Ironie Dans Torture

du Pauvre : l.6 + l.26 = ironie or on parle pas comme ça aux pauvres. Oblige le pauvre à blasphémer, à jurer pour lui donner de l’argent. 2) Le pauvre : un personnage honnête -Personnage croyant, appartenant au bas du TIERS-ÉTAT, poli « Messieurs » (l.2) -Gentillesse du Pauvre : donne la réponse gratuitement. -Ne veut pas jurer, craint Dieu et demande l’aumône. -Force mentale importante + vient de dieu. (Sganarelle = « va va jure un peu » = veut arrêter la torture ou aurait peut-être jurer

infligé à Jean Calas après le verdict du procès par le parlement de Toulouse. Ce dernier le condamne à mort le 10 mars 1762, sans que le jugement ne soit motivé. Calas est condamné au supplice de la roue. Il subit la question, une longue séance de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard. Exilé, un autre fils de Jean Calas, Pierre, se rend dans la ville calviniste de Genève, où il rencontre Voltaire. Le

Aventure indienne Ce document comporte 4 pages numérotées de 1 à 4. Objet d'étude : l'argumentation, l'apologue. QUESTION (4 points) Quels liens pouvez-vous établir entre le conte intitulé « Aventure indienne » (Document A) et l'article « Torture » extrait du Dictionnaire philosophique de Voltaire (Document C) ? Appréciez les différences de registre littéraire entre ces deux textes de Voltaire. * Vous traiterez, au choix, l'un de ces trois sujets (16 points) Sujet 1 : Vous ferez le commentaire

l'étude et la maladie. Comme, lorsqu'un célèbre criminel arrive au bagne (comparaison), les condamnés l'accueillent avec respect, ainsi tous ces démons humains, experts en tortures, saluèrent une douleur inouïe, une blessure profonde que sondait leur regard, et reconnurent un de leurs princes à la majesté de sa muette ironie, à l'élégante misère (antithèse) de ses vêtements. Le jeune homme avait bien un frac de bon goût, mais la jonction de son gilet et de sa cravate était trop savamment maintenue

séance de torture, mais n'avoue rien. Il proclame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard. Exilé, un autre fils de Jean Calas, Pierre, se rendit dans la ville calviniste de Genève, où il rencontra Voltaire. Le philosophe crut d'abord l'accusation fondée et alla rédiger scandaleusement même une lettre incendiaire sur Jean Calas. Mais, convaincu par Pierre de son innocence, il forma un groupe de pression avec ses amis et utilisa son ironie corrosive

de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard. Exilé, un autre fils de Jean Calas, Pierre, se rend dans la ville calviniste de Genève, où il rencontre Voltaire. Le philosophe croit d'abord l'accusation fondée et rédige dans un premier temps une lettre incendiaire sur Jean Calas. Mais, convaincu par Pierre de son innocence, il forme par la suite un groupe de pression avec ses amis et utilise son ironie corrosive

paragraphe. b) Une ironie comique. ironie présente dans plusieurs expressions : « les sages du pays » , Voltaire les prend évidemment pour des imbéciles, « bel auto-dafé », que l’auteur réprouve, « belle musique en faux-bourdon », qui n’est donc pas belle ou harmonique, hyperbole ironique « secret infaillible ». Euphémismes comiques : « quelques personnes brûlées », réduit la portée des exécutions, « appartements d’une extrême fraîcheur » désignant la prison, les cachots. Ironie dans l’absurdité

filigrane) Un honnête homme « carrière honnête » Intelligence accumulation Capacité d’adaptation Multiplication des métiers et des situations Sens de l’humour et de la l. 14 -15 : périphrase // prison dérision « Journal inutile » autoportait (l. 44- 45) Ironie Evocation de l’Orient Entêtement Personnage riche et complexe Amoureux et sensible Gaieté, optimisme « je taille encore ma plume » Accumulation l. 46 - 48 Allusion à l’intrigue / Suzon Folâtre, folles bouffées, gaieté Une bonne nature Variété de

contre le parti, leur résistance. Malheureusement tous deux vont se retrouver pris dans les mailles du filet d’O’brien qui n’est autre que un fidèle espion du régime. Julia et Winston seront séparés et torturés jusqu’au bout. Privés de nourriture, placés dans une salle en permanence éclairée, battus, torturés jusqu'à avouer que 2+2 ne font pas quatre mais belle et bien ce qu’en décide le parti, 2+2 peut donc faire 3, 4, 5 ... Finalement ils seront remis en liberté, se rencontreront par hasard et s’adresserons

nom, M. Vanderdendur, qui est une parodie des noms de famille hollandais. Voltaire dénonce la barbarie consistant à tolérer les tortures subies pour pouvoir manger du sucre. Le décalage est trop grand entre le sacrifice des esclaves et le bien-être des puissants. Le Noir ne se révolte pas, mais son discours est chargé d’une violente amertume et d’une sombre ironie. La phrase « C’est l’usage » condamne implicitement ce qui est admis par tous. Le traitement que subit le noir n’est pas extraordinaire