Interprétation Des Didascalies

Antigone est prête pour la vie, le bonheur avec son mariage avec Hémon. Il lui conseille de reprendre sa vie là où elle la laissée « dans un souffle » : à bout de souffle, elle semble définitivement résignée, métamorphose d’Antigone dans les didascalies « tu as toute la vie devant toi » : il lui a accordé la vie « notre discussion était bien oiseuse » : vanité des mots et des désaccords entre les 2 alors qu’il était si simple de dire oui à la vie. Antigone et Créon sont tombé d’accord, dans

Autant dire que la scene, bien que garni de quelques objets, est relativement vide. Outre le neant scenique, il y a aussi un neant sonore, et ce a travers la didascalie Un temps. En effet, elle est presente 390 fois dans l'ensemble de la piece, ce qui fait un silence cumulé d'une demi-heure si l'on compte cinq secondes de pause par didascalie. Une demi-heure de silence dans une representation de deux heures; autant dire que c'est significatif. Et dans le temps de discours, on distingue la récurrence

lecteur. Didascalie : est une note ou un paragraphe, rédigé par l'auteur à destination des acteurs ou du metteur en scène, donnant des indications d'action, de jeu ou de mise en scène. Elle permet de donner des informations, notamment, sur le comportement, l'humeur ou encore la tenue vestimentaire d'un personnage. Didascalie initiale : On appelle didascalie initiale, la didascalie du début de pièce (scène d’exposition) qui présente notamment l'ensemble des personnages. Didascalie externe :

relation à l’autre, entre amitié et esclavage - La référence biblique - La solitude - L’attente - La liberté b) Les personnages c) Une poétique du vide III) Entre texte et mise en scène a) Les didascalies b) La violence du corps c) La dérision contre le désespoir Conclusion Introduction : Samuel Beckett comme beaucoup d’autres auteurs comme Eugène Ionesco, ou Jean Genet ont véritablement révolutionné la dramaturgie du

scène choisira obligatoirement des costumes différentiables qui permettront au spectateur de repérer les personnages et leurs classes sociales. Mais le costume ne fait pas tout, la performance de l'acteur est essentielle. Par exemple, pour une interprétation des Fourberies de Scapin de Molière, l'acteur interprétant Scapin devra faire passer au spectateur son caractère inventif et comique qui n'est pas habituel au théâtre. Le metteur en scène devra tout de même garder l'idée que l'auteur a fait

unique et dépend du metteur en scène qui possède beaucoup de liberté dans son interprétation de la pièce. Même s´il doit respecter quelques contraintes posées par le dramaturge, comme les didascalies. Celles-ci sont parfois d´une grande importance pour retranscrire justement la critique implicite de l´auteur ou les comportements et réactions des personnages. Ce qui est le cas dans Caligula, où Camus multiplie les didascalies exprimant des changements rapides de comportement, accentuant ainsi la quasi-folie

L’interprétation du texte permet de mieux comprendre celui-ci en le rendant vivant. En effet, il y a tout d’abord les décors qui permettent au spectateur de mieux comprendre l’époque, l’importance aussi d’objets symboliques qui ne sont que citer dans les didascalies, lors de la lecture on ne peut pas réellement comprendre leur importance. Comme dans Mademoiselle Julie, les bottes qu’apporte Jean sur scène en début de pièce et qui sont présentes tout au long de la pièce, sont l’explication du dénouement de la

a des répétitions parce que c’est un dialogue oral, une interprétation orale. Le langage est oral et écrit. Les expressions des acteurs ne sont pas écrites. Langage surpris  il y a des acteurs qui parlent entre eux et ils surprennent au publique. Composite les acteurs se dirigent au publique et aux autres acteurs mais réellement ils récitent un texte. C’est une ouvre écrite par un auteur. Ils apprennent des dialogues. Didascalies (dirección de escena) indications scéniques. L’auteur explique

renommé du XVIIème siècle regorge de comique divers et varié. Tout d’abord, il y a la présence d’un comique de geste bien mis en valeur par Molière grâce à la seule et unique didascalie présente dans ce texte : «  A lui-même, se prenant par le bras ». Cette indication donnée aux acteurs pour leur interprétation nous permet de voir un coté d’Harpagon très instable, voir même un dédoublement de personnalité puisque celui-ci se stop lui-même comme si il y avait la présence de deux personne dans

fois verbalement et physiquement. Solange crie sa haine par une anaphore de «  je vous hais » puis par une grossièreté « Solange vous emmerde ! » répétée en changeant le sujet, pour « Claire », de façon à partager cette révolte avec sa soeur. Les didascalies soulignent la violence physique de cette scène : « Elle crache sur la robe rouge », «  Elle gifle Claire », « Elle tape sur les mains de Claire qui protège sa gorge », « Elle semble sur le point de l'étrangler ». Le meurtre de la maîtresse apparaît