Jacquerie

quant à elle, sept grèves; or, dans cette usine où plusieurs conflits sont violents, la majorité des ouvriers sont des femmes. - À côté de ces grandes grèves, on signale de nombreux petits conflits spontanés. - Ces grèves spontanées, sortes de «jacqueries industrielles», sont très fréquentes au 19e siècle, et c’est souvent en dehors de tout soutien et de toute organisation syndicale que des ouvrières protestent. • Organisations syndicales - L’organisation syndicale les Chevaliers du travail, qui

division n’échappe pas aux acteurs de l’époque est provoqué une peur importante : l’idée d'une France rouge. Cette terre ou les démocrates sociaux, potentiellement révolutionnaire. Et vient se superposer aux dangers ouvriers ; le danger de la Jacquerie (soulèvement des paysans). Ceci, vient justifier la lutte du durcissement de la lutte antirépublicaine. Cette lutte antirépublicaine va d’abord se faire sur la lutte religieuse. 1 .3 Ordre ou démocratie sociale L’élection

pourrissement des semailles, avec disettes et famines), la peste (grande peste de 1348, relatée par Jean de Venette ; les historiens estiment qu'elle a décimé un tiers de la population européenne), les révoltes (des paysans vis-à-vis des seigneurs, les jacqueries, des soldats qui ne sont plus payés en temps de paix). À ceux-ci viennent s'ajouter la guerre. La guerre de Cent ans dure 116 ans, de 1337 à 1453, intermittente, elle connait des périodes de trêve. Née d'une crise de succession dynastique, elle

est d’origine paysanne, aime la boisson et a fait la guerre. B) Une dénomination connotée Si le maître n’est déterminé que socialement, en tant que maître, le nom de Jacques en revanche est fortement connoté. Le prénom Jacques renvoie aux jacqueries, ces révoltes de paysans qui éclatèrent au 14e siècle. Ce prénom contribue donc à caractériser le personnage, par ailleurs présenté de façon bien plus complète que le maître : l’incipit nous donne des indications sur son tempérament (mauvais

perçu par le seigneur sur les biens du serf après son décès) et la «taille à merci» (redevance liée à la terre exploitée). Le seigneur protège les paysans seulement continuer à vivre. (p.128) Il arrive qu'éclate des mouvements de révoltes «Jacquerie» (révolte des serfs. Le clergé dans cette société rural est dans une position intermédiaire. Le curé est le bénéficiaire de la dîmes, plus l'église est importante plus la dîmes est à son tour importante. Réseau d'obligation réciproque. C'est le

|Insécurité |Les impôts (Dîme) | | | |1453 : Office de Saint Georges |Jacquerie |Les pieve | | | | | |

fondamentales du royaume, bien qu'elles n'ai jamais été écrites, ont eues une force exécutoire extraordinaire. Le XIV ème siècle est une période de mutations, de conflits. Les famines, les guerres, les révoltes rythmes ce siècle. C'est le temps des « jacqueries », des insurrections paysannes face à la baisse des prix agricoles mais également le temps des conflits de successions, une des raisons ayant entrainé la guerre de Cent ans. Le texte est un extrait des Chroniques de Jean Froissart, un écrivain

afin d’en comprendre les subtilités, les sens, la visé de la nouvelle que l’on lit et la compréhension de l’histoire et des personnages afin de s’y immerger rapidement. Question 7 : Prosper Mérimée (1803-1870) : La Guzla (1827) La Jacquerie (1828) La Famille Carvajal (1828) Théophile Gautier (1811-1872) : Le Petit Chien de la marquise Le Nid de rossignols La Morte amoureuse Gustave Flaubert (1821-1880) Émile Zola (1840-1902) : · Le Capitaine Burle Naïs Micoulin Question

gabelle, 14 de petite gabelle et 5 des produits des salines et quart-bouillon pour l'année 1788, soit une comme totale très proche des recettes de la taille. A la réprobation du peuple, toujours murmurant sur ce sujet et allant jusqu'à se soulever en jacqueries, s'ajoutait une condamnation économique : la carence de sel limitait les productions laiteries et l'élevage, tandis que des sommes énormes étaient détournées d'un emploi productif. Les cahiers de doléances, parfois excessif en d'autres matières

chevaliers et les impôts du roi, les paysans de 1'lle de France se soulèvent en 1358 (à Meaux en particulier), en s'en prenant aux châteaux de cette noblesse qui a failli devant les Anglais et qui est incapable d'assurer sa mission de protection : cette jacquerie laissera son nom à toutes les émeutes paysannes des Temps modernes. Les campagnes sont dépeuplées, mais on meurt toujours de faim : on manque de bras, pas de terres. Les intempéries s'en mêlent : l'hiver 1480-1481 est particulièrement long et rigoureux