Ironie Du Sort

[Plan du texte] De « Comment s’étaient-ils rencontrés » à « était écrit là-haut », le narrateur noue un dialogue avec son lecteur, exhibant sa toute puissance de romancier traitant avec ironie les attentes romanesques à l’orée du

laisser entendre qu’elle ne voit pas l’homme comme un prédateur dans sa grande innocence. • Image de la jeune fille persécutée par ses parents et qu’il faut délivrer : envoyée au couvent qui la rendra « malheureuse » • Pour autant elle accepte son sort en bonne chrétienne « c’était apparemment la volonté du Ciel » et avec modération • Mieux que cela, sa tristesse la rend encore plus charmante. Héroïne vertueuse et chaste telle que le veut la tradition du roman sentimental et surtout persécutée, ce

destructrice. Elle a écrit à l’empereur. Titus, lui, est retenu par le peuple de Rome qui en l’acclamant le lie irrémédiablement. - Avec son habituelle naïveté inquiète, Antiochus aperçoit pour lui un espoir dans ce départ tout en sachant que le sort lui est si obstinément défavorable qu’il risque, une fois encore de subir une infortune. Titus paraît et Antiochus voit ses craintes confirmées. L’empereur l’invite en effet à le suivre chez la reine pour le faire juge de l’amour qu’il continue de

excessivement timide et facile à déconcerter ; mais loin d'être arrêté alors par cette faiblesse. 2) La double énonciation : - Le roman de Prévost se caractérise par une utilisation très fine de la double énonciation : le récit est fait, non sans ironie, par un Des Grieux narrateur (qui sait ce qui s’est passé et peut avoir un certain recul sur ses passions passées), mettant en scène un Des Grieux personnage (inconscient, aveuglé par l’amour, empêtré dans le présent de passions incontrôlables). Ainsi

redondance de mots ou de situations- sous_entendus- ironie- parodie- autodérision- quiproquos. | TRAGIQUE | Définition : Héros soumis à une force (destin, fatalité, passion, devoir...) qui lui est supérieure, qui le révolte et l’empêche d’agir comme il le souhaite, mais contre laquelle il ne peut rien. Cette force en général le conduit à la mort.But: provoquer les sentiments de pitié (empathie du lecteur face au héros), de crainte (subir le même sort), et d’admiration(pour le héros qui se bat jusqu’à

Noeud : partie de la pièce, le plus souvent peu avant le dénouement, où l'intrigue est parvenue à son point le plus fort, mais sans qu'on sache encore clairement comment l'histoire va se terminer. - Péripétie : événement même qui amène la crise d'où sort  le dénouement. Cf. le noeud. - Réplique : est le texte prononcé par un personnage à destination d’un (ou plusieurs) autre(s) personnage(s). - Tirade : longue réplique, dans un dialogue, sans interruption. - Stichomythie : dans la tragédie classique

|distance. |redondance de mots ou de situations- | | |-L’ironie : se moquer indirectement en disant|sous_entendus- ironie- parodie- autodérision-| | |le contraire de ce que l’on pense -elle |quiproquos. | | |provoque le rire mais dans un but

est également beaucoup présente dans cet extrait. En effet, cette ironie du conte Voltairien est ici définie dès le début de l’extrait “ils s‘entretenaient des douceurs de la royauté” (l.1-2). Cela peut faire rire, car en 1774 (date de l‘écriture du conte), la royauté française représentée par Louis XVI et Marie-Antoinette était dans le tourment, détestée du peuple, mais adulée par un petit groupe de nobles. On retrouve cette ironie dans la ligne 11 où le « beau serpent » qui raconte l’histoire, nous

faux dévot Tartuffe). Ces intrigues quand même demandent des compléments - soit sous forme de jeux de langage, soit en présentant la rupture imprévue dans l´ordre logique. Les jeux de langage variés (presque toujours enrichis d´une grande dose d´ironie et de la satire) rarement manquent dans les comédies intemporaines. Molière nous bien divertit, à travers de ses personnages, en utilisant des écarts de niveaux de langage par raport à la situation. Le contrast entre la vieillesse majesteuse de Madame

une femme et deux hommes. Les deux hommes regardent la femme, et parlent d’elle d’une façon ironique et méchante. La femme, qui occupe le premier plan du dessin est assis sur un fauteuil construit de ses diplômes, en évoquant le trône d’une reine, et sort du cadrage. Par contre, les deux hommes occupent une petite partie du cadrage, á droite, au deuxième plan. Le message qu’évoque le dessin, avec les regards des hommes et la position d’elle, montre que même aujourd’hui le réussit des femmes est vue