Italo Balbo

s’explique par sa peur de l’industrie productive allemande et par la peur d’un « Drang nach Südosten » [18]des Allemands, donc dans la région du Danube. Dans une des premières rencontres entre le Duce  et Hassel, ce dernier propose une coopération italo-allemande dans la région du Danube. Mussolini approuve cette idée, et propose une division dans des zones d’influence et de pouvoir dans cette région : par exemple favoriser l’industrie lourde et la chimie allemande, et par contre favoriser l’industrie

haute qualité, dispose de bases navales solidement aménagées; l'armée de terre manque de matériel lourd; l'aviation demeure médiocre, même si le Duce salue avec chaleur les raids aériens au-dessus de la Méditerranée et de l'Atlantique du maréchal Italo Balbo, haut dignitaire du régime. Au début des années 30, un élément essentiel du consensus national est la fierté des Italiens de voir leur pays redevenu une grande puissance: lorsqu'en 1935, au moment de la guerre d'Éthiopie Mussolini leur demande

violente. L’auteur, Italo Balbo, est originaire de Ferrare. Ancien combattant, il adhère au fascisme à la fin de la Première Guerre mondiale, et organise dans la région de Ferrare un des groupes d’action (squadre d’azione) qui se réclament du fascisme sans en être officiellement dépendants. Ces groupes, composés en partie d’anciens soldats, se donnent pour but de lutter contre le communisme et, plus généralement, contre les mouvements réclamant davantage d’égalité sociale. Balbo, dans cet extrait,

l'Entente. Mussolini est mobilisé en 1915 et il combat. Il est d'ailleurs grièvement blessé. En 1919, il reprend la direction de son journal en affirmant des thèses de plus en plus nationalistes. Il fonde à Milan, en 1919, le mouvement fasciste. Italo Balbo organise militairement le mouvement sous forme de milice, les squadristis (uniforme, maniement des armes,...). Ils portent la chemise noire du deuil de l'Italie après la guerre. En réalité, ces milices paramilitaires se forment partout (ligues en

sur Rome ». Document 2 La marche sur Rome (28 octobre 1922) © akg-images. 6 Séquence 8 – HG11 © Cned - Académie en ligne On peut distinguer au premier rang les principaux chefs fascistes : de gauche à droite Michele Bianchi, Italo Balbo, Benito Mussolini (au centre, en costume civil), Cesare Maria de Vecchi, Emilio de Bono. À l’arrière-plan, on voit les chemise noires formant la troupe fasciste La marche sur Rome est en fait une manœuvre d’intimidation, ne faisant pas directement

catholiques tout en affaiblissant la classe ouvrière. Mais Mussolini est en même temps inquiet devant le développement anarchique et violent de son mouvement qui échappe à son pouvoir au profit de leaders locaux comme Dino Grandi ou Italo Balbo et qui risquerait d’inquiéter les dirigeants politiques et le milieu des affaires. De plus, les actions des squadres comment à provoquer une riposte populaire : les arditi rouges, groupes de défense locaux, réussissent parfois à refouler les fascistes

Northeim-en-Westphalie (The Nazi Seizure of Power: The Experience of a single German Town, 1962. En français : Une petite ville nazie, 1930-1935)[2] [14]. ------------------------------------------------- Autre thèses socio-économiques[modifier] Pour le politologue italo-américain A. F. Kenneth Organski (1923-1998) (s’inspirant en cela de Walt Whitman Rostow, Les étapes de la croissance économiques, 1960), les sociétés contemporaines passent par quatre étapes de développement (unification primitive, puis industrialisation

Sturzo dont le Pape ne souhaitait pas le retour donna son approbation extrême opposé parmi les jeunes existait un mouvement de chrétiens pour le socialisme et même pour le communisme dont les inspirateurs les plus en vue furent Ossicini Rodano et Balbo Le très jeune Andreotti était en rapport avec ce groupe Il condamnait leurs doctrines mais cherchait les comprendre Une condamnation pontificale mit fin affaire Elle étendait aussi un prêtre Don Mazzolari sympathisant du mouvement et héros de la Résistance

ancien allié, le parti socialiste. Les socialistes s'efforcent de dresser un barrage contre le courant. A Sarzana, une cinquantaine de fascistes sont tués. A Parme, la population ouvrière soutient une véritable bataille contre les miliciens de Balbo. Mais tandis que la poussée révolutionnaire décline, les grèves continuent, entretenant des émeutes, des violences dont les rouges sont considérés comme responsables. Et on s'étonne que l'État n'intervienne pas pour arrêter ce continuel désordre.