Interprétation Du Rêve

LES PERSONNAGES 1. Le couple Loisel est caractérisé par des traits opposés. a) Repérage Relevez quelques-uns de ces traits. b) Interprétation En quoi ces portraits accentuent-ils l’image mélodramatique du personnage de Mathilde tel qu’il est présenté au début du récit : « Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes » ? 2. La description de Mathilde aux pages 160 et 161 montre la dualité dans laquelle elle se trouve. a) Repérage Relevez deux

qu'en réalise le rêve. Du grec ancien ὄνειρος oneiros (« rêve ») avec le suffixe -isme. Le rêve désigne un ensemble de phénomènes psychiques éprouvés au cours du sommeil. Au cours de l’Histoire, différents domaines de la connaissance se sont intéressés au rêve, y cherchant du sens ou une fonction. Le rêve se distingue de l’hallucination et de la rêverie qui, eux, sont vécus à l’état éveillé. Le nom scientifique de l’étude des rêves est l’onirologie. Au réveil, le souvenir du rêve est souvent lacunaire

psychologie commet une erreur théorique en exagérant la présence de processus inconscients, ce qui aboutit à inventer un monstre dans la pensée de chacun. De la ligne 12 à la ligne 19, Alain évoque les objets d’analyses privilégiés du Freudisme (rêve, sexualité) et montre comment Freud a rendu compliqués des phénomènes pourtant assez banals par un excès d’interprétation. De la ligne 19 à la ligne 24, Alain concède à Freud que l’homme n’a pas une connaissance parfaite de lui-même tout en

 Le rêve donne-t-il du pouvoir ? Le rêve est une production psychique survenant pendant le sommeil, et pouvant être partiellement mémorisée mais il peut être également le fait de laisser aller librement son imagination. Par le rêve on accède à des capacités ou des réponses qu’on ne peut pas avoir autrement. Le document 1 est un texte de Gaston Bachelard, « La poétique de la rêverie, introduction », écrit en 1960, c’est un texte philosophique qui définit le rêve. Le texte de Daniel Boorstin « Les

aspérités, ses prétentions et ses hésitations. Freud introduit le lecteur à la psychanalyse par le biais de l’étude de faits que chacun peut vivre et constater dans sa vie quotidienne, ce sont les actes manqués, les lapsus, l’oubli, la méprise et le rêve. Le but de cette étude, illustrée par un grand nombre d’exemples vécus et analysés par Freud, est de permettre à tous de posséder les outils analytiques pour aborder les névroses. Dans cet ouvrage nous pouvons faire la différence entre les individus

La raison et le réel Introduction : l’hypothèse du rêve 3 I. Les sciences déductives [la démonstration] 3 A. La logique 3 1. Présentation 3 a. La logique d’Aristote 3 b. Frege et le formalisme logique 5 [cette partie peut être considérée comme un autre « exemple » ou un développement de ce que nous apprend la logique aristotélicienne] 5 2. Vérité n’est pas validité 5 3. Les limites de la démonstration 6 a) Elle repose sur des principes logiques 6 b) ces principes ne peuvent pas

personnel (le rêve selon Freud permettant toujours « l’accomplissement d’un désir ») recherche égoïste qui a priori disconvient au « bien commun » régnant dans le groupe. C’est dans le sommeil puis le rêve qu’apparaît le plus vivement l’expression de cette recherche, à l’occasion d’un certain relâchement du contrôle de la conscience (relâchement produit notamment par la mise à distance de la contrainte exercée par le réel environnant lors de l’état de veille) et c’est donc dans le rêve que se dévoilent

abîme de la propre situation du héros. En effet, le rêve comporte des précisions qui enterre tout doute sur l’identité des personnages : le « fils de déesse » ne peut être qu’Enée fils de Vénus, vu comme un « insensé » en proie à l’amour ; « elle », « la femme qui incessamment varie et change » symbolise Didon, personnifiée comme une menace au projet d’Enée. De plus, la situation temporelle de la vie d’Enée correspond à la période du rêve, puisque le « tu » de Mercure « s’abandonne au sommeil »

définitivement. Face à tous ces événements, on trouve plusieurs interprétations, le point de vu scientifique et le point de vu paranormal. Les miraculés décrivent souvent leur expérience comme exceptionnelle et paranormale. Contrairement aux scientifiques, ils pensent pouvoir sortir de leur corps, devenir uniquement un esprit relié à son enveloppe charnelle par un fil d'argent. Ils pensent que tout ce qu'ils ont vu n'est pas un rêve mais la réalité. Et ils pensent avoir réellement du faire un choix

vient du grec topo qui signifie un lieu = en français la topologie. La 2è topique = la 2è géographie de l’inconscient car la topologie freudienne a évolué de 1919 à 1923. * Überich : Interdits règles morales, tradition : Censure répressive, interprétation des interdits de la morale. * Ich : Moi, qui répond au principe de réalité. Toujours pris à l’intersection de deux contradictions, d’une part le rejet venant du sur moi. D’autre part le plaisir procurer par les pulsions. * Es : Pulsions