Interrogation

ses sentiments personnels -Marques de la 1° p (très impliquée) -Marques de la 2°p (apostrophe+ pronom) -Marques d’expressivité (exclamation, interrogation, vocatif) -Musique de la phrase (rythme) Le fantastique : Susciter la peur, le trouble en hésitant entre une interprétation naturelle et surnaturelle. -Expression du doute (Interrogation) -Focalisation interne - Lexique de la peur, doute, étrange et monstrueux -Comparaison et métaphore sur l’incapacité à cerner ce qui se passe

recueil comme ouverture. I/ ASPECT ET STRUCTURE Texte se présentant sous la forme d'un interrogatoire tendant à percer le mystère d'une identité, consciente de sa différence. Disposition typographique particulière du texte : des tirets, des interrogations systématiques qui accrochent l'œil Contraste entre questions et réponses parfois brutales, raccourcies jusqu'au monosyllabe avant de s'étirer à nouveau, à la fin réponses toujours en contradiction avec les questions, les niant fortement tutoiement

mais aussi à le convaincre ; « payant de raison » vers 3. Les deux gérondifs montrent sont argumentation risquée. En aucun cas elle ne cède pas à une terreur non controlée. Elle métrise la situation et sa plaidoirie le révèle. Elle multiplie les interrogations rhétoriques; « une souris / De ma taille et de ma dépense / Est-elle à charge en ce logis ? » vers 4 à 6, « Affamerais-je, à votre avis, / L’hôte et l’hôtesse, et tout leur monde ? » vers 7-8, qui impliquent une réponse négative. La souris suggère

portent à une réflexion d’autant plus interessante . On arrive alors à un paradoxe :comment l’écureuil faisant référence à un enfant qui ne connait rien à la vie peut -il se donner la mort ? On se trouve là devant un suicide impossible. Cette interrogation lancée par Cattelan est il me semble une exagération, une métaphore pour se dire que si meme un enfant se tuerait et n’a plus d’espoir dans ce monde , alors de quoi pouvons nous encore rever ? Cattelan dénonce donc la société , un désenchantement

tête du receuil comme ouverture. ASPECT & STRUCTURE- Le poème se présente sous la forme d'un interrogatoire tendant à percer le mystère d'une identité, consciente de sa différence.Le poème a une disposition typographique particulière : tirets, interrogations systématiques qui accrochent l'œil. Contraste entre Qts' & Rps': - parfois brutales, raccourcies jusqu'au monosyllabe avant de s'étirer à nouveau, à la fin - réponses toujours en contradiction avec les questions, les niant fortement - tutoiement

de l’homme dans cette période troublée et fondatrice de la modernité ? I- Léonard de Vinci et l’affirmation de l’artiste total. A- Un esprit curieux de tout. B- Le statut nouveau de l’artiste. C- Une œuvre reflet des interrogations spirituelles. II- Face à l’angoisse des temps, une réponse spirituelle : Martin Luther et la Réforme protestante. A- Un contexte de crise spirituelle. B- Luther et la Réforme protestante. C- Diversité et diffusion de la

Une seule question est au fondement de la philosophie selon Camus : cela vaut-il la peine de vivre ? Toute autre interrogation philosophique en découle, lui est secondaire. Et il n’est pas besoin d’être un philosophe reconnu, professionnel dirais-je, pour se poser cette interrogation, car tant est pressant le sens de la vie pour chacun d’entre nous. En allant jusqu’aux extrêmes, certains répondent par le suicide (peut-être n’ont-ils pas trouvé de sens), alors que d’autres donnent leur vie pour une

conséquences très concrètes. Dès le XIXe siècle, les socialistes "utopiques" ont contesté que cette finalité soit uniquement d'enrichir les actionnaires, avec comme traduction de leurs convictions la fondation de coopératives et de mutuelles. Cette interrogation a été renouvelée tout au long du XXe siècle, par ceux qui - face à l'évolution managériale du capitalisme - voulaient revenir à la pureté du pouvoir actionnarial, ou au contraire par ceux qui cherchaient à promouvoir une autogestion qui aurait

l’heure n’est plus, après le XVIIIe siècle, à l’exploration ; mais l’attention à l’Autre est constante, ainsi que l’interrogation que génère la découverte de mœurs différentes, interrogation qui porte sur l’Homme en général mais débouche aussi, au temps des romantiques et dans les époques suivantes, sur une interrogation personnelle : qui suisje, moi qui ne suis pas comme l’Autre que je rencontre

pour quoi: d'où venons-nous? où allons-nous? etc.Par contre, l'État positif ou scientifique substitue à ces interrogations initiales des questions plus modestes et locales, concernant, non plus l'origine ou la destination des êtres et du Monde, mais le fonctionnement des phénomènes: questions en comment.Les réponses apportées par la science ne concernent donc pas, a priori, les interrogations de type métaphysique: elles s'en tiennent strictement à l'univers physique.Mais dans quel domaine la science