célimène : *hyperboles, utilisation du pronom « tout », exclamations, interjections, antithèses : impulsivité personnage, agitation, démesure, exagération amour et haine mêlés « trop épris » = hyperbole (mise en valeur allitération en « p ») montre la force des sentiments d’A. *champ lexical guerre ; image chaîne, ne peut se

présence du poète ▪ Présence discrète de la 1ère personne « je » v.1 et 53. ▪ Mais visible par : + Emploi modalité exclamative + Émotion du poète mise en valeur par l’omniprésence de phrases non verbales. + Plainte de l’auteur montrée par interjection élégiaque « hélas » v. 49. + Apostrophes «ô mon Dieu» v. 2 - 43 - 54 mise en valeur car placées à la césure. + Versification → Enjambements + contre rejets «infortuné» v. 1- 53 « insensé » v. 21 → Multiplication rythmes ternaires v.