Intime Pudeur

pouvoir réaliser sa toilette, que j'ai l'habitude et que je ferais tout pour respecter son intimité et sa pudeur. Elle finit par accepter mais me dit qu'elle est fatiguée et qu'elle veut juste une toilette au lavabo. J'installe une chaise dans la salle de bain, lui prépare le matériel et je la laisse se faire le devant et la petite toilette, une fois qu'elle a fini je lui couvre les parties intimes, je lui lave son dos tout en discutant avec elle pour la mettre à l'aise et la rassurer, la toilette se

toilette des parties qu'elle ne peut pas atteindre : le dos, la partie intime et les jambes. J'appréhendais vraiment ce soin, je pensais que je devrais absolument tout faire de moi-même. Le fait est que la patiente s'est proposé d'elle-même pour faire sa toilette m'a beaucoup rassuré. Difficultés et points à approfondir: Les difficultés que j'ai pu rencontrer tout au long du soin sont notamment l'ergonomie et le respect de la pudeur et de la dignité de la patiente. En effet il faut que j'approfondisse

bassin puis après qu’elle est effectuée ses besoins je pense en profiter pour faire sa toilette intime. Je baisse alors la barrière de mon côté pour lui mettre le bassin pendant qu'elle soulève ses fesses grâce à la potence et la force de ses bras. Je l'installe bien, remonte la barrière du lit et la laisse faire ses besoins. Pendant ce temps je prépare tout ce qu'il me faut pour réaliser sa toilette intime à savoir un broc d'eau, un gant et du savon. Affairée à ne rien oublier, j’entends la cadre et

cette chambre qui à une ambiance toute particulière. Cette petite salle sombre personnalisée est envahit par deux personnes de plus. L’espace intime de madame X est encore réduit. A cet instant j’ai eu davantage l’impression que cette chambre faisait partie intégrante du couloir d’où venait la lumière que de la vie de cette dame .J’ai donc fermé la porte par pudeur pour elle, refermant ainsi son espace personnel. Après réflexion sur cette situation, il m’est parut clair de différencier deux attitudes

Synthèse du dossier pudeur 29/09/11 A travers ce dossier pudeur, nous comprenons la signification du mot pudeur et tout ce qui se rapporte à celle-ci. La pudeur est une sensation de retenue, c’est la réserve éprouvée face à ce qui peut choquer la décence. C’est un sentiment de gène, collectif ou personnel. Elle est différente pour chaque personne. La pudeur est ressentie à l’idée de dévoiler une partie de son corps voir la totalité et plus particulièrement la sexualité. Elle est également éprouvée

service, il y avait toujours 4 à 6 résidents qui attendaient dans le couloir, devant la salle de bain. Tous disposés à commencer leur toilette. Le choix d’une douche quotidienne pour tous, a été choisi par une volonté d’hygiène et de bien être. La pudeur et l’intimité sont initiées par le personnel soignant, car les résidents n’ont pas développé ces notions. Leur passé dans les institutions hospitalières, les a habitué à une promiscuité très exacerbée. De ce fait, l’ordre de la douche se fait en fonction

soignante, accompagnée d’une élève nous ont rejoint dans la chambre. L’aide soignante a pris le relais de l’étudiante pour terminer la toilette. Nous nous sommes donc retrouvées à trois au bout du lit à regarder la patiente se faire laver les parties intimes, pendant que les aides soignantes échangeaient des propos sur leurs vies personnelle. Elles n’ont même pas pris le temps de parler à la patiente et de nous expliquer le soin. Et nous n’avons donc pas su si la patiente se sentait bien et si cela ne

donné qu’elle avait eu une selle, tout en faisant le change, je parlais avec Kassandra et elle faisait des sourires, ce qui me rassurait et me mettait en confiance. J’ai finis par la partie intime, puis je l’ai séché et lui ai remis une couche propre avant de l’habiller. Tout le long du change, j’ai respecté la pudeur et l’intimité de Kassandra, je lui ai parlé pour la mettre en confiance et son bien-être au moment du soin m’a mis moi-même en confiance. Observation, étonnements : Bien qu’une auxiliaire

interrogés, l’humiliation serait suscitée par des tâches dégradantes pour le soignant, se considérant instrument de soin. De même que le soigné partagerait cette humiliation par sa dépendance à l’aide recherchée lors de la réalisation de ses soins intimes (la toilette). Cette humiliation peut être ressentie au moment du soin ou bien plus tard durant le récit d’un soin. Emotion qui persiste dans la durée dû à ce que l’auteur appelle « l’innommable », « la souillure du geste ». L’auteur définit ce sentiment

d’effectuer cet acte et également de lui faire une petite toilette intime, au lit, avant de changer la sonde, ce qui lui permettra de ʺm’évaluerʺ sur ce soin d’hygiène. Nous rentrons en frappant dans la chambre de Madame P, nous nous présentons, elle nous accueil avec un grand sourire et lui expliquons ce que nous allons lui faire. L’infirmière prépare le matériel nécessaire pour le changement de sonde et moi celui pour la toilette intime comme nous avons pu le voir dans l’UE 4.1 soins de confort et