Interjection

|violente, exagérations, exclamations, phrases | | |personnages généralement faibles sont confrontés à la |au lecteur une forte |l'injustice de certaines situations, |interrompues (ellipses), interjections, exclamations. | | |violence, à la maladie, à la mort d'êtres chers. |émotion ; |les victimes innocentes etc. |

répond pas aux propos indignés d’Alceste (phrases interrogatives et exclamatives). Alceste parle tantôt à Oronte, en se contenant (« Voyons Monsieur, le temps ne fait rien à l’affaire. » (v. 11), tantôt à Philinte en laissant éclater sa colère (interjections, langage familier « vous avez le front », « morbleu », « la peste de ta chute »). D’ailleurs, la communication entre Philinte et Alceste est une communication parallèle qui n’est pas entendue d’Oronte (didascalie « bas » répétée 5 fois).  une

- Marques d’expressivité (phrases exclamatives et interrogatives, vocatifs) - Musique de la phrase (harmonie rythmique et sonore) Exprimer ses sentiments personnels et les faire partager (joie ou tristesse, bonheur ou mélancolie…) Pathétique - Interjection et apostrophes - Phrases exclamatives - Rythmes brisés - Lexique des émotions (souffrance, pitié, peur…) Emouvoir le destinataire, éveiller sa compassion. Polémique - Marques de la première personne - Procédé de dévalorisation (métaphores dépréciatives

En effet, à travers ses rires, le naturel reprend le dessus. La réplique qui suit la comparaison avec le jour tendre , avec la didascalie « A ce mot il saute de joie », plus les interjections «  Oh, oh, oh, oh ! » ; « oh , ce n’est rien , c’est que je m’applaudis » et la dernière réplique de l’extrait avec les interjections exclamatives « Ah, ah, ah que cela va bien ! » précédé de la didascalie « riant à genoux », montrent que Arlequin ne prend pas ce jeu de l’amour et de scène galante au sérieux

(marque de jugement) : adhésion / distance prise par rapport à un discours Vocabulaire : péjoratif / mélioratif connotation / dénotation polysémie Syntaxe : mise en relief parallélisme rythme binaire, ternaire Ponctuation : questions rhétoriques interjections lyriques REGISTRES Comique => Faire rire ou sourire - Jeux sur les mots - Effets de chute, de rupture et de décalage - Répétitions mécaniques des mots ou de situation - Ironie - Imitation burlesque (sujet sérieux dans un style bas) Délibératif

trancher une douloureuse alternative, ce qui paraît la perturber psychologiquement.     Les nombreuses exclamations d’Andromaque sont témoins du chamboulement de l’héroïne. Les cris de désespoir et de plaintes d’Andromaque sont exprimés par des interjections diverses : « Ah ! De quel souvenir viens-tu frapper mon âme ! ». Elle semble avoir été poussée par sa confidente Céphise à se remémorer un chapitre de sa vie douloureux pour elle. Elle utilise par ailleurs un verbe fort et qui reflète bien le mal

militaire), l’arsenal, pluie (tristesse), « s’abritait (évocation d’un danger). ⇒ Quelques éléments parsemés, avant l’évocation directe de la guerre, au vers 38, annonçaient déjà la dernière partie du poème. 2. La rupture brutale du bonheur. Interjection ( ) + vocabulaire familier ( ) + présent ( ) ⇒ Le poème change radicalement de ton à partir du vers 37 : le refrain est différent, il est surtout exclamatif. Le vocabulaire familier est là pour exprimer la colère du poète. Deux périodes s’opposent

si V.H faisait parler son âme. → Hyperbole soulignée par l’emploi de « tout » et « tous moments ». Moments priviligiés entre V.H et sa fille + soulignent le lien fort qu’il y a entre eux. IV- (V. 18 à 22) Portrait de famille idéale. V. 18-19 → Interjection « Oh  + exclamation : lyrisme. Progression de l’émotion au fur et à mesure que le souvenir se poursuit. → Expression « Que de soirs » qui souligne le nombre importants de soirées agréables. → Adjectifs mélioratifs « radieux » et « charmants »

est restée stupéfaite » (l.27), puisque celle-ci n’est pas tenue au courant contrairement au lecteur ou aux spectateurs. La surprise du comte est d’ailleurs traduite par une interjection « Ah ! » (l.26), c’est-à-dire des termes invariables qui peuvent exprimer un sentiment violent, une émotion et même un ordre. Ces interjections font parties du comique de langage et viennent en aide aux autres formes de comique afin de manifester les sentiments des personnages. La comtesse les utilise de nombreuses

seulement votre main blanche pour l’amuser un peu  « tenez donc […] en vous amusant »→ attirance réciproque comme le montre le jeu de séductionB) Avidité d’Arlequin1) Impatiencecourte répliqueles nombreux points d’exlamations montre son impatience les interjections « hélas », « ha »C) Le jeu de Lisette : elle feint de douter de la sincérité des sentiments d’Arlequin1) Mise à l’épreuve des sentiments : soupçon sur la sincérité«  a peine êtes vous arrivés ce n’est tant au plus qu’un amour naissant » 2) Interruptions