Interprétation Des Didascalies

d’indications scéniques, de didascalies et parfois d’un prologue. Les didascalies sont des informations données par l’auteur sur les actions des personnages, sur le décor, etc. Certains auteurs écrivent des pièces de théâtre en utilisant très peu les didascalies comme par exemple Molière. Cela permet aux lecteurs d’apprécier la pièce tout en ayant la liberté de laisser cours à leur imagination. D’autres auteurs comme Ionesco, écrivent leurs pièces en utilisant beaucoup plus de didascalies. L’auteur veut décrire

  3. après la lecture de l'oeuvre, la vision d'une pièce jouée peut enrichir la perception du public et permettre une meilleure compréhension de la pièce  II. Oeuvre écrite : une approche plus approfondie de la pièce    1. imagination : interprétation personnelle.    2. côté pratique : on peut lire la pièce à n'importe quel moment, et pendant autant de temps que l'on veut (-> pas de limitation dans le temps)    3. lecteur aux "premières loges" : lecture personnelle et lecteur proche des personnages

représentations ne se ressemblent. Ce fut le cas du Dom Juan de Molière qui, durant la seconde moitié du XXème siècle fut mis en scène par pas moins de dix metteurs en scène connus. Cette part de création s'explique tout d'abord par la nécessaire interprétation du texte par le metteur en scène. «Une mise en scène n’est jamais neutre. Toujours, il s’agit d’un choix.» nous explique Antoine Vitez, célèbre metteur en scène du XXème siècle. En effet un même texte offre plusieurs lectures possibles. Les metteurs

Rome précisément. Il en est de même pour le théâtre Elisabéthain où Shakespeare dans Roméo et Juliette par exemple, indique que la pièce se passe à « Vérone une place publique, entre Samson et Grégoire, armés d’épées et de boucliers ». Voici les didascalies de la première scène. Il fait de même dans la pièce Hamlet, où il indique à la première scène le lieu « une plate-forme devant le château ». Pour la pièce de Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, écrite au 18ème siècle, on sait que les différentes

courtes, phrases nominales / longueur des répliques ⇒ L. met en confiance le duc, l’endort / L; est concentré sur ce qu’il fait 3. Les didascalies / stichomythie ⇒ Le meurtre est traité très rapidement : on ne s’attarde pas dessus Transition : AXE 2 : LORENZO LIBERE J’énonce l’idée directrice : 1. absence de pronoms personnels de la 2ème S / anaphore / didascalie ⇒ il s’adresse à lui-même, à la nature / il n’écoute pas ce que lui dit S. / son regard est sans doute orienté vers le bord de la fenêtre

contraintes pour l'acteur. - Influence de l'acteur dans le personnage. I) Proposition de corrigé pour le Français, sujet de commentaire de texte : « Vous commenterez le texte de Sartre (texte D), à partir de la didascalie qui s'ouvre par « Les sifflets redoublent) (ligne 11). » 1) La didascalie donne une nouvelle dynamique à la pièce. a) Intervention d'un nouvel acteur : le public. Réaction du public (sifflet) permet à Kean de sortir de son jeu d'acteur. b) Incrimination du public qui devient la

la mise en scène mais nous verrons dans un second temps que le metteur en scène est également important pour son interprétation du texte. Le texte théâtral contient les bases de la mise en scène, des indications pour la représentation qui sont insérée dans le dialogue. La grande majorité de ces indications scénique sont données par les didascalies. Tout d'abord, les didascalies internes, celles qui sont présentes dans le texte, donnent de indications importantes sur ce que font les personnages

est une pièce difficile à ranger dans un genre précis. Elle est partagée entre le comique et le tragique. Chacun peut avoir sa propre interprétation et peut comprendre des choses différentes, c'est ce qui fait la richesse de cette pièce. Beckett fait bouger les codes c'est pourquoi la première lecture est forcément déséquilibrante avec l'omniprésence des didascalies et comme on l'a vu avant les vacances le fait qu'ils ne veuillent pas avoir de style font que cette pièce est assez atypique. Quelles

dialogue, ne dit pas forcément tout. L’absence d’un narrateur donne espace au lecteur d’interpréter les péripéties que les personnages n’évoquent pas explicitement, en utilisant la technique de la double énonciation ou celle du monologue. De même, les didascalies, c’est-à-dire, les indications que donne l’auteur pour la mise en scène, et les détails du décor ne sont pas toujours présents et la spécification de l’attitude que l’acteur doit prendre pour jouer la réplique n’est pas donc spécifiée. Ainsi, le

lecture d’un texte théâtral est-elle suffisante pour comprendre et apprécier le message de l’auteur ? Qu’apporte la représentation scénique d’un texte ? Certes, un texte théâtral suffit pour être compris et apprécié. Les dialogues et les didascalies, soigneusement écrits par l’auteur, sont les éléments fondamentaux d’une pièce. C’est à partir de ce texte que le metteur en scène crée la pièce. Les répliques, partie principale du texte, restent inchangées. Ce sont elles qui informent le