Ironie Du Sort

fable comprend une trace de burlesque, seulement le comique naissant dans ce texte n’est dû à la dégradation d’une quelconque institution ou personnages respectés mais des travers de l’être humain lui-même. Dans cette œuvre la Fontaine utilise toutes sortes de procédés rendant le texte très riche et rhétorique : énumération « adieu veau, vache, cochon, couvée » ; oxymore « une flatteuse erreur » ; antithèse « Autant les sages que les fous ? » ou encore une allitération « Perette sur sa tête ». Cette

anglais, Geoffrey Hurst l’avant centre des Hammers expédie une balle puissante sur la barre transversale, le cuir retombe sur la ligne OU PAS …L’arbitre suisse hésite à valider le but. Son assistant lui affirme que le ballon est rentré. But. Ironie du sort, 29 ans après les faits, les ingénieurs d’Oxford, Ian Reid et Andrew Zisserman, menèrent l’enquête (à l’aide de diverses simulations informatiques) et conclurent à une erreur de l’arbitre suisse. Pour eux en effet, le but n’était pas valable de

force avec «avoir les sens communs » => un lieu logique faux l.17 : allusion aux liens du sang, donc parenté de l’Ingénu. La naissance ne détermine pas l’intelligence : * allusion à la prise de 2 colonies (l.38) « Jamaïque et virginie ». Or : ironie puisque la France n’aura pas ces 2 colonies mais en cédera même d’autres. * La critique est partie pas le personnage de l’abbé et du bailli : or, ils apparaissent comme étant ridicules. Abbé => bêtise intellectuelle Bailli => un hypocrite :

petitesse. Décadence de sa faillite, honte de devoir emprunter. ETOURDISSEMENT : Birotteau ne signifie rien pour monde de la finance auquel il est extérieur, « introduit » adj qualificatif qui montre Birotteau passif, peu de moyens d’agir sur son sort, FATALITE. Etourdissmt aussi pcq « au milieu d’une société nombreuse » univers fermé qui se dvlpe mais sans lui. Asyndète lignes 2-3 : DISCONTINUITE du mvmt, paragraphe pour une seule phrase. Mouvement encercle Birotteau : « traversaient les groupes »

-mise en scènes théâtralisé II) interprétation de paneloux -châtiment divin -maudis de la bible III) désétatisation de camus Le prêtre n’est pas le porte parole de camus C’est le docteur rieux Ironie : «　subtilité　» (L26) «　discrètement　»L 64 Dans la description du cadre : hyperbole : ironie 23 à 25 　 　 Séance 3 : la quarantaine Page 214-215 «　on pouvait cependant avoir …des planètes différentes　» Situez le passage A la toussaint , au summum de la peste , on met en quarantaine les

respecte le roi: « Sire » v. 15 2) Justification de son absence a) le malentendu v. 15. 16 b) Il justifie son absence v. 18. 19 c) il est rusé et veut se venger du loup, il fait donc appel au savoir v. 20 à 22 Transition: Ainsi, le renard s'en sort et fait même d'une pierre deux coups mais sous cette histoire, Jean de La Fontaine cache une critique que l'on retrouve dans la morale. III- La morale et la critique du fabuliste 1) La morale a) « le mal se rend chez vous au quadruple du bien »

rend folle, sort les couteaux et les haches et le découpent en morceaux pour le dévorer. Ce n’est que cette disparition totale qui calme cette frénésie. L’amoureux épuisé et rassasié après cet orgasme de folie, se calme et se remplit de gêne et de bonheur. Ils sont fiers d’avoir accompli un acte d’amour. Comme Quasimodo dans le roman Notre Dame De Paris de Victor Hugo, il se laisse mourir d’amour en tenant dans ses bras la belle Esméralda qui vient d’être tuée. Ainsi, ironie du sort, Grenouille

et l’apitoiement sur son sort (Thésée en père infortuné dont l’amour filial retient les coups = II). Suscitant donc à la fois TERREUR et PITIE, il est le personnage tragique par excellence, ce qui sera confirmé par l’apothéose de la malédiction (III), moment tragique fusionnant les deux caractéristiques citées ci-dessus : Par sa prière à Neptune, Thésée, sans le savoir devient en même temps « bourreau » de l’innocent et victime de ses propres paroles (cf. l’ironie du sort final) I) Le héros implacable

Personne ne troublait la quiétude des consommateurs ». Pour dénoncer la perte des contacts humains dans un lieu public, Barjavel choisit une ironie discrète : allusion « au doigt dans (les) verre(s) » des serveurs, mise en parallèle de la caissière et de la plante : « les feuilles luisantes encadraient, de leur propre immobilité, l’immobilité de son visage ». Ironie aussi dans l’énoncé d’évidents non sens : « les limonadiers avaient gardé les caissières. Juchés sur leurs hautes caisses vides, elles n’encaissaient

structure répétitive. a. Didascalies : Il sort =sortie de Blazius Elle sort = sortie de Pluche Ils sortent = sortie du chœur. Deux parties dans la scène Délimitées par les didascalies : } l1 à 42 : arrivée de Maître Blazius sur sa mule – accueil du chœur – demande de vin – présentation de Perdican – descente de mule- il sort. } l 43 à 72 : Arrivée de Dam pluche sur son âne – accueil du chœur – demande d’eau – présentation de Camille –descente de l’âne – elle sort. Dernière réplique du chœur= sortie