Ishtar

connue sous le nom de captivité babylonienne. Mais Nabuchodonosor II consacra également beaucoup de temps à embellir la magnifique cité de Babylone. Il l'entoura d'immenses murailles en briques et donna à la porte principale le nom d'une déesse, Ishtar. Le roi lui-même se fit construire un superbe palais. Au-delà de la capitale, il favorisa le développement des autres villes de son empire. Partout, y compris en Syrie, il encouragea le culte de Mardouk, l'ancien dieu principal de Babylone. III

Αστάρτη  Astártē, elle se nomme aussi en Hébreu : עשתרת  Ashtoreth, en Ougaritique 'ţtrt ou Aţtart ou Athtart, Atirat, enAkkadien : AD-tar-tú Astartu. C'est une Déesse présentant un caractère belliqueux. Son origine et ses fonctions viennent de la Déesse Ishtar de Mésopotamie. Elle sera implantée dans la mythologie Égyptienne sous les Ramessides. À califourchon sur son cheval, elle protège le souverain. Elle prend le nom de Tanit ou Oum chez les Carthaginois où son culte prendra de l'ampleur. Elle était

sumérien et un nom akkadien. Les principaux dieux sont : • Anu/An, le Ciel • Enlil, le dieu de l'Air, souverain des dieux • Enki/Ea, dieu de l'Abîme • Nanna/Sîn, le dieu-lune • Utu/Shamash, le dieu-soleil • Ninhursag, déesse-mère • Inanna/Ishtar, la déesse de l'Amour et de la Guerre, la planète Vénus • Ishkur/Adad/Addu, le dieu de l'Orage • Ninurta, divinité guerrière • Ereshkigal et Nergal, le couple régnant sur les Enfers • Nabû, dieu de la sagesse et de l'écriture À partir de

chronologie et aux modalités du processus.  P 60 : Uruk (carte) : Au IVème millénaire avt notre ère, Uruk possédait 2 centres religieux majeurs, le Kullaba où se trouvait le temple d’Anu, dieu du ciel et l’E.anna, où était adorée la déesse Inanna (+ tard, Ishtar). C’est dans l’E.anna que furent découvertes les 1ères traces d’écriture. P 110 : A cette époque on ne relève aucune donnée sur les limites de la cité, sur son extens°, les liens entre quartiers. Les remparts semblent avoir été construits à une époque

paléo-babylonienne est divisée en deux parties : a)les personnes riches et les personnes pauvres b) les personnes libres et les personnes non-libres c)les commerçants et les paysans 4. Quel est le dieu protecteur de Babylone ? a)Marduk b)Shamash c) Ishtar 5. La numération de cette période est : a)sexagésimale b) décimale La Tour de Babel vue par Pieter Bruegel l'Ancien au XVIe siècle. Ce lion rugissant est l'emblème d'une déesse, celle d'Ishtar, déesse de l'amour

il la féconde, Lui, le premier, les maris ensuite. Au conseil des dieux, il est décrété : Dès la coupure de l’ombilic (dès sa naissance) c’est son destin. Au discours de l’homme Enkidu pâlit. Il se rend sur la grande place. Pour la déesse Ishhara (Ishtar prend ce nom en tant que présidant aux accouplements. Son symbole est alors un scorpion) Un lit est étendu. Pour que Gilgamesh, avec une jeune fille, S’unisse cette nuit. Enkidu barre la route à Gilgamesh, il lui reproche son arrogance. Il bloque

quotidienne du soleil, cycles lunaires ou saisonniers, le printemps revenu soulageant l’angoisse des hivers mortifères. » Cette croyance en un cycle de mort-renaissance a donné naissance aux légendes qui peuplent les mythologies antiques : Thamouz et Ishtar chez les Assyro-Babyloniens, Isis et Osiris chez les Egyptiens, Déméter et Perséphone chez les Grecs jusqu’au Jésus de la Bible, descendu aux enfers et ressuscité le troisième jour. IV - Conclusion En prenant vraiment conscience de sa finitude corporelle

mythes de la création, d'origine sumérienne, mettent en scène deux êtres primordiaux : l'un féminin, Tiamat, l'eau salée et l'autre masculin, Aps?, l'eau douce. De leur union naissent tous les dieux, dont les principaux sont Enlil, Adad, Enki (Ea), Ishtar, Marduk, mais aussi des dieux dominants Annunaki qui exploitent les dieux Igigi en les faisant travailler durement afin de nourrir tous les dieux. La voûte céleste, les étoiles, la terre, les enfers... furent formés du cadavre de Tiamat, au terme

dirige la maison. (« tu peux avoir un maître, un roi, l’homme à craindre c’est le percepteur ») 2 – La littérature religieuse et amoureuse On a retrouvé des poèmes, dont on se ne sait s’ils étaient chantés ou non. Il étaient dédiés à Ishtar, lors de sa fête du printemps. Il date de – 2 300, et sa formulation est très orientale (il dit que le roi, ou le prêtre s’accouple avec une femme ou une prêtresse.) Il a été récité par de jeunes femmes, il comporte de nombreuses répétition, sûrement

connaissent une période intermédiaire, ou des hommes libres mis en servitude pour cause de dettes). - Les esclaves (Principalement prisonniers de guerre, esclavage héréditaire, mais difficile d’affirmer que c’est un esclavage privé). Le code de Lipit Ishtar développe essentiellement les questions économiques, avec beaucoup de disposition sur le droit des obligations, les louages, les prêts. Le code de Hammourabi unifie des populations différentes sous un même droit. Il appelle les juges de l’ensemble