Intuition

Winnicott cherchait plus à donner un sens aux choses que des conseils pratiques aux mères. Il exprime une foi profonde en la compétence d’une mère et en son intuition très juste concernant les sentiments et les besoins de son bébé. Cela, dit-il, donne confiance au bébé et favorise son développement le plus complexe. La mère acquiert cette intuition d’abord par son extraordinaire capacité d’identification à son bébé qui, à son tour, se développe en s’identifiant à elle. Le bébé croit que sa mère et lui

ffre et la demande désignent respectivement la quantité de biens ou de services que les acteurs sur un marché sont prêts à vendre ou à acheter à un prix donné. Si la théorie de l'offre et de la demande recouvre pour Roger Guesnerie une intuition ancienne, sa formalisation débute en 1838 lorsqu'Augustin Cournot introduit la courbe de demande. Plus tard, Alfred Marshall à travers la théorie de l'équilibre partiel entre l'offre et la demande va modéliser les phénomènes de variations de l'offre et de

incarnation dans le monde, c’est ce que dit Lavelle dans sa définition : « L’apparence ne peut pas être détachée de cet être dont on veut qu’elle soit l’apparence sans quoi elle ne serait rien, même pas une apparence. » Ainsi la connaissance suppose une intuition sensible, condition nécessaire pour une rationalisation de la réalité. Le réel lui-même ne peut avoir de sens si nous faisons l’économie de l’expérience et donc des apparences. À ce stade il est souhaitable de clarifier les significations

élaborée, la réflexion soutenue- « un dialogue silencieux de l’âme avec elle-même ». Certes le sommet de l’expérience intellectuelle culmine dans l’intuition ineffable de la chose même (cela se dit « théoria » en grec), mais le chemin qui mène à cette intuition est discursif : il passe par les mots, par le dialogue (dia-logos) c’est-à-dire l’entretien dialectique dans lequel la parole de l’un cherche appui et confirmation dans l’acquiescement, l’assentiment de l’autre. C’est par ce jeu de « diction » et

subsistant à travers les variations individuelles d'un objet, et qui le définit comme tel. Didact. (psychol., ling.). Association stable d'éléments (images, idées, symboles, mots) formant une unité.  Psychologie de la femme. → L'éternel féminin*. | Intuition, imagination, sensibilité attribuées à la femme. | L'âme de la femme. | L'âme des femmes (→ Âme, cit. 17.2). — REM. Plus encore que pour la physiologie, les traits psychiques attribués à la femme correspondent à des représentations sociales traditionnelles

celle au sens moral. En effet la conscience morale est la capacité de formuler des jugements moraux sur le bien et le mal. Enfin, la dernière définition que nous pouvons est la définition philosophique de la conscience qui marque la connaissance, intuition ou le sentiment qu’un sujet possède de lui-même, de ses états, de ses actes .  L’animal existe, sent, connaît, il a une certaine mémoire, il peut établir des associations élémentaires et il surprend parfois par son ingéniosité : il possède une

d’enfermement. Le sujet 1 Sujets d’oral LA CONSCIENCE • SUJET 01_PHI070627_01C.fm Page 28 Mardi, 24. juillet 2007 10:30 10 LA CONSCIENCE • SUJET 1 La pensée de moi-même, ou de toute autre chose, lorsqu’elle devient une intuition intellectuelle, peut m’assurer de la vérité d’une telle pensée, tout simplement parce qu’il est impossible de penser à cette chose d’une autre manière, comme lorsque j’évoque l’essence d’un triangle, qui ne peut que correspondre à une figure dont

une intuition ni par démonstration > elle nécessite le recours à l’expérience, sans que cela lui ôte sa certitude → deux type de certitude selon Hume : 1) la certitude démonstrative > aucun degré, tout ou rien → c’est le cas de l’intuition = raisonnement démonstratif. 2) la certitude morale > comporte une quasi-infinité de degrés → c’est le cas des choses de fait = raisonnement moral. « Le contraire d’une chose de fait ne laisse point d’être possible » > concevable par l’esprit ≠ intuition → contraire

le songe de la réalité et on ne peut avoir la garantie de rien. Puis il réalise que la seule chose dont il ne peut pas douter est que lui, Descartes, est en train de douter, donc de penser. "Je pense, donc je suis" dit Descartes. C'est sur cette intuition que le philosophe base toute sa réflexion philosophique, sur cette conviction qu'il a eu à cet instant qu'il était bien une "chose qui pense". Même en résonnant de façon méthodique et radicale, nous ne pouvons nier le rôle de Conclusion

entendre par « raison » la faculté de raisonner, ou faculté discursive, qui ne peut rien sans l'intuition. (Cf. Traité, II, p. 74-76; Esprit de géométrie et esprit de finesse, Brunschvicg, p. 317-321, ou « sentiment » et « instinct » signifient « intuition ».) On peut aussi, dans l'esprit même de Pascal, dire que la raison, qui n'admet que ce qui est démontré, doit être complétée par la foi, qui « est différente de la preuve » (Brunschvicg, p. 449). Mais il est plus probable que Pascal prenait