Irving Fisher

se doit d'accumuler de l'or et d'exporter pour devenir prospère. Jean de Malestroit et Jean Bodin sont connus pour leurs réflexions sur le rôle de la monnaie. L'analyse classique de l'inflation Théorie quantitative de la monnaie En 1911, Irving Fisher va être le premier économiste à modéliser mathématiquement l'inflation, en s'inspirant du bullionisme espagnol (Théorie quantitative de la monnaie). Il met en évidence une relation linéaire entre quantité de monnaie et le niveau général des prix

les économistes classiques, les phénomènes monétaires n’ont pasd’incidence sur les conditions de l’échange. La monnaie est un voile, « les produits s’échangent contre des produits » (Jean-Baptiste Say, 1803). Cette approche a été formalisée par Irving Fisher sous la forme de la théorie quantitative de la monnaie (TQM). Mv = P T M : Masse monétaire, V : vitesse de circulation de la monnaie P : Niveau général des prix, T : transactions économiques (production) Cette équation souligne que toute

façon négative. Monnaie et équilibre macroéconomique global Ce qui se passe quand j’augmente la masse monétaire et quand je la diminue. On va s’intéresser au modèle IS-LM. Approche littéraire de l’influence monétaire sur l’économie Irving FISCHER => l’équation quantitative de la monnaie => MV = PT M = masse monétaire P = niveau général des prix T = niveau de la production d’une économie (y) V = vitesse de circulation de la monnaie Qu’on soit libéral ou keynésien on lit

être les règles de bonne gestion d’une banque centrale lorsque l’économie est en croissance, si l’on veut éviter l’inflation. §1 La théorie quantitative de la monnaie Nous connaissons par le chapitre 18 l’équation des transactions, due à Irving Fisher : n MV = ∑p q i=1 i i =Y dans laquelle M désigne la masse de monnaie, V la vitesse de circulation de la monnaie, pi le prix unitaire du bien i, qi la quantité du bien i, n le nombre de biens et services faisant l’objet de transactions

2%. Si ltaux d’inflation est élevé plus les taux d’intérêts sont élevés. Si le taux d’intérêt est bas on ne peut pas les baisser d’avantage et donc la baisse des taux d’intérêts est une manière importante de stimuler l’économie. Selon l’équation de Fisher le taux d’intérêt nominal est égal au taux d’intérêt réel plus le taux d’inflation. Il s’agit d’une moyenne européenne, il peut donc y avoir déflation dans certains pays et inflation supérieure à 2% pour d’autres. Support des politiques macroéconomiques

l’analyse. A posteriori, on peut néanmoins faire apparaître un ensemble de six faits stylisés principaux. Le modèle de base pour comprendre les enchaînements qui ont conduit à la crise est celui de la théorie du surendettement inspiré des travaux d’Irving Fisher[3] en 1933. Le point de départ nous semble être l’excès de liquidité au niveau mondial (paradoxalement, la crise actuelle se caractérise aussi par un assèchement de la liquidité sur lequel nous reviendrons). Les facteurs d’augmentation de la

elle-même mais plutôt pour acquérir les autres biens. Selon les classiques, la monnaie est neutre car n’interférant pas sur l’équilibre entre l’offre et la demande des biens sur le marché. L’équation de quantitative de la monnaie développée par IRVING FISHER est la suivante : M = quantité de monnaie en circulation V = vitesse de transaction P = niveau des prix T = volume des transactions Selon cette équation, lorsque V et T sont constants, une variation de la masse monétaire en circulation (M)

d’utilité –> utilité marginale) Alfred Marshall (équilibre partiel) Arthur C. Pigou (économie du bien-être) Ecole de Lausanne : Léon Walras (équilibre général) Vilfredo Pareto (optimum) Ecole autrichienne ; Carl Menger Friedrich Von Mayer Irvin Fisher et la théorie quantitative de la monnaie (1867-1947) économiste américain. Il reprend et utilise les théories de Böhm-Bawerk (école autrichienne) en ce qui concerne la théorie du capital. On lui doit la célèbre équation à partir de laquelle il établit

le niveau d’inflation notamment, et aussi, selon certaines habitudes et traditions. ١٦P.A. Samuelson W.D. Nordhams – Economie – Economica Paris 2000. 22 Le concept de vitesse de circulation de la monnaie introduit par Alfred Marshall et Irving Fisher, permet d’évaluer la vitesse à laquelle la monnaie change de mains en circulant dans l’économie et d’expliquer les variations du niveau général des prix. Cette approche postule que la vitesse de circulation de la monnaie est relativement stable

Herbert Mundin (Peters), Una O’Connor (Mrs Peters), Irene Ware (Janet Pardoe), Dorothy Burgess (Mabel Warren), Lisa Gora (Anna), Roy D’Arcy (Josef Grunlich), Perry Ivins (major Petrovitch), Frederick Vogeding (colonel Hartep), Marc Loebell et William Irving (non crédité). Remake en 1962 (téléfilm) par Prudence Fitzgerald sous le titre Studio 4 : Stamboul Train (Royaume-Uni). Avec Richard Warner, Peter Birrel, Susan Burnet, Ivor Salter, Hana Maria Pravda, Anna Burden, Diane Aubrey, Dennis Edwards, Charles