Jacquerie

socialistes à Paris. Les idées socialistes sont diffusées par les journaux à un sou : le Populaire de Cabet, l’ami du peuple de Raspail … En province, on plante des arbres de la liberté. Dans les campagnes, l’effervescence révolutionnaire vire plus à la jacquerie : on se révolte contre ce qui rappelle l’Ancien Régime: les forêts de l’Etat sont envahies par des paysans, les châteaux incendiés. Les républicains veulent aussi « éduquer » le peuple, notamment par l’image. Le gouvernement organise un concours

peut décider d’arrêter les leaders nationalistes. Mais aujourd'hui les gouvernements des pays colonialistes savent parfaitement qu’il est très dangereux de priver les masses de leur leader. Car alors le peuple, n’étant plus bridé, se jette dans la jacquerie, les mutineries et les « meurtres bestiaux ». Les masses donnent libre cours à leurs « instincts sanguinaires » et imposent au colonialisme la libération des leaders, auxquels reviendra la tâche difficile de ramener le calme. Le peuple colonisé,

campagnes, les députés ne furent pas davantage à l’origine de la révolution paysanne du mois de juillet 1790, qui contribua pourtant également au renversement de l’Ancien Régime. → Entre le 20 juillet et la première semaine d’août 1789, une vaste jacquerie, « La Grande peur ». C’était un mouvement de panique qui s’était développé après l’annonce de la prise de la Bastille, lorsque des rumeurs avaient annoncé la venue de brigands et d’armées étrangères, détruisant les récoltes sur leur passage ; une

un tiers de la population française. En 1361-1363, et en 1418-1419, une forme de peste fait des ravages parmi les enfants. Les révoltes se multiplient, notamment à Paris : révolte d'Étienne Marcel, révolte des Cabochiens. Dans les campagnes les jacqueries sont nombreuses. Les différentes crises ont eu aussi des aspects positifs. Les paysans et les artisans qui survivent aux famines et à la peste voient leur condition de vie s'améliorer du fait de la hausse des salaires causée par la raréfaction

nation-ci, souviens-toi donc, est celle De Bertrand du Guesclin, de Jeanne la Pucelle, Et chasse ses envahisseurs. «Jadis, la guerre sainte a duré cent années; Des générations furent exterminées; Paris sous l'étranger trembla; Anglais et Jacquerie à la fois, double tâche; Charles six était fou, Charles cinq était lâche. Vois. Les Anglais ne sont plus là. Ces Allemands fuiront aussi. - Quand? Je l'ignore. Mais, un jour, du côté que je menace encore, Vers ceux-là que nous haïssons, Je

»). Alors même qu'une mobilisation est interprétée et utilisée par certains groupes participants comme politique - c'est-à-dire susceptible d'influencer les dirigeants -, d'autres groupes concernés n'accèdent pas à cette lecture des faits : les jacqueries du XVIIe siècle peuvent revêtir pour des nobles frondeurs la portée d'une action poli­tique, en ce qu'elles sont présentées comme acte de rébellion contre les agents d'un pouvoir royal abusif; pour les paysans en révolte, elles restent fondamentalement

policières ou pas, incompris par les pouvoirs publics qui répondent par la violence ou menaces sans compréhension. Ces formes de violences ne peuvent pas être assimilées à des révolutions car elles ne sont portées par aucun projet politique. Ex : Jacqueries paysanne de l’ancien régime : soulèvement de pauvres contre seigneurs / révoltes urbaines, émeutes urbaines qui ne sont pas des révolutions mais des formes de participation politique violentes. Fréquentes aux USA, rares en France. Violences à

а remplir le trésor et а maintenir le peuple en soumission. Soutenu par les Etats Généraux, le pouvoir royal se renforςa en France. Cours 3 1. Les Croisades 2. La guerre de cent ans 3. La Jacquerie 4. La lutte contre les envahisseurs. Jeanne d’Arc. Les Croisades Les Croisades sont des expéditions entreprises du XI s. au XIIIe s. organisées par les féodaux et l’église catholique contre

cette période va être marquée par de nombreuses révoltes paysannes notamment pendant les périodes de famines. Même lorsqu’ils seront en période de force c'est-à-dire lorsqu’il y a une tentative de contrôle des salaires. En France on aura en 1358 les Jacqueries par exemple. C’est plutôt un échec des paysans, ils seront réprimés de manières assez sanglantes. En revanche cela va éloigner définitivement le servage ou tout ce qui s’en rapproche.   Le grand commerce va souffrir des guerres et de la chute

une importance capitale : c’est une question de prestige tant sur le plan de la vie privée que sur celui de l’administration publique. C’est donc un homme influent, hautain et déplaisant, et sa position est si solide que, si peu de temps après les jacqueries de la Révolution, lorsqu’il passe dans la grande rue de verrières, les paysans le saluent avec respect. Il est aussi grossier et misogyne. Pire que M de Renal, il y a M Valenod, directeur du dépôt de mendicité qui est « l’âme damnée de la Congrégation