J'accuse…!

villes : « Lourds », « Rome » et « Paris ». Zola s’engage, comme la plupart des écrivains contemporains à lui, dans le monde politique et social. Il est très intéressé au socialisme. En 1898, il publie l’article à la défense du capitain Dreyfus - « J‘accuse» après qu‘il est condamné à l’emprisonnement pour une anneé et son Ordre de la Légion d'honneur est retiré. Il est forcé de partir en éxile en Angleterre. Après son retour en France, il se consacre à « Les Quatre Évangiles » : « Fécondité », « Travail

ce qui est bon pour l’ensemble de la nation. Mandela s’est battu pour les droits des hindous. c) Aristote et la visée du bien commun en politique Ce bien commun est identifiable au bonheur, qui est l’accomplissement de toutes les vertus. Zola, J’Accuse. II. La visée d’un bien commun ne semble pas pouvoir constituer l’essence de l’activité politique a) Critique de la position d’Aristote L’idée d’un bonheur qui puisse être commun à tous paraît vide et peu acceptable. Benjamin Constant distingue

Fiche de révision : Poétique des genres et des formes Musicologie : Le genre en musique est défini par l’usageLe concert : Symphonie, concerto, sonate…La musique vocale : Opéra, lyrique, chanson…La musique religieuse : Messe, Requiem, oratorio…. Distinguer la musique Traditionnelle/ La musique écrite/ La musique improvisée : Différents styles ? Style Monodique Style ChromatiqueStyle SwingStyle Jungle Autres styles….Différentes Formes ?Forme Musicale générée par un discours : Succession de périodes

reproduire la réalité de la manière la plus objective possible) , suivit des Rougon-Macquart composé de 20 tomes dont au Bonheur des Dames, en 1871. Evolution littéraire : Il est reconnu comme chef de file du naturalisme en 1878. Emile Zola rédige « J’accuse » , le 13 janvier 1898 pour prendre la défense de Dreyfus. Ah ! Une vie, une seconde vie, qui me la donnera, pour que le travail me la vole et pour que j’en meure encore ? La mort d’Emile Zola : meurt dans sa maison pas inalation de gaz.

énormément documenté et ses enquêtes sur le monde du travail l'ont conduit au "socialisme" et il s'engage dans le mêlée politique et sociale. Convaincu de l'innocence de Dreyfus (soldat juif accusé d'espionnage), il publie un vibrant article en sa faveur "J'accuse". Pour cela, il est condamné à un an de prison et perd la Légion d'Honneur. Il doit s'exiler en Angleterre pour un an et ne revient en France qu'après le suicide du commandant Henry (l'accusateur de Dreyfus) convaincu de faux. A son retour, tout

I. Les écrivains disposent tout d’abord de leur notoriété 1) ils sont écoutés du public, il pèsent dans la vie intellectuelle mais aussi politique. Exemple : l’engagement politique (Zola et « J’accuse » dans le journal de l’Aurore pour défendre Dreyfus ; « Le dernier jour d’un condamné » de Hugo pour dénoncer la peine de mort… 2) leur expérience (parfois traumatisante) sert d’exemple. Exemple : « Si c’est un homme » de Levi (dénonciation des camps de concentrations nazis) ou encore Soljenitsyne

noir qui lui apporte la célébrité. Il acheta une maison a Medan, qui devient le lieu de rassemblement des naturalistes. Avec le poids de sa notoriété, Emile Zola s'engage dans l'affaire Dreyfus en publiant plusieurs articles dont son célèbre "J'accuse" dans le journal "L'Aurore" de janvier 1898. Il est très critiqué par les nationalistes et le procès qui s'en suit l'oblige à s'exiler pendant un an en Angleterre. Il ne revient que quand Dreyfus a été innocenté. Il meurt le 29 Septembre 1902

l'objet d'un roman. Engagé dans les mouvements politiques de son époque, les dernières années de sa vie sont marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J’Accuse…! » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres.

en deux clans: les dreyfusards (avec Dreyfus et persuadés de son innocence) et les antidreyfusards (contre Dreyfus, et généralement antisémites). Zola, un des principaux dreyfusards, publie le 13 janvier 1898 dans un journal une lettre ouverte, « J’accuse…! », pour défendre le capitaine. Cet engagement lui vaudra un an de prison et une amende pour diffamation. . . . . . . . . . . plus tard, le vrai coupable est identifié et aquitté.

véritablement qu’en 1906, par un arrêt de la Cour de cassation qui innocente et réhabilite définitivement Dreyfus. Le 13 janvier 1898, Zola écrit dans le journal l’Aurore, le célèbre titre J’accuse… !. Il est alors au sommet de sa gloire, puisque les vingt volumes des Rougons-Macquart ont été diffusés. Cette affaire devient maintenant l’affaire des intellectuels. Dans cet article, il défend le capitaine Dreyfus, en s’adressant au Président