Ironie Dans Torture

d’éclairer le peuple. Le Moyen-âge époque d’obscurantisme, lumières éclairent le peuple mais pas d’illumination divine. * Vision manichéenne du monde : peuple obscur ignorant # connaissances * Combat des lumières : * Contre la peine de mort, torture * Pour la séparation des pouvoirs * Privilèges de la noblesse et du clergé remis en question * Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers (1751-1772) : ouvrage majeure qui a une ambition particulière

c’est le soleil, c’est le centre, c’est Rome, ou tous les chemins mènent. Chaque phrase que vous direz doit être reliée directement ou indirectement à la thèse. Argument : Le condensé d’une explication de la thèse. Exemple : Je suis contre la torture parce qu’elle réduit l’humain au rang de la bête. Les marques énonciatives : -Phrases incidentes : Pour ma part, votre projet manque de sérieux. À mon avis, vous devriez envisager de démissionner

et s'appuie entre autres sur des effets de contraste. Contrastes entre les paragraphes, entre les exemples, dans le lexique... Φ Par exemple comme : « il se donne le plaisir de l' appliquer à la grande ou la petite torture » il s’agit de comprendre que le magistrat pratique la torture sous toute les formes qu’elles soient (voir code). On constate le contraste, lui même à la fois tragique et ironique, entre la description hyperbolique mais "réaliste" de l'accusé "pâle, hâve, défait...cachot" qui procède

figure de style hyperbole, anaphore, antithèse, la métaphore..... C-registre satirique et polémique satire =hyperbole+ ironie ( antiphrase)+ comportement caricaturé= «  les Caractères  » La Bruyère + «  La Satire  » de  ? , polémique {polémos = combat } = rythme vif + ton catégorique et virulent. «  Le dictionnaire philosophique portatif »  : article sur la «  torture «  ou l'Infâme  » très polémique de Voltaire IV- Les registres V- Théâtre 1- didascalie *didascalie = renseignement

que « la moitié de son habit » qui renvoie à l’idée de la moitié du corps ou encore un jeu de mots sur le nom propre « Vanderdendur » (« vandeur ») qui rappelle l’achat des esclaves et la traite des esclaves. Chacun de ces auteurs a travers cette ironie cherche a persuader le lecteur il cherche aussi a le toucher moralement notamment en utilisant un registre pathétique. Dans un second temps ces auteurs ont utilisé un genre littéraire différent l'un de l'autre pour faire passer leur message notamment

est œuvre de combat; son ironie et son irrespect n'ont rien épargné. Il a critiqué tous les abus de régime et ses audaces lui valurent souvent d'être inquiété. En politique, il souhaite un despotisme éclairé, un « roi philosophe ». Ce beau rêve qu'il avait cru un moment pouvoir réaliser près de Frédéric de Prusse a été cruellement déçu. Le régime anglais lui semble donc sur le plan pratique le régime idéal. Il réclame des réformes judiciaires: suppression de la torture, des emprisonnements arbitraires

règne de Louis XIV. Louis XIV est un monarque absolu qui agresse ses opposants non pas par des débats politiques mais plus souvent par la torture et l'emprisonnement. Parmi les victimes de Louis XIV figure Fouquet le célèbre intendant qui a beaucoup servi le roi dans toutes ses transactions financières mais qui, accusé de trahison, a été emprisonné et torturé violemment jusqu’à la mort. La Fontaine devant de telles hostilités a pris l'initiative de critiquer les violences du roi en utilisant

Il s'en retournait, se soutenant à peine, prêché, fessé, absous et béni, lorsqu'une vieille l'aborda et lui dit : « Mon fils, prenez courage, suivez-moi. » ANNONCE DES AXES I- L'art du conteur : un texte narratif traditionnel II- Une ironie omniprésente III- un texte de dénonciation ETUDE I- L'art du conteur : un texte narratif traditionnel Repères : voir les différents temps utilisés : Imparfait / passé-simple · Situation initiale (1er §) = imparfait à présentation · Péripéties

: * voltaire : Polémiste et homme de tolérance, Voltaire s'est opposé avec ironie à la monarchie absolue, aux religions établies et au dogmatisme métaphysique. Il admit pourtant la monarchie contrôlée par la raison et l'existence d'un Dieu «architecte du monde». * travail : Du latin populaire tripalium, «machine à trois pieux » destinée à immobiliser les chevaux pour les ferrer, d'où « instrument de torture ». Toute activité visant à la production d'une oeuvre utile. Spécialement, ensemble

infligé à Jean Calas après le verdict du procès par le parlement de Toulouse. Ce dernier le condamne à mort le 10 mars 1762, sans que le jugement ne soit motivé. Calas est condamné au supplice de la roue. Il subit la question, une longue séance de torture, mais n'avoue rien. Il clame son innocence. Roué Place Saint-Georges, Jean Calas est étranglé puis brûlé deux heures plus tard. Exilé, un autre fils de Jean Calas, Pierre, se rend dans la ville calviniste de Genève, où il rencontre Voltaire qui a