Ironie Dans Torture

est une synecdoque pour rapeller a pyrrhus les maux qu' il a fait. L' adjectif possessif " Mon " Hector et aussi la marque d' affection qu' elle comporte est comme un coup porté à Pyrrhus. Andromaque demande à Pyrrhus de bien vouloir arreter de la torturer. " C' est un exil que mes pleurs vous demandent" . Le verbe souffir ici est employé a l' impératif " Souffrez |.... ] " indique son indifférence à la souffrance de pyrrhus et que' il aura beau faire ce qu' il veut il ne peut que la faire souffrir

d’ironie. II- L'ironie est omniprésente 1. 1er § Les 2 premières phrases sont redondantes (elles veulent dire la même chose) : phénomène d'insistance qui met en éveil sur le contenu de ces 2 phrases. • Antiphrase : l.3 : "un bel autodafé" à ironie • Périphrase par rapport à l'autodafé : l.4-5 : "Le spectacle de quelques personnes brûlées à petit feu", "spectacle" = voyeurisme et "petit feu»: antithèse = horreur 2. 2e § Absurdité des condamnations qui reposent toutes sur des apparences (parfois

l’affaire du chevalier de la Barre, accusé de profanation d’un crucifix, mais cette fois en vain. Il est finalement torturé, décapité et brûlé tenant entre ses mains un livre interdit : le dictionnaire philosophique. De l’horrible danger de la lecture, œuvre emblématique de Voltaire écrite en 1765, révèle sous tous ses aspects le combat des Lumières et ses enjeux véritables à travers une ironie ravageuse. Pour défendre leurs idéaux, les Lumières ont sollicité différents genres littéraires

DEVOIR COMMUN 17/11/12 1ères ES2, S1, S2 Durée : 4 heures Objet d'étude : La question de l'Homme dans les genres de l'argumentation. Corpus : Texte A. Voltaire, Aventure indienne, traduite par l’ignorant (1766) Texte B. Voltaire, article « Torture », Dictionnaire Philosophique (1769) Texte C. : René Pommeau, « Note sur L’Aventure indienne » dans Voltaire, Romans et Contes (1966) Texte A : Pythagore[1], dans son séjour aux Indes, apprit comme tout le monde sait, à l’école des gymnosophistes[2]

Occurrences du mot « idée ». Le substantif « idée » est employé à six reprises ; quand il est utilisé comme sujet grammatical, il est suivi de verbes d'action ou de volonté qui personnifient ce nom au sens abstrait. Ce procédé montre que le débat moral qui torture Mme de Rênal peut être comparé à un corps à corps physique. Relevé : « l'idée de l'amour des sens se présenta en foule à son imagination », « ces idées voulaient tâcher », « elle n'avait aucune idée », « l'affreuse idée du crime la torturait », «

par l'amour, par la passion et en meurent à la fin. Mais l'ambiguïté est que passion est normalement synonyme de souffrance, hormis à la fin (pour Fabrice et Clélia) et encore sur seulement quelques lignes, il y a très peu de description de la torture et du mal que produit l'amour: seul à ce passage nous verrons la duchesse pleurer: « La duchesse se hâta de descendre chez elle. A peine enfermée dans sa chambre, elle fondit en larmes; elle trouvait quelque chose d'horrible dans l'idée de faire

l’éloquence de la phrase, rythme ternaire, 3 souffles= logique de la justice de condamner des innocents. 4ème partie Il s’agit d’une condamnation avec incertitude car il n’y a pas d’aveux Idée de Voltaire : la torture est une pratique barbare et honteuse. Question de la torture posée dans ce paragraphe. l.33 : bourreaux confondus, réduits au silence, placés devant le fait accomplis. Image finale pathétique de la dernière phrase : Jésus sur la croix sui demande pardon à ses juges  même

l’aveu des amants, Fénice prend habilement l’initiative et la supériorité de cette femme comme la délicatesse de la peinture psychologique de l’auteur ont été notées par le critiques de Cligès ». D’ailleurs, lorsque Fénice endurera toutes les tortures procurées par les trois médecins, Cligès ne sera pas là pour la secourir ou la protéger, il ne l’apprendra que plus tard. Il devient presque le spectateur de sa propre histoire. C’est également très visible lorsqu’il va chercher Fénice dans

Ironie (L')BIBLIOTHEQUE DE UENSSIB 841173D Claudine T A Y 0 T L'I R 0 N I E note de syntheae realis6e h 1'attention de M. LE GUERN enseignant en linguistiq.ue §, 1'Universite de LYON, cheroheur au sein du groupe S Y P 0. Je remercie vivement Mr GLAIZE pour 1 'assistanoe qu'il m*a genereusement pro.curee lors de 1' interrogation de la "base FRANCIS H . .trV* Ix^np sqmsi s.is aniom ns ,j-9'MtfdiroaZq sl j-Jrsl " L'ironie devanoe toujours le desespoir s elle fait la pirouet-ts @t, en de ve-

« sentiments si opposés » l.6 à l’égard de sa femme : « son affliction, qui lui paraissait quelquefois véritable et qu’il regardait aussi quelquefois comme des marques de dissimulation et de perfidie » l.6-7. Et en effet, le prince est en proie à la torture de la jalousie. Ses sentiments sont évoqués de manière systématiquement hyperbolique : « il avait beaucoup d’inquiétude » l.3, « violent chagrin » l.5,  « si opposés et si douloureux » l.7-8, « cruel déplaisir » l.11, « la vie me ferait horreur »