Jacques Bénigne Bossuet

Thomas More dénonce donc les conséquences de ces mouvements dans Utopia et invente un monde parfait à l'opposé de Angleterre de son époque. C'est son utopie. Ce monde parfait s’apparenterait à la république de Platon. Jacques-Bénigne Bossuet Jacques-Bénigne Bossuet est né le 27 septembre 1627 à Dijon et mort le 12 avril 1704 à Paris. C'est un homme religieux français, prédicateur et écrivain français. Il devient précepteur du dauphin Louis de France, le fils du roi Louis XIV et Marie-Thérèse

Commentaire : Bossuet, « Politique tirée…de l’Ecriture sainte… » Introduction : « Nous ne dominerons points sur vous, ni moi, ni mon fils, mais le seigneur dominera sur vous », répondit Gédéon, juge d’Israël au XIème siècle avant Jésus Christ à son peuple qui venait de le reconnaître lui et sa descendance, comme seul souverain. Dieu est au-dessus des rois, ils le représentent, Dieu est le père des rois, celui qui légifère, celui qui les guide d’une main invisible dans l’exercice de

précepteurs du jeune duc de Bourbon, petit-fils du Grand Condé. Cet emploi fut confié à La Bruyère, d’après l’abbé d’Olivet, sur la recommandation de Jacques-Bénigne Bossuet, « qui fournissait ordinairement aux princes, a dit Fontenelle, les gens de mérite dans les lettres dont ils avaient besoin ». On ignore d’ailleurs comment La Bruyère connaissait Bossuet. Le jeune duc de Bourbon était âgé de seize ans, et il venait d’achever sa seconde année de philosophie au collège de Clermont, qui était dirigé

Jacques-Bénigne Bossuet, prêtre, prédicateur, également précepteur du Dauphin, fils de Louis XIV et surtout grand orateur de la cour, Il prononce le sermon « Madame se meurt ! Madame est morte ! » De ses Oraison Funèbre, le jour du 21 juin 1670, à st-Denis. Ce discours à lieu suite au tragique décès d’Henriette d’Angleterre, épouse du duc d’Orléans, frère du roi. Le décès de cette jeune demoiselle de 26 ans, alors en pleine santé le matin de son décès, est mise en forme par Bossuet. L’orateur

du mouvement (I) puis à son évolution après la révolution (II). I) Du grand schisme à l’apogée du Gallicanisme Durant cette période on assistera au début du gallicanisme (A) puis à son apogée avec la Déclaration du Clergé de France, de Bossuet (B). A) Les débuts du Gallicanisme Le gallicanisme n’est pas un mouvement propre à la France. En effet on a pu le retrouver dans plusieurs pays d’Europe. Cependant c’est en France qu’il a été le plus fort. Les idées gallicanes ont émergé

précepteurs du jeune duc de Bourbon, petit-fils du Grand Condé. Cet emploi fut confié à La Bruyère, d’après l’abbé d’Olivet, sur la recommandation de Jacques-Bénigne Bossuet, « qui fournissait ordinairement aux princes, a dit Fontenelle, les gens de mérite dans les lettres dont ils avaient besoin ». On ignore d’ailleurs comment La Bruyère connaissait Bossuet. Le jeune duc de Bourbon était âgé de seize ans, et il venait d’achever sa seconde année de philosophie au collège de Clermont, qui était dirigé

également de son succès, le prennent violemment à parti, le projetant par là sur le devant de la scène parisienne. Mais il est frappé d'une attaque d'apoplexie qui l'emporte brutalement en 1696, alors qu'il est en pleine gloire. Si cet ami de Bossuet et des dévots est passé à la postérité, ce n'est pas à cette gloire mondaine qu'il le doit, mais bien plutôt à son travail d'écrivain : ses Caractères, au style nerveux et parfois très ramassé, qui peignent souvent des types éternels, nous brossent

dans la vie professionnelle» Abdou Lô, Président de Premium Africa Consulting, www.rewmi.com, 29 août 2010 « Pour ôter la mendicité, il faut trouver des moyens contre l’indigence. » Jacques-Bénigne Bossuet, évêque et écrivain français. «La politique tirée des propres paroles de l’Écriture sainte», Jacques Bénigne Bossuet (1709) Nicolas Betticher, le Courrier, 2 avril 2011 « En introduisant l’interdiction de la mendicité dans notre règlement de police, il sera possible d’offrir un cadre juridique

très strictes, permettent en fait aux écrivains classiques d'atteindre les buts qu'ils se proposent : peindre la nature en suivant la raison, plaire et instruire. CONTEMPORAINS HISTORIQUES du XVIIe siècle Boileau Nicolas (1636 - 1711 ) Bossuet Jacques Henri (1627 - 1704 ) Corneille Pierre (1606 - 1684 ) Descartes René ( 1596-1650) Fénelon François de Salignac (1651 - 1715) La Bruyère Jean de (1645 - 1696) La Fayette Marie-Madeleine (1634 - 1693) La Fontaine Jean de (1621 - 1695) La

n’obéit qu’a Dieu lui même. Le juriste Cardin Lebret écrira « Les rois ne tiennent leur sceptre que de Dieu et ne sont obligés de rendre aucune soumission à une puissance de la Terre ». Louis XIV désignera Jacques Bénigne Bossuet, un évêque, comme précepteur du dauphin Louis de France. Bossuet écrira à l’intention du dauphin un ouvrage du nom de «  La politique tirée des propres paroles de l’Écriture sainte » dans lequel il y exposera ses vues. Pour l’évêque, Dieu gouverne