Interjection

séduisantes. • Le registre pathétique apparaît une première fois quand Cyrano s'identifie à Lord Buckingham et évoque "souffrances" et tristesse. Cyrano s'est laissé prendre à son propre jeu. Il revient à la fin avec le sacrifice de Cyrano. "Aïe", interjection de douleur, "pincement". Métaphore du pitoyable Lazare, personnage symbolique dans la parabole évangélique du riche et du pauvre : le mendiant Lazare dispute aux chiens quelques miettes tombées de la table du riche méprisant. Cyrano se voit ignoré

haut fait historique, politique, guerrier... >globalement il faut donc s'interroger sur la fonction de ces poèmes> registre >outils qui constituent ce registre. - s'intéresser à l 'énonciation : temps, pronoms, modalisateurs, types de phrases, interjections... cette énonciation a souvent un rapport avec les différents registres. La construction du poème : S'intéresser au titre, à sa signification et à son rapport avec l'ensemble du poème. Ce titre crée-t-il un effet d'attente ? Le poème est-il un

les nombreuses évocations de notions abstraites ou d'être absent, à travers les expressions « toi si brillant de vie », « des mains étrangères «, « Père est parti »; dans l'usage récurent des interjections comme « O hélas », « Ah! », « Malheur, malheur à moi! » ou encore « Hélas, hélas! ». Ces interjections ponctuent le désespoir, toute la ponctuation est pratiquement emphatique et exprime de manière exagérée les sentiments qui se bousculent et s'enchainent: souffrance, regret, culpabilité, haine

pour Suzanne et finit par une phrase ponctuée de points de suspension de Suzanne. Ce dialogue s’oppose au suivant, entre sœur Marie-Thérèse et Suzanne, qui montre un réel rapport de force. Suzanne pose les questions, et elle répond par de brèves interjections « Oui. » Le dernier dialogue finit cependant par une longue tirade de sœur Marie-Thérèse emplit d’émotion, ponctué par un point d’exclamation, et qui fait l’éloge de Suzanne, de sa beauté d’âme comme de sa beauté physique. L’extrait se termine

ce dernier. Le vers 12, « rien ne me passionne… », montre l’impossibilité à sentir ou exprimer quelque chose de la part du poète. Également, les interjections, que le poète utilise fréquemment, montrent le désespoir de celui-ci et même sa douleur, comme on peut le voir dans les vers 13 et 8, « Bah ! » «Ah ! Chacun dort ». Dans cette dernière interjection on peut même sentir que le poète a rage, puisqu’il ne peut pas même réaliser une action normale et quotidienne. Dans le vers 8 « […] Je verrai peut

représente au début· Présence d’un blanc, vers isolé = le refus initial est affirméUn éloge paradoxal du monde moderne : v.2· Tour Eiffel = symbole du monde moderne (construite en 1889) + présence de métal (comme le Pont Mirabeau)· Célébration avec interjection à valeur laudative et exclamative « o »· Développement d’une métaphore : tout Eiffel = bergère= image d’un Paris serein mais vivant avec une gardienne rassuranteMAIS aussi élément de provocation car tour = symbole du monde industriel à l’opposé

scène à travers ‘’ à genoux ‘’- complément circonstanciel de manière ‘’Yeux bandés’’ adjective qual. (Epithète) B) Un récit avec curiosité et découvertes Candide fait preuve de curiosité à travers ‘’ah ! Pangloss !ah martin !..’’ qui sont des interjections ou encore ‘’qu’est-ce que ce monde –ci ?’’ question directe. Ils découvrent l’Angleterre et son culture, en particulier, à travers la mise en scène de violence. Ils’’ regardaient attentivement ‘’ qui est un adverbe. Tout cela démontre la curiosité

conséquences que ce geste impliquera, se sacrifie dans l’espoir de sauver sa ville. Lorenzo est un héros romantique philanthrope. Enfin, on note que Lorenzo s’exprime par de nombreuses phrases exclamatives nominales, et utilise à quatre reprises les interjections « Ô !» ou « Ah ! ». C’est une manière poétique et romanesque de s’exprimer, qui complète la dimension romantique de la scène.

le lexique « regarde sans voir » ce qui montre un être coupé du monde, qui ne s’intéresse à rien - Métaphore verbale « fouillant » : un esprit désorienté - Strophe 2 : montre un esprit dans le néant sans objet précis, comme un automate - Interjection « bah » résonne comme un cri de lassitude, de découragement révélant un certain désir de sortir de cet état d’ennui permanent - Changement de cadre : reproduction de la même réalité à travers déjà le style entraînant des phrases courtes, disloquées

l’expression des sentiments. L’émotion produite par le registre lyrique naît de l’association de plusieurs procédés : les pronoms de première personne (situation d’énonciation), des phrases exclamatives, des questions oratoires/rhétoriques, des interjections (syntaxe), lexique de l’affectivité, des sentiments, de l’émotion (lexique), des comparaisons, des métaphores, des répétitions, des énumération, des anaphores et des gradations (figures de style), des balancements des phrases dans la prose, des