Interjection

Le comique de la scène repose en grande partie sur le quiproquo ayant lieu entre les deux personnages à propos du ruban que la jeune femme a offert à l’élu de son cœur. L’affolement du vieil homme, décelable grâce à ses nombreuses interjections et exclamations mais également via ses prises de parole très courtes, s’opposant au calme innocent et joyeux d’Agnès crée une rupture de taille entre les deux personnages, créant ici un fort comique de situation. Pour terminer, l’inexpérience d’Agnès

L’absence d’action/refus d’agir De la vie autour d’elle , aux actions des autres à la s ortie de l’église , refus d’agir, abandon des actions qu’elle aimait faire «  la musique l17 le dessin et la peinture l24 la couture l24 et la lecture Deux interjections : ah quoi bon ? À quoi bon ? C’est le découragement d’Emma. Elle abandonne tous et elle est donc dans un ebêtement CONCLUSION : l’héroïne est très fortement déçu, il n’y a plus d’événement qui marquera sa vie , on a une désillusion complète comme

en la présence de Sganarelle, la Dom Juan séduit l’amante de l’homme qui vient de le sauver. I. Une scène de séduction comique 1) une stratégie de séduction offensive la stratégie recouvre à : -la flatterie (adresses flatteuses, hyperboles, interjections, anaphores), l’emploi d’un vocabulaire simple (Charlotte est une simple paysanne). -la déclaration (déclaration d’amour hyperbolique, promesse de l’engagement). 2) Une scène comique - Comique de situation : DJ vient d’échapper à la

évoque une action soumise à une condition. Les modalités exclamatives mettent en relief le désespoir du poète et son déni, son refus de la réalité. Nous relevons, en effet 11 points d’exclamations ; les interjections sont également très nombreuses Il y a 13 modalités exclamatives ou interjections sur 20 vers  (v1) « Oh ! » ; (V2) « Hélas ! » ; (v9) « Non ! ». En effet, ces exclamations sont un moyen de donner à la phrase la brièveté et la violence de la plainte.

c’est pas mignon, ça! (avec ou sans négation) Si je le connais, ce mec ! Si je le connais pas ce mec ! Le renforcement de l’exclamation Octave! ô fou que tu es! (Riegel) -l’interjection ô et la relative à verbe être: que tu es d’autres interjections: Ah! Quoi! Comment! Hélas! Aïe ! Aïe ! Aïe ! Mon paternel ! Vingt-deux ! !(Sabatier) (= Aoleu ! Sase ! Vine tata !) -l’adjectif atribut renforcé par d’un C’est d’un pénible! C’est d’un chic ! C’est d’un bête ! Le mode du verbe -Indicatif:

romanesque de la lettre, et les commentaires sarcastiques de Me Argante. Par exemple, elle utilise l’ironie pour se moquer des sentiments amoureux : « que j’adore ! que j’adore ! ». Elle reprend ici les propos de Dorante, mais la répétition et les interjections manifestent son ironie. C’est comme si Me Argante soulignait le caractère excessif des propos de Dorante (adorer : étymologiquement pour un dieu). De plus ses commentaires qui font allusion à la condition sociale de Dorante, sont en total décalage

vouvoiement et le terme de monsieur / délicatesse de ne pas prononcer le mot nez / métaphore métabolique avoir une belle façade donc cette métaphore est valorisante Campagnarde = familiarité dans la construction de la phrase / vocabulaire familier / Interjections Militaire = vocabulaire militaire / impératif d’ordre / syntaxe militaire qui supprime les articles et les prépositions Pratique = rapport à l’argent / valorisation / humour Pyram (héros de roman précieux) = donc tournures de la précieuse avec

déterminée avec les phrases exclamatives ligne 29 « Non, tu te trompes ! », aussi avec l’emploie de interjections et apostrophes ligne 11 « Qu’as-tu donc ? ». En plus, en retrouve un lexique des émotions : ligne 3 « souffrait », ligne 17 « vomir », … L’auteur utilise cette tonalité pour émouvoir le destinataire et éveiller sa compassion. La tonalité tragique est déterminée grâce aux exclamations et interjections, ligne 12 « Ce n’est rien ! ». Aussi l’auteur met en présence les champs lexicaux du désespoir

qu’il passe moins vite que le malheur. Il y a donc un contraste de la réalité. Le poète utilise nous car tout le monde peux se poser la question. Nous pouvons voir ensuite dans le deuxième quatrain une Plainte lyrique du poète avec plusieurs interjections ” Hé quoi “v.5, ” quoi “v.6 qui sont répétés en début d’hémistiches se qui créent un rythme de refrain. Ensuite on peut voire que le poète se plein et est en colère avec la répétition du mot « quoi » qui est présent 3 fois dans les 2 premier

vise à divertir ou à instruire (placere ou docere) - Convaincre, persuader ou les deux - Marques de la subjectivité (texte engagé, présence de l’auteur …) - Présence du destinataire - Double énonciation - Pronoms - Questions rhétoriques - Interjections, impératifs - Registres (didactique, satirique…) - Marques de l’ironie - Personnages (porte-parole …) - Structure du texte et organisation des idées - Présent gnomique (vise à donner une valeur universelle aux propos) - Mots de liaison, lien