Ironie Dans Torture

l’esclavage et la torture Les arguments : 9 a) 2 arguments historiques et économiques situant le problème au niveau du travail argument économique et historique : nécessité de mains d’oeuvre pour travailler (ironie : peuples d’Europe ayant exterminé ceux d’Amérique) argument économique : sucre trop cher (ironie : esclavage a pour but de réaliser un profit pour les européens) b) 2 arguments d’ordre racial argument esthétique : rapport de cause à conséquence (ironie : intolérance physique)

encore des articles engagés dans l’Encyclopédie incite ces lecteurs à réfléchir avec lui sur l’injustice, l’intolérance mais également la torture, procédé qui le révolte. Il tente de faire réagir les lecteurs dans ses essais comme « L’Aventure indienne », publié en 1766 contant le devenir de Pythagore, après avoir sauvé deux Indiens du bûcher ou encore « Torture » qui partie du dictionnaire philosophique comportant 614 articles publiés entre 1864 et 1873, qui relate un fait réel et aborde la pratique

lecteur est donc actif, il doit interpréter, faire des hypothèses pour saisir le message. Il y a finalement un plaisir important, celui de décoder, de transposer ce que dit l’artiste. Dans les textes de Voltaire, nous prenons plaisir à décoder son ironie. Quand il parle, dans Candide, d’une « boucherie héroïque » ou du « meilleur des mondes », il faut cerner la figure de l’antiphrase. Nous devons réfléchir pour comprendre le texte, nous nous sentons directement concernés par ce dernier.

dans l’opposition entre les 2 termes : «  boucherie » évoque massacre, peu compatible aux qualités idéales de l’héroïsme. 2- La critique de la guerre : a- Les soldats : La critique par la description des deux armes procédées utilisés. Ironie : Impression de description méliorative. Accumulation d’adjectif : armé présenté comme une fanfare comme le montre l’énumération d’instrument de musique mais effet de chute avec «  canon ». Chute avec «  enfer » qui s’oppose avec «  harmonie ».

Andromaque apparait tout d’abord comme une femme tendre et fidèle, mais à l’esprit torturé par ce choix impossible. Elle n’attend aucune réponse de Céphise, elle lui montre juste sa colère par rapport à ses propos précédents visant à aller voir « expirer » (l1012) son fils. Dans les deux premières questions de la ligne 1015 et 1016, Andromaque se rend compte que l’idée de voir mourir son fils serait pour elle une torture et se révolte face à cette option « Quoi ? Céphise, j’irai voir expirer encor /

la peine de mort : Tous ces éléments permettent à l’auteur de défendre son opposition à la peine de mort en éveillant les sentiments du lecteur. La ponctuation, l’utilisation de points d’exclamation transforme la narration du condamné en un cri de torture : Le lecteur comprend que son sort est inéluctable, condamné, il n’a plus qu’à attendre le supplice en criant sa condition « condamné à mort ».Ce cri de détresse provoque la compassion du lecteur. Celui-ci se sent obligé de prendre parti pour le condamné

douce! J'avais bien raison de t'adorer"(vers 24) "Salut!"(vers 20) et la vie qui semble être récapitulée par une énumération remplie de termes péjoratifs "Adieu humiliation, haines, sarcasme, travaux dégradants, incertitudes, angoisses, misères, tortures du cœur!"(vers 21). Chatterton semble donc accueillir la mort avec joie. De nombreuses phrases exclamatives telles que "Oh! quel bonheur"(vers 23) montrent l'enthousiasme que porte Chatterton au suicide comme s'il s'agissait d'un acte de réussite

- traits satiriques : l. 15-16 : les disputes = sot, ne fais pas avancer les choses Le huron ne s’entête pas : bon sens ! l.23 : ces mots qui font tant de peine aux hérétiques. Protestants torture « questions » => Texte drôles, qui met le lecteur aux cotés de Voltaire. Humour + ironie aux services d’une démonstration Conclusion : On se trouve entre naïveté réelle du huron et la naïveté feinte du narrateur. Mise en évidence du dogmatisme religieux. La religion est pleine de contradictions

dans le sens de l'accusation, alors qu'ici il est suivi d'une action sans réelle gravité. Cette association, empreinte d'ironie, révèle toute l'absurdité de l'accusation et de la punition, elle montre bien que seule l'intolérance la justifie. Cette ironie et sa dimension critique engendrent une prise de conscience collective des lecteurs qui est {text:soft-page-break} souhaitée et amenée par les philosophes des Lumières, elle-même est indispensable à la dénonciation. La tolérance est bien au coeur

roman raconte l'histoire de deux amants, Laurent et Thérèse, rongés par la culpabilité d'un meurtre commis sur l'ex mari de Thérèse, Camille. Hantés par l'esprit omniprésent de ce dernier, une seule option reste possible pour échapper à cette vie de torture : la mort. Peut-on dire que Thérèse Raquin est une tragédie ? Dans un premier temps nous verrons en quoi ce roman est tragique, ensuite nous remarquerons que cette œuvre reste naturaliste et le démontrerons. Enfin, nous ferons la conclusion de ce